De Lepetitfils da Candy : leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force
En-un-mot.
En politique, on ne peut pas être majoritaire et avoir peur de la transparence.
Malgré le rejet par l’opposition, non représentée à l’Assemblée. Les députés ivoiriens ont voté la loi sur la réforme de la Commission électorale indépendante (CEI).
C’est le signe d’une côte d’ivoire annexée et acculturée, qui fonce tout droit dans une autre affreuse crise dite postélectorale. Comme cet homme transporter par la violence du courant de l’eau du fleuve, qui essaie de rassurer les observateurs en faisant des mimiques comme tout allait bien, qu’il est grand nageur.
En clair, l’ivoirien est depuis le 24 décembres 1999, date de la révolution des œillets, en passant par la date du 19 septembre 2002 date du déclenchement de la guerre d’agression, comme cet homme, qui tombe du haut d’une tour de 100 mètres et en dépit de quelques cognés de tête sur les paliers, en se répétant sans cesse jusque là tout va bien, alors même que le coma risque d’être profond a l’atterrissage sans secours.
Expression divine ? Non ! C’est un signe qui ne trompe pas. Nous assistons à des mimiques d’un pouvoir dictatorial, peuplé de politicards, avant une autre affreuse crise postélectorale en côte d’ivoire en 2015.
En politique, on ne peut pas être majoritaire et avoir peur de la transparence. Ce ne sont que des mimiques avant une autre crise postélectorale en 2015 en côte d’ivoire, avons-nous dit. Qui vivra verra…
La rive Mauritanie avons-nous avertie pendant la campagne présidentielle de 2010. Nous y sommes ! D’ou il faut parler soûrâkâ. Citoyen ivoirien! Ne soit pas un bouc, entre les mains d’un boucher Sourâkâ.
De Lepetitfils da Candy : leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force