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17 mars 2023 5 17 /03 /mars /2023 12:02
Lepetitfils : Il faut, un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance, et tous les acteurs d’accord. Pour ne pas retomber dans les mêmes travers systémiques des élections de façades sous l’influence d’un politicien ou d’un parti politique. A défaut le R?DP panier à scorpions, à serpents, attrape-tout, bouffe-tout, peuplé de piranhas, de manges-mils saisonniers, aura toujours sa majorité d’élus à toutes les élections à venir, au mépris de la majorité circonstancielle des contraints et trimbalés à ces élections

Lepetitfils : Il faut, un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance, et tous les acteurs d’accord. Pour ne pas retomber dans les mêmes travers systémiques des élections de façades sous l’influence d’un politicien ou d’un parti politique. A défaut le R?DP panier à scorpions, à serpents, attrape-tout, bouffe-tout, peuplé de piranhas, de manges-mils saisonniers, aura toujours sa majorité d’élus à toutes les élections à venir, au mépris de la majorité circonstancielle des contraints et trimbalés à ces élections

A LIRE INTEGRALEMENT ET CHOISIR SA VOIE DE SORTIE DE L’ABIME SOCIALE.

Pour notre sacerdoce citoyen, disons que : La vie socio-politico-démocratique et électorale se nourrit de débats d’idées et d’analyse systémique. Et débattre d’un système politico-gouvernemental, et analyser une situation, ou une pratique, c’est se pencher sur ces faits, dans une perspective d’évaluation, puis participer à son amélioration, en persuadant le souverain absolu qu’est le peuple, en convainquant la totalité sociale, en entraînant le corps social dans son entièreté solidaire à l’intelligence de la situation qui s’impose et d’y remédier. Donc, analyser une situation signifie de séparer un tout en ses éléments, cela ne va pas sans vérité CRUE et NUE. Donc, une analyse est  toujours normative, elle nécessite donc une explicitation large, étayée et détaillée, fondée sur un modèle référentiel, afin de son transfert éventuel dans l’organisation sociopolitique par le biais de normes consensuelles élaborées dans une situation épurée, par des acteurs politiques et des citoyens participants sans responsabilités publiques effectives. Ici le succincte n’explique pas assez, la litote convainc peu. Ici, la vérité est loge dans le large, dans l’étayé et dans le détaillé. La compréhension est dans le dit. Le discernement est au bout de la persistance.

*- KOUMA : Les grands principes sont le fondement de la République où la raison dispose de l’action politique.

D’emblée donc, disons-le tout net, en côte d’ivoire, le cadre organisationnel des élections démocratiques et son processus électoral doivent tenir l’exigence rigoriste de la promesse républicaine de sécurité civique, de l’égalité de chance pour tous dans la conquête du pouvoir d’état, placé à équidistance sur la même ligne de départ pour le concours de la représentativités nationale, qu’est les élections ouvertes. Donc, de l’égalité de tous en droits, indépendamment des castes, indépendamment des appartenances politiques, indépendamment des origines individuelles, indépendamment des convictions philosophiques, indépendamment des croyances religieuses. Cela sans aucune politique condescendante exhibitionniste de domination partisane, sans  obstruction politicienne,  par cooptation-achat des autres sensibilités politique. Et d’ouvrir à l’égal accès les compétions électorales aux regards souverains de la totalité sociale souveraine, pour la conquête du pouvoir d’état, qui est par excellence un concours de représentativité du peuple souverain, ultimes détenteur du pouvoir étatique, mis ainsi en jeu, sous l’égide d’un arbitre électoral Apolitique et Autonome. Ceci permet d’obliger la dévolution du pouvoir d’état placé à équidistance de tous les partis, de tous les mouvements, de tous les citoyens candidats, sur la même ligne de départ, par des élections transparentes, ouvertes. Ayons le courage qui sied pour le dire, la politique ivoirienne est atteinte de la maladie de mensonge au sommet de la hiérarchie étatique, le système électoral ivoirien souffre dans sa conception organisationnelle de la mythomanie schizophrénique en pleine tête. La société que ces atteint de maladie de mensonge et de mythomanie schizophrénique incurable appellent de leurs vœux est celle qui permet de diviser pour régner et de désintégrer les destins collectifs pour mieux exacerber les particularités qui les ont enrichit. Donc une concrétion égocentrique de moi, plutôt qu’une convergence de nous, l’ouverture conditionnelle par des murs diviseurs à l’autre, en lieu et place du respect strict des différences politiques.

Bon ! Le Progrès n’est pas fanfaronnade et flagornerie, ni bitumier, ni goudronnièr, mais doit commencer par l’homme comme centralité et pour centralité économique le bien être humain,  pour centralité sociale le citoyen libre devenue le cœur de l’action politique développementale. Oui, le socle existentiel d’un pouvoir absolutiste totalitaire est de faire un pacte avec la misère du peuple. Donc, il est question d’oser la vérité CRUE et NUE. « Le président américain Abraham Lincoln ! Disait que : On peut mentir à quelqu’un tout le temps, on peut mentir à tout le monde un certain temps mais on ne peut mentir à tout le monde tout le temps ». Oui, Dans une société de toutes sortes de misère, Dieu l’argent s’impose toujours comme mesure de valeur sociopolitique. Et il est très difficile de contrarier cette réalité, face à la misère sociale, face à la misère matérielle et la misère morale avec la dépravation de mœurs qui s’en suit et à la misère intellectuelle articulée au ventre. Donc, il est question de soutenir la démocratie représentative, pour qu’elle ne se suicide pas, ici, sur la terre de nos Ancêtres, ou le ventre  finira par vaincre l’intellect Humain. Oui, pour ce qui savent lire les sociétés pour découvrir leurs demains et pour ce qui prennent la peine désintéressée de regarder les sociétés à l’aune des réalité d’Hier et au prisme des faits sociaux, la côte d’ivoire offre aujourd’hui le visage d’une société à la dérive, qui ne présente rien qui soit porteur de lendemain meilleur qui chantent, pas même pour les ennemis des ivoiriens. Une société ou en lieu et place de « pas une seule goutte de sang humain versée sur le sol ivoirien »,  chaque élections qui devrait être une fête est couronnée par les funérailles, des morts suites aux « jeux » démocratiques et électoraux vidé de son sens

*- Le respect du libre arbitre de chacun et le consentement fondé sur l’acceptation des valeurs d’intérêt général.

Donc, il nous faut faire à tout prix bouger la ligne socio-politico-électoral de la côte d’ivoire, au prix que cela mérite, d’où aucun sacrifice n’est trop grand. Oui, il nous faut absolument unir la nation ivoirienne contre ceux qui veulent la diviser pour mieux la déchirer à fin de régner. Donc, ou bien, nous serions capables de régulation sociale sans état d’âme et tous ensembles, ou bien nous demeurons tous dans la misère et dans la barbarie sociopolitique nourrit à l’obscurantisme, avec la force et Dieu l’argent comme mesure de valeur sociopolitique. Bon ! Ne n’oublions pas, les sociétés humaines progressent non pas de façon linéaire, mais par fracture aussi imprévisible que le tremblement de terre. Ceci est valable pour la société ivoirienne. La côte d’ivoire de Félix Houphouët  Boigny, n’est plus maitresse d’elle-même et de son destin dans le concert des nations civilisées. Elle n’est plus qu’une immense déchirure sociale, un vaste champ de ruine sociétale, dont les décombres son laisser à la merci des vautours professionnels, des pilleurs endurcis, des escrocs ataviques. Elle est désormais devenue dispensatrice de désespoir, de misère et de désolation, sous la coupe de sinistres personnages sans foi, ni loi, tout pour Dieu l’argent, tout pour manger, tout pour être à la table des convives nocturnes, ils disent et se dédisent.

Donc, pour la politique ivoirienne, pour le politique ivoirien, et pour le peuple ivoirien articulé aux citoyens libres ivoiriens, l’heure n’est pas aux pleurnichements, assis sur des luttes intestines et des déchirures partisanes, sur des combats de leadership ou aucun leader n’a sortira vainqueur, ni aujourd’hui, ni demain, encore moins en 2025-2030, objet de tous les calculs politiques légitimes et de toutes les stratégies politiques actuelles, Non ! La côte d’ivoire a besoin de régulation systémiques sociopolitique, judiciaires, démocratique-électorale d’abord, il faut un système de régulation fiable. Alors, il faut dire que ça suffit ! Que le peuple souverain de côte d’ivoire doit rester maitre de son destin. Parce que, le monde n’est plus en un temps où les peuples, illettrés, privés de savoir et soumis aux rudes épreuves de l’obscurantisme d’un absolutisme totalitaire, reconnaissaient volontiers leurs insuffisances intellectuelles, leurs incompétences organisationnelles et acceptaient d’être dirigé par une dictature ou par les puissants de ce monde. En ce 21e siècle c’est tout le contraire, là où la société d’antan se fondait sur l’obéissance moutonnière et le panurgisme de vache qui ne demande qu’à manger, celle d’aujourd’hui privilégie la persuasion discursive, l’obéissance volontaire, le dialogue pour convaincre les réticences, la concertation pour harmoniser les points de vues, le consensus pour arriver à la vie commune paisible, l’autonomie individuelle pour le respect du libre arbitre de chacun et le consentement fondé sur l’acceptation des valeurs d’intérêt général.

*- D’où les gouvernants sont obligés de persuader, de convaincre et d’écouter les gouvernés consentants.

D’où aujourd’hui, les gouvernants sont obligés de persuader et de convaincre les gouvernés consentants. Mais hélas, de par la force de Dieu l’argent et souvent des armes impies de carriéristes et arrivistes renégats, le peuple ivoirien assujettis à ces forces aveugles est engrené dans un panurgisme suiviste d’élection moutonnier, dégrevé de toute essence démocratico-électorale et  pluraliste, pour que règne l’anti-Houphouëtisme sous couverture de l’Houphouëtisme réduit à la Bâtardise. Oui, nous en convenons, qu’en politique, la légitimité appartient à la majorité absolue des citoyens, mais nous observons que cela se jauge à l’aune du suffrage universel au terme des élections propres sans abstention de plus de 80% de l’électorat total. Ce qui impose donc, qu’un pouvoir est tenu,  à chaque occasion de crises, de faire la preuve de la légitimité populaire de sa politique devant le peuple souverain. C’est un postulat absolu, de démocratie électorale des pouvoir démocratiques, doté d’une intelligence politique, stratégique et habité par un minimum de sagesse politique. Bon ! Disons que, la différence entre un homme politique intelligent et un homme politique sage est que le premier arrive toujours à sortir de l’ornière ou le second a toujours su ne pas tomber. Mais Hélas ! La politique du ventre banni toute sagesse, toute intelligence, toute dignité, toute fierté, tout orgueil positif, pour honteusement se muer en motifs de snobisme. Ainsi la bêtise se retrouvent glorifiées, et le glas de l’intelligence humaine sonné, parce que le ventre gouverne l’intellect.

Bon ! Il serait malheureux aujourd’hui, si l’on considère  que, les élections de 2010, de 2015, de 2020 et suivantes, ont été des réussites, électorale en côte d’ivoire, alors celles avenir de 2025-2030 seraient une réussite avec les mêmes conséquences. En l’état actuel des choses, le système électoral ivoirien, n’offre aucune garantie qui puisse présager d’une réussite de celles de 2025-2030 et les suivantes, dans le sens démocratique des nations civilisée. Hélas ! Dans notre pays la côte d’ivoire, une mutation socio-politico-économique, d’irruption imprévue, « Qui laisse le citoyen, l’homme, l’être humain, avec mépris au bord de la route du progrès sociopolitique », non-conforme au calendrier d’agencement sociétale des pères fondateurs, orchestrée par une ploutocratie politique carriériste aveugle, et d’une politique économique dirigiste, tend à fragiliser le lien social. Donc, en lieu et place de la consolidation sociétale par la justice sociale « le bon partage des richesses de l’organisation sociale avec la chance égale pour tous» et par la justice juridique pour chacun, « l’élaboration consensuelle des normes de régulations sociopolitiques acceptées par tous » cette misérable mutation sociale d’irruption imprévue, engendre la création/formation, des compartiments d’intérêts personnels et des murs diviseurs. Une tendance qui affaiblit la cohésion socio-politico-communautaire  de la nation, de l’état de droit réel et de la démocratique. Donc, pour la  nation ivoirienne, il s’agit dans le consensus solidaire, de récupérer toutes nos valeurs sociétales, dans un tous ensemble solidaire, de tout revendiquer solidairement, légalement, «républicanisme, souverainisme, patriotisme, nationalisme censé, libéralisme véritablement humain», «Ces idéaux sont efficaces, quand elles agissent synergique-ment», pour mieux tout dépasser, et refonder une côte d’ivoire nouvelle sur le socle de tout ce que les grandes expériences de nos référents et devanciers, nous ont légué comme valeurs et mœurs sociétales.

Donc, tous  imbriqué au tour de l'intérêt général d'abord et rassembler au-delà de ses appartenances idéologico-politiques. Ensuite, Innover nous-même avec nos propres capacités, pour faire notre propre Histoire, avec nos propres actions socio-politico-économiques, soutenues par nos propres mots, avec nos propres expériences, sur la base de nos propres réalités sociologique, tant politique, sociale, qu’économique. Cela pour avoir une société, stable, solidaire, cohérente, juste, paisible, dans l’exaltation de la diversité solidaire. Une société qui se nourrirait de la sève de la solidarité soutenue et de la citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement. Le tout convergent dans une nation ouverte sur le monde naviguant a vue, sans nuance, ni opacité, vers le concert des nations. Donc, il s’agit aujourd’hui invariablement de replacer au centre de la société avons-nous toujours dit et répété, non pas l’état prédateur, la bureaucratie mafieuse, le fascisme de la répression arbitraire, Dieu l’argent et les armes, la terreur des plus puissants comme mesure de valeur sociale, Mais de replacer l’homme et le citoyen au centre du débat politique, économique, social et développemental pour une nation une et indivisible.

*- Oui, l’espoir de paix siège dans la mise en œuvre d’une relation nouvelle entre les institutions et les citoyens.

Bon ! Certains échos nous font savoir que, d’autres n’ont pas encore compris que nous sommes la LC_CRS, Qui n’est jamais du monde des courtisanerie, qui est toujours malhonnête tournant autour d’une seule visée, qui ne sert pas deux « 2 » personnes, mais une seule personne, le courtisan et son but particulier a atteinte. La LC_CRS qui n’est jamais du monde des avides qui souscrit qu’a la recherche des intérêts glauques, égoïstes au mépris de l’intérêt général. La LC_CRS qui n’est jamais du monde boulimique à la recherche de la malbouffe des bouffe-tout. Ce qui fait que pour nous LC_CRS, « pauvre-type » est notre maillot préféré pour expédier les meilleurs coup-francs dans l’angle des buts de l’absolutisme totalitaire. Oui, «Minable-débile» est notre dossard, qui nous permet d’obtenir les meilleurs penalties dans la surface de réparations absolutiste totalitaire et d’en expédier dans le petit-filet intérieur, «Epiphénomène » est notre préféré schéma tactique infernal, déferlant, irrésistible de jeu politico-électoral qu’est : Citoyennes + Citoyens = 1-Citoyen, pour réduire le misérabilisme politico-électoral de l’absolutisme totalitaire au son état réel de moins de 20% de taux de participation électoral au cours des élections quelles qu’elles soient. Le vrai citoyen libre n’est bon que, sauf quand il est traité « d’Epiphénomène-minable-débile ». « D’autres amis de l’absolutisme totalitaire, faisant fi d’ignorer ceci, ont osé ajouter à ça le mot Racaille et Puff, plus de 2000 voitures de l’état, domaine public, ont servi de feu-d’artifice a la fête-Racailles, en pleine nuit, dans l’ordre du public». C’est pourquoi, il convient encore de se répéter encore ici, nous ne sommes pas les saints des saints ou des papes à Rome. Mais la personne physique de l’homme politique ou du gouvernant ne nous intéresse pas, encore moins son argent ou son bien matériel. Seule sa politique, ses idées, ses actions qui décident de notre vie, de la vie de tous et de la vie de chacun, nous intéressent et nous préoccupent. Parce qu’il ne suffit pas d’éluder habilement les problèmes par crainte des crises sociopolitiques ou de faire fi d’ignorer les causes de la crise sociale, en se leurrant dans une politique de l’Autriche. Mais plutôt, il convient d’agir constamment sur les causes premières des crises pour pouvoir obvier la crise sociale. Et d’œuvrer dans la recherche inlassable par fois ingrate de la stabilité politique, de la paix sociale et l’harmonie intercommunautaire.

Oui, nous sommes la légitimité citoyenne, un mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicaine sociale, Houphouëtiste enragée d’un éclectisme assumé. Oui, le banditisme politique et la voyoucratie politicarde n’ont jamais été des nôtres. Eux, qui face aux confrontations contradictoires des arguments pour que la vérité germe des débats, préfèrent l’utilisation des poignards plantés dans le dos, de la démocratie et de l’état républicain de droit, dans l’anonymat des bas-fonds de cooptations de marionnettes chansonnières. D’où philosophie, idéologique, doctrine politique sont mis en congé. Donc, plutôt que de persuader par une rhétorique lisible et audible et de convaincre l’autre différence, ils préfèrent se saigner et s’achever dans la fureur des hallalis orchestré de façon mafieuse. Non ! Jamais de la vie. Mouk ! Nous a la légitimité citoyenne (LC_CRS) préférons le conventuelle Balisé pour tous. Bon ! Erich FROMM humaniste américain d’origine Allemande a dit : « Notre capacité de douter, de critiquer et de désobéir est sans doute le seul moyen d’éviter la fin de la civilisation et d’assumer l’avenir de l’humanité». Et à Thomas Jefferson de pilonné a la face du monde que : « Un peuple qui est prêt à renoncer à sa liberté pour se sentir en sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre ». Donc, « pauvre-type » et « minable débile » est notre maillot et notre dossard de compétition, donc, notre fierté. Oui, tout peuple martyrisé qui a le courage de ses actions légitimes et légales et de ses opinions libres et pacifistes, à le pouvoir de conquérir ses droits, ses libertés et de changer sa société. Nous voilà ! Chers Fichus déboussolés absolutistes totalitaires, Abroutit Nais démocratique et Pygmées Tricheurs électorales aux ombres hautement grandit.

*-Un organisme électoral du standard international coutumier, pour le bon fonctionnement juridico-politique, etc

Bon ! Le sage a dit que : « Quand l’ombre du pygmée grandit c’est que le soleil va se coucher ». Bon ! Vous nous entendez au moins pour une réponse systémique à l’organisation sociopolitique ?  Ou bien vous êtes en train de fulminer des crimes de sales gueules contre toutes les différences ? Sinon rafistoler quoi ? Bon ! quelqu’un a dit que « de toute façon les merdes volent en escadrille ». « Mais il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir et pire sourd que celui qui ne veut pas entendre », confiner dans votre nombrilisme et misérabilisme politique, nous, on vous KOUMA. Afin de, Dé-géré, Décalé, Débouclé ce qu’on n’a déjà « gérécalé et bouclé » pour vous laisser et s’en aller. Notre problème ? Le voici, c’est plus fort que nous : Comment concilier une politique de paix «  pas une seule goutte de sang humain versée sur le sol ivoirien » et de d’acceptations des différences quelles qu’elles soient, avec une politique électorale criminelle, qui a chaque élection zigouille des citoyens sur l’autel de l’acquisition et de la conservation. Comment réconcilier une idéologie politique pacifiste de solidarité agissante, de dialogue comme solution aux problèmes sociopolitiques, de consensus, d’harmonie, avec une idéologie politique ploutocratique, prédatrice, ultralibérale de jungle, d’enfermement sectaire et de mépris pour les autres différences politiques ? Comment concilier une doctrine politique de non-violence, « d’où la paix n’est pas un vain mot mais un comportement au quotidien », avec une doctrine politique de violence inouïe érigée en système de gouvernement et la violence postélectorale ou les armes fusils restent la mesure de valeur sociale unique ? Comment concilier une politique d’harmonie sociale et de concorde civile, avec une politique carriériste de division pour régner qui alimente des affrontements intercommunautaires dans toute l’assiette territoriale nationale ? Et comment concilier la démocratie pluraliste comme instrument unique de conquête du pouvoir d’état, avec l’intransigeance a consigné l’organisation électorale entre les mains d’un organisme électoral non-Autonome, et Politique, donc, partisan et peuplé des arbitres-joueurs. Non ! C’est impossible. Donc, nous a la LC_CRS on n’a un problème sérieux d’intérêt public, qui exige solution dans l’ordre du public et pour l’ordre social. Nous vomissons les armes dans l’arène politique, nous abhorrons la violence en politique, nous détestons la politique violente, nous sommes allergique aux germes de violences en politiques. Nous sommes la LC_CRS, dont l’objectif n’a jamais été pécuniaire. C’est pourquoi, attachée aux droits et libertés des citoyens, et surtout à la légitimité populaire qu’enfante la citoyenneté, nous revendiquons ainsi souvent ponctuellement notre droit d’aller en enfer pour nos opinions et de déplaire ainsi à certains hommes politiques absolutistes et totalitaires.

.Donc comme nous l’avons déjà dit et répéter, que pour nous a la LC_CRS, à ce stade de l’inconséquence dans l’entretien sciemment de la crise ivoirienne, la question centrale est la suivante : Comment aider la côte d’ivoire à reconstruire les droits et les libertés pour tous et qui s’impose à tous. Comment aider la côte d’ivoire à reprendre les rails stables de l’ordre social, de l’état républicain de droit et de la démocratie réelle. Pour que  le Train ivoire aujourd’hui vacillant, oscillant, versatile, sur ses bases souveraines ne  finit pas, ses zigzag, ses micmacs, ses Ping-pongs de politique politicienne dans un précipice abyssal. Donc, comment soutenir la démocratie représentative, pour qu’elle ne se suicide pas ? Donc, d’intégrer les citoyens libres dans la délibération. Oui, La légitimité est trop souvent réduite à sa définition électorale : est légitime celui ou celle qui est proclamé vainqueur des élections, encore que cela soit sans fraude. Donc, cette conception de la légitimité est très insuffisante pour rendre compte des titres à parler, à représenter, à gérer, à réguler, à autoriser ou à interdire, qui fondent la vie démocratique d’un état de droit, ou le système électoral certifie le résultat électoral. En face de la légitimité des vainqueurs proclamés par un système non-fiable, et non-crédible existent de multiples formes de légitimité circonstancielles qui donnent à la vie politique ce pluralisme d'autorités sans lequel la démocratie n’aurait que peu d’épaisseur». Oui, il est tout à fait possible qu’une démocratie se suicide, comme ce fut le cas en Allemagne avec l’arrivée d’Hitler au pouvoir en 1933. Donc,  il est impossible d’assimiler le seul vote a un système démocratique, comme les élections dans des pays absolutistes et totalitaires, ou tout est trucages et obstructions. Il est erroné de croire que la démocratie repose sur la rationalité d’un vote dans n’importe quelle condition. Il est  faux d’imaginer que la démocratie, telle que nous la connaissons dans les pays démocratiques occidentaux, dont la France, est définitivement installée chez nous. Il serait enfin fallacieux de penser que l’injure obscurantiste, qu’est la désinformation électorale, utilisée par l’absolutisme totalitaire cesseront d’elles-mêmes dans l’avenir. Bien qu’un espoir existe pour sortir de l’ornière ou nous sommes englués aujourd’hui. Cet espoir siège dans la mise en œuvre d’une relation nouvelle entre les institutions républicaines procurées et les citoyens libres procurateurs.

*- Obvier définitivement les crises sociopolitiques sempiternelles et cycliques dans notre pays la côte d’ivoire.

Donc, puisqu’il est de notoriété universelle, que dans un état républicain de droit et en démocratie réelle, nul pouvoir ne doit pouvoir s’imposer au peuple, et nul pouvoir ne doit paisiblement et durablement gouverner un peuple, s’il n’est pas soutenu par l’autorité qui résulte de la croyance du peuple gouverné en sa légitimité populaire. Et il est constant que dans un état républicain de droit, qu’ il n'est d'autre moyen de fonder la légitimité démocratique que de faire partager à l'ensemble des citoyens la conviction que leur volonté s'exprime à travers la représentation nationale élue. C’est pourquoi aussi, il est universellement admis comme règle que le pouvoir démocratique légal et légitime s’entend comme issu des élections, sans tricherie planifiées, sans fraudes orchestrées, sans passage en force électoral schématisé et donc, qui exige que le processus électoral rassure tout le monde consentant. Et qu’une élection n’est crédible que si elle rencontre l’agrément de la totalité sociale qui consente consensuelle-ment à prendre les urnes de votes comme l’arbitre du corps social. Revoici donc, ci-dessous la condition systémique irréfragable pour satisfaire aux exigences de ces règles universelles suscitées. « Une commission électorale Autonome et Apolitique, qui gèrera librement tout le système électoral, sans aucune interférence de qui que ce soit, et qui s’adjoindra librement tous les expertises quelles qu’elles soient». L’ordre social est à ce prix, la stabilité sociopolitique est à ce prix, l’Harmonie intercommunautaire est à ce prix, la paix sociopolitique est à ce prix. Pour que les ivoiriens réapprennent à rire à nouveau ensemble, apprécie ce qu’il y a de meilleur en chacun, au terme d’un vrai processus de réconciliation nationale, ou tout en disant la vérité crue et nue, nous demanderons humblement au peuple d’essayer de pardonner pour la paix, la stabilité et pour vivre en commun dans le respect des différences, au terme d’une l’Amnistie générale référendaire comme couronne

Les discours de propagandes pour diversion orchestré afin de couvrir le trucage électoral est un mode électoral de domination tenu pour archaïque en ce 21 siècle. Donc, nous disons, qu’à défaut de ce système électoral fiable, il faut boycotter les élections. Puisque dans un système électoral partial, érigé en organisme de trucage, La participation a une élection ne peut rien changé vers l’évolution d’une vie sociopolitique et démocratique paisible respectueuse des droits et des libertés. Le citoyen en votant dans ce système, ne pourra rien régulé. Le citoyen utilise dès lors son seul moyen d’exercer son dernier contre-pouvoir qu’est le boycott qui est un refus de légitimer une mascarade. Donc, on s’abstient, on boycotte, mais on fait confiance à la protestation légitime pour faire entendre sa voix citoyenne. «Ici il s’agit de 80% d’abstention électoral». Le boycott est un signe de manque de confiance dans le processus. Le citoyen boycotte pour délégitimer la structure du pouvoir, qui en ressortisse dans le mépris des droits. La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny perd son identité sociale, perd sa spécificité dans le concert des nations. Il y a visiblement péril. Une société composite se règle dans le consensus a l’intérieure de la société commune et a l’intérieure de l’égalité de toutes sa composante sociale. Le cadre de l’organisation sociale doit reposer sur un ensemble  de principes coutumiers, de règles universelles que les individus élaborent consensuelle-ment, a fin de vivre paisiblement, harmonieusement et collectivement. Oui, les pays à processus électoral paisible, sont ceux dont/ou les populations ont acquis la conviction que le résultat des scrutins reflète bien la volonté populaire, sans interférence politique. De même, les partis et les candidats ont appris qu'ils sont traités avec égalité tout au long du processus électoral. Ces conditions contribuent à la légitimité et à la stabilité de leur environnement électoral, et confèrent vitalité, dynamisme, fiabilité et viabilité à leur démocratie.

*- L’Anticipation des perspectives d’avenir paisible, sereine dans le temps, pour obvier définitivement les crises

Oui, retenons-le, dans une société en crise électorale sempiternelle, la seule voie possible pour sortir de l’impasse c’est d’accepter et d’adhérer au principe de droit, de liberté, de démocratie. Il revient aux politiques d’encadrer cette aspiration populaire à vivre dans une société de droit, de liberté, de justice, et non de légitimé une société où la rivalité s’organise autour des enjeux d’usurpation du pouvoir par quelques. Ici donc, quand ces grands principes sont obstrués c’est le non droit et c’est l’arbitraire au service de quelques-uns. Et ce fait relève du choix du désordre et non de l’option exigeante pour la paix et la stabilité. Ces grands principes démocratiques sont le fondement de la République où la raison est le vecteur de l’action politique. Il nous faut donc, un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance, et tous les acteurs d’accord. Pour ne pas retomber dans les mêmes travers systémiques des élections de façades sous l’influence d’un politicien ou d’un parti politique quel qu’il soit. A défaut le R?DP panier à scorpions, à serpents, attrape-tout, bouffe-tout, peuplé de piranhas, de manges-mils saisonniers aura toujours sa majorité d’élus par les votants à toutes les élections à venir, au mépris de la majorité sociologique réelle « ou circonstancielle », des contraints et trimbalés à ces élections de façades. Cela en dépit de l’exigence des principes coutumiers et règles universelles des élections propres et transparentes. Oui, il faut du sérieux, du concret, du tenable dans le temps, pour arriver à la stabilité politique et à la paix sociale. Il faut surtout, une anticipation des perspectives d’avenir paisible et sereine dans le temps. Et ensuite d’obvier tous ensemble définitivement les crises sociopolitiques devenues sempiternelles et cycliques dans notre pays la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny. Citoyens libres ici encore, malgré nous, nous avons KOUMA. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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  • DA CANDY LEPETITFILS: Juriste (publiciste et internationaliste) militant des droits de l'homme et des libertés publiques et leader d'un mouvement politique d'utilité citoyenne en côte d'ivoire. En exil forcé...

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