Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
18 octobre 2014 6 18 /10 /octobre /2014 13:44

lepetitfils-g-2-copie-1

Lepetitfils Da Candy exilé politique de force. Leader de la légitimité citoyenne

 

Contact : article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr

 

Le droit n’a rien de sens unique, il peut être avec toi et se retourner en un rien de temps contre toi. Toute justice appliquant du droit ne peut être à sens unique. Donc les procès pendant, tant devant la Cour pénale internationale que devant la cour d’assise en côte d’ivoire ne sont qu’une foire d’exhibitionnisme théâtrale. La Cour pénale internationale en soutenant que : La Côte d’Ivoire n’a pas encore prouvé qu’elle est capable de mener à bien un procès équitable, en clair la Cour pénale internationale veut dire par là, que la Côte d’Ivoire n’est qu’un n’état voyou, un l’état policier, un état paria, avec une institution judiciaire aux ordres du pouvoir exécutif, incapable de rendre une justice équitable, ce qui donnerait la primauté a ses poursuites téléguidées a sens unique « Justice des vainqueurs ».

 

(Puisque, au terme même de son statut juridique fondateur /créateur « statut de Rome, les gouvernants des pouvoirs étatiques disposent des procédures judiciaires de la cour pénale internationale, tout le monde se libérera en côte d’ivoire ou à partir de la côte d’ivoire par la parole du/au peuple ou bien tout le monde restera prisonnier ou prisonnier en puissance d’une manière ou d’une autre en côte d’ivoire.)

82BENSOUDAbensouda-ouattara

( La cour penale internationale de par sa poursuite selective dans la repression des crimes commis pendant la crise ivoirienne, trouble l'ordre social en côte d'ivoire, qui peut évoluer vers la désagrégation de la totalité sociale ivoirienne. )

 

« La déception première ici, c’est la cour pénale internationale (CPI) et son procureur BENSOUDA qui défendent les saints des saints à ne pas toucher devant leur juridiction totalement dépendante des dirigeants des pouvoirs étatiques: « Alassane Ouattara « Brave-tchê » le chef d’œuvre de tout les crimes en côte d’ivoire depuis le 24 décembre 1999, Soro guillaume l’exécutant docile qui n’avait peut être pas le choix au départ de porté sa voix a la rébellion de Ouattara et leurs chefs de guerre qui ont commis les crimes sous leurs ordres, sont les saints des saints pour la cour pénale internationale (CPI) et son procureur BENSOUDA a ne pas toucher.

 

Les crimes ? Voici quelques uns : Les grands hommes d’état aux premières heures de la rébellion et suivants, les gendarmes et leurs familles a Bouaké, le charnier de Monoko Zohi, les génocides de Petit-Duékoué et de Guitrozon, de bloléquin, l’extermination systématique de plus de 1600 innocents en moins de 48 heures à Duékoué en mars 2011 chemin faisant vers Abidjan « confirmée plus tard après découvertes, par les rapports de Amnesty international et de la Division des Droits de l’Homme de l’Onu, ». Les tueries de centaines de paysans à Taï, les tueries et disparitions forcées au camp de Nahibly et autres etc. Les crimes ignobles commis par la rébellion de, Ouattara toujours chemin faisant vers le siège du pouvoir GBAGBO au sud de la côte d’ivoire, des crimes de guerre qui ont laissé indifférent Ouattara le commanditaire.

 

ALLASANE OUATTARA n’a aucune possibilité aux yeux du droit international pénal de prétendre ignorer les exactions et les tueries de ses fantassins partis de Bouaké sous son ordre pour conquérir le sud ivoirien par les armes contre le pouvoir GBAGBO. Parce ce qu’en règle générale, le défaut de connaissance ne le dégage pas de ses responsabilités si cette ignorance est imputable à une faute de sa part (ordonné sciemment, devoir de s’informer et obligation de savoir). Aux yeux du droit international pénal, le fait que les infractions sont de notoriété publique, nombreuses, étalées dans le temps et dans l’espace « comme dans l’ouest ivoirien en mars 2011 » est à prendre en considération lorsqu’il s’agit de présumer que la personne responsable « Ouattara Alassane » ne pouvait les ignorer. « Ordre donné sciemment, Devoir de s’informer et Obligation de savoir ». Donc le défaut de connaissance ne le dégage pas de sa responsabilité qui est imputable à une faute de sa part.

 

En clair «Si le FPI a commis des crimes, Le RDR-RHDP a commis autant de crimes, Si GBAGBO a commis des crimes, OUATTARA a commis autant de crimes, si les FDS ont commis des crimes, le FN – FRCI ont commis autant de crimes, si desdits miliciens ont commis des crimes, les Dozos de Ouattara ont commis autant de crimes. Donc il est de droit qu’à crimes égaux, justice égale pour les deux belligérants de guerre, vainqueur et vaincu.

 

A défaut de la solution consensuelle issue du pardon, de la repentance, de la contrition de tout les acteurs de la crise ivoirienne, au terme d’un dialogue sincère, couronné par une Amnistie générale référendaire qui doit être votée a 60% de Oui au moins de l’électorat total inscrit sur la liste électorale réactualisée. Pour qu’ainsi par consensus, chaque homme politique de quelque bord que soit devient conséquemment le porteur de parole consensuelle unique à destination de ses appartenances. « Ce principe est vieux comme le monde. » A défaut donc, vivement un tribunal pénal international de création onusienne (conseil de sécurité) pour être digne de la justice internationale du 21e siècle garante de la paix internationale par le combat contre l'impunité. La cour pénale internationale s’est auto-disqualifiée par sa poursuite sélective dans la crise ivoirienne. Le statut de dirigeant politique en fonction de Alassane Ouattara ne doit pas résister au droit international pénal ou ne doit pas être un passe-droit ».

 

Il est notoire dans la sphère juriste que : La cour pénale internationale (CPI) n’a pu résoudre le sérieux problème du principe d’une juridiction pénale internationale permanente, autonome, et totalement indépendante qui se pose à l’humanité depuis 1945. Ce principe d'une juridiction universelle indépendante, autonome s'est toujours heurté à la structure même de la société internationale, fondée sur la souveraineté étatique. « Des états extrêmement jaloux réciproquement de leurs souverainetés étatiques ».

 

 Le Procureur Robert JACKON lors du procès de NUREMBERG a pilonné ceci a juste titre: Le fait d’accorder l’impunité à des personnes responsables de graves violations des droits de l’homme soulève d’importantes objections morales et juridiques. Objections morales car selon lui, permettre aux principaux criminels de guerre de vivre sans être inquiétés pour écrire paisiblement leur mémoires bafouerait les morts et ferait des vivants des cyniques. » Alors de quel droit tire-t-on à la cour pénale internationale (CPI) l’exonération de poursuite judiciaire de Alassane Ouattara et consorts avérés grand criminels de guerres pendant la crise ivoirienne.

 

Oui ! La parole au peuple. Un criminel de guerre «en la personne de, Ouattara Alassane » ne peut gracier de droit des condamnés pour des crimes dont il est lui-même impliqué. Donc a défaut d’Amnistie générale référendaire, vivement un tribunal pénal international de création onusienne (conseil de sécurité) pour être digne de la justice internationale du 21e siècle.

 

(Puisque, au terme même de son statut juridique fondateur /créateur « statut de Rome, les gouvernants des pouvoirs étatiques disposent des procédures judiciaires de la cour pénale internationale, tout le monde se libérera en côte d’ivoire ou à partir de la côte d’ivoire par la parole du/au peuple ou bien tout le monde restera prisonnier ou prisonnier en puissance d’une manière ou d’une autre en côte d’ivoire.)

 

(Au besoin voir : « La cour pénale internationale (CPI) n’a pu résoudre le sérieux problème du principe d’une juridiction pénale internationale permanente » du Mardi 26 février 2013 sur : www.dacandylepetitfils.over-blog.com Ou « De par ses crimes de guerres ALASSANE OUETTARA est passible de poursuite » du Dimanche 6 mai 2012 sur www.dacandylepetitfils.over-blog.com)

Photo-copie-2

Lepetitfils Da Candy exilé politique de force. Leader de la légitimité citoyenne

 

Contact : article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr

 

Lire l'article ci-dessous svp Merci

Partager cet article
Repost0

commentaires

Présentation

  • : Le blog de Lepetitfils Da Candy
  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
  • Contact

Profil

  • dacandylepetitfils
  • DA CANDY LEPETITFILS:
Juriste (publiciste et internationaliste) militant des droits de l'homme et des libertés publiques et leader d'un mouvement politique d'utilité citoyenne en côte d'ivoire. En exil forcé...
  • DA CANDY LEPETITFILS: Juriste (publiciste et internationaliste) militant des droits de l'homme et des libertés publiques et leader d'un mouvement politique d'utilité citoyenne en côte d'ivoire. En exil forcé...

Texte Libre

Recherche

Catégories

Liens