Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
27 mars 2023 1 27 /03 /mars /2023 03:22
LEPETITFILS : BOYCOTTER TOUT A COMMENCER PAR LES ÉLECTIONS LOCALES «MUNICIPALES ET RÉGIONALES» ET PARTANT LES SÉNATORIALES QUI S’Y RATTACHE, PARCE QUE MAFIEUSE-MENT RETIRER DE LA GOUVERNANCE DU SUFFRAGE UNIVERSEL DIRECT, POUR ÉCHOIR A LA LOGIQUE NÉBULEUSE DE PARTAGE DE GÂTEAUX, QUESTION DE CONTENTER TOUS LES MEMBRES BOUFFE-TOUT ET ATRRAPE-TOUT ASSIS A LA TABLE DES CONVIVES NOCTURNES. DONC, BOYCOTT-DE-REFUS DE LÉGITIMER UNE MASCARADE ÉLECTORALE DÉLINQUANTE A CIEL OUVERT.

LEPETITFILS : BOYCOTTER TOUT A COMMENCER PAR LES ÉLECTIONS LOCALES «MUNICIPALES ET RÉGIONALES» ET PARTANT LES SÉNATORIALES QUI S’Y RATTACHE, PARCE QUE MAFIEUSE-MENT RETIRER DE LA GOUVERNANCE DU SUFFRAGE UNIVERSEL DIRECT, POUR ÉCHOIR A LA LOGIQUE NÉBULEUSE DE PARTAGE DE GÂTEAUX, QUESTION DE CONTENTER TOUS LES MEMBRES BOUFFE-TOUT ET ATRRAPE-TOUT ASSIS A LA TABLE DES CONVIVES NOCTURNES. DONC, BOYCOTT-DE-REFUS DE LÉGITIMER UNE MASCARADE ÉLECTORALE DÉLINQUANTE A CIEL OUVERT.

« Bon ! D’emblée disons entre guillemet que, la politique demeure un noble Art: «En France, la mère patrie, Emmanuel Macron n’a-t-il pas tiré sans succès, tous ses coups francs, directs et indirects sur la barre retrait, et face à l’impossibilité pour lui de pouvoir marqué le but retraité, s’est résolue à s’adjugé la coupe retraitée de France, la conséquence de cet auto-adjugé messianique, augure-t-il pas un retrait de cette coupe ? Au risque de s’enfermer coincé pendant quatre (4) Ans sous les décombre d’une résignée dissolution jusqu’à la retraite, de La République En Marche ? Courage Monsieur ! Puisque, c’est une constance, que les peuples libres retirent souvent ponctuellement leurs procurations électorales, avant sa date de l’échéance de retraite. C’est entre guillemet ».

*- Chronique KOUMA : Face aux FLAGORNEURS Impénitents, la roue de l’histoire doit tourner. A LIRE ET A RELIRE.

*- Bon !  Peut-t-on encore espérer de l’organisation sociopolitique en côte d’ivoire et de l’avenir de la côte d’ivoire côte d’ivoire ? Au moment où il n’existe pas un système d’organisation électorale, qui non-pas consensuel des partis, mais Autonomiser dans son essence architecturale, Apolitique  Autonome, Indépendant, Neutre Impartial et totalement dédouané des Hommes politiques, d’où aucune élection ne peut aboutir sur la stabilité sociopolitique, et ne peut aucunement garantir la paix sociale à la côte d’ivoire ? Nous l’avons dit et nous le ressassons, il faut pour la côte d’ivoire un système électoral qui échappe au contrôle des hommes politiques, tenus par des intérêts politiques logiquement partisans, donc forcément de parti-pris, pratiquement malhonnête et partial. Oui, l’opposition ivoirienne, est entrainée vers l’engrenage de sa perte, et trimbaler petit-a-petit vers une crise postélectorale, qui donnera encore la parole aux armes « fusils » en 2025 et suivantes comme toujours. Sauf à nous convaincre, de par quelle Force ce système électoral va proclamer la défaite de son système politique source ?  Non ! Nous n’y croyons pas, notre degré de crédulité n’a pas encore atteint ce niveau de naïveté.

Oui, comment proclamer la défaite électorale de son système source nourricière, d’une camarilla théâtrale et bouffonne qui impose sa volonté gestapiste. Cette piteuse Meute de rugbymans ressortissants incontestés de Linas Marcoussis, pour lesquels, l’honnêteté, est un crime de naïveté. Les jeux fairplays démocratiques sont une faiblesse et une docilité politiques. La roublardise politique est une intelligence stratégique et d’importation. La violation des normes de régulations sociopolitiques et l’élaboration unilatérale des normes anomiques et démodées sont une force politique. Les fraudes et les trucages électoraux sont déterminants dans l’obtention de la majorité électorale. Les actes d’intérêt général ou les actions d’intérêt public sont un péché politique. L’originalité politique est une tare partiaire à éliminer. Toute exception de pensée ou de distinction morale est une folie passible de réclusion politique et d’ostracisme. Et l’alternative démocratique par des élections libres, justes, équitables, transparentes et démocratiques sont un crime d’apartheid ouverte sur l’entrée en enfer. 

*- Peut-t-on encore espérer d’une voie légale de conquête du pouvoir d’état en côte d’ivoire ?  Avec des élections démocratiques ouvertes, pluralistes, consensuelles, et avec les chances égales pour tous au départ, qui passe absolument par un organisme électoral professionnel, Apolitique, Autonome, indépendant, neutre, impartial sous  par la supervision judiciaire de son démembrement institutionnel judiciaire totalement indépendante non-inféodée au pouvoir exécutif et à aucun parti et mouvement politiques. La paix est à ce prix. Or, les politiques, les partis et mouvements qui peuplent la CEI actuelle, sont conscient qu’étant membre du corps arbitral CEI que les jeux politiques se poursuivrons aux seins de cette organisation. Donc, ils n’ont pas intérêt que le jeu politique se limite sur le champ démocratique et électoral. Donc, ils veulent être l’arbitre du processus électoral et en même temps compétiteurs, avec sifflet d’arbitrage téléguidé a la bouche. Donc, La commission électorale, le conseil constitutionnel, le découpage électoral, le mode de scrutins  électoral «supports de votes» resteront sous leurs  coupe chacun usant de sa stratégie partisane. Ce qui est l'expression la plus antagonique du suffrage universel et du droit inaliénable de tout peuple à disposer de lui-même. Donc, une vie politique et électorale « Bâcôrônîsé ».

Oui, cette  «Bâcôrônî-sation électorale» trace ainsi la voie satanique vers l’enfer de l’Abime sociale. Le cocktail explosif est là, le décor est planté au tour d’une Grenade a goupille tirée, la danse des diables est prévu pour 2025. Tout est rafistolé et bouclé semble-t-il, en ignorant les petits marteaux citoyens, qui eux aussi font fi d’ignorer les grands rafistolages outranciers, les fulminations outrageuses et les bouclages hermétiques. Que la nature maudisse l’absolutisme totalitaire de ces politicards carriéristes jusqu’au garage politique de l’oubliette. Soyez maudit fichu système ! C’est clair, on n’a pas besoin des lunettes des profs et maîtres de l’antiquité Grec, pas même besoin des lunettes stratège de l’historien athénien Thucydide, ou Celle de Emmanuel Kant, ou même des lunettes des rédacteurs de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 pour le voir le danger. Dont la dernière trouvaille controuvée est de tenter de faire enrôler tous les partis d’opposition dans l’organisme suicidaire électoral actuel. Qui est désormais estampillé comme preuve de la gestion de la totalité sociale pour tous les ivoiriens consentants. Bon ! La danse des diables est prévue pour 2025 et suivants. Qui consistent à faire sciemment fi d’ignorer la réalité en face, et s’en donner à des coups de poignards dans le dos de la stabilité sociopolitique, d’harmonie intercommunautaire et la paix sociale, dans les baffons de l’anonymat obscurantiste.

*- Peut-t-on encore espérer d’une côte d’ivoire où le citoyen libre, oui, enfin totalement libre, n’a plus que le droit et les règles librement établies, pour limite ? Nous avons toujours souligné que notre crise ivoirienne, est une crise sempiternelle du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect du droit universel, par des gens avéré incapables de s’adapter à l’art universel du vivre en commun dans l’égalité de tous, dans le respect de normes juridiques de régulations sociales préétablies. Et qu’elle  «crise ivoirienne», a pris ses racines dans la conquête du pouvoir d’état par les Armes et dans ses terreaux fertiles que sont les fausses élections, et qu’elle n’a été possible, n’a pu se concevoir, n’a pu se faire, que dans la seule hypothèse, ou notre pays la côte d’ivoire d’Houphouët est devenu l’ombre de lui-même, en se déniant a la face du monde, «de pays de paix en devenant pays belliqueux» par la volonté d’une  politique renégate carriériste, cynique obscurantiste, intransigeante. Qui n’admet jamais s’être tromper de route dans la conquête du pouvoir, ou le droit de tout citoyen ne commence que là où s’arrête le droit des autres citoyens. Cela au mépris des forces matérielles quelles qu’elles soient.

*- Peut-t-on encore espérer d’une côte d’ivoire où les hommes d’horizons diverses et les citoyens ivoirien vivront selon le droit et les règles qui certifient notre seule raison d’être des êtres humains ? D’où ainsi les droits civils et politiques transcrits dans des normes doivent permettre de sauver et de garantir les droits inaliénables et les libertés fondamentales de tous, afin de protéger la société des désagrégations graves. Parce que quand la vérité historique et coutumière est violée ce sont les libertés publiques et individuelles qui sont mis en péril. Donc, il est indéniable que le remède de fond et de longévité de la crise de droit civique, civil et politique est un corpus de l’organisme électoral ivoirien qui exige que, la commission électorale soit indépendante dans ses actions, en droit d’agir, et indépendante des autres institutions républicaines, des partis et mouvements politiques. Parce qu’en droit international général, elle demeure au-dessus des dirigeants passagers des pouvoirs politiques et des politiques quels qu’ils soient. Donc, un corpus de l’organisme électoral qui oblige un exercice éclairci du noble art politique, sous la gouvernance des principes universels de démocratie participative, avec les griefs de tous soldés. Oui, l’écoute attentive des opinions des autres et leur questionnement politique dans la conduite des affaires publiques de l’état y compris politico-électoral sont les conditions indissociables de la tolérance authentiquement respectueuse d’autrui, donc, indispensable à l’harmonie intercommunautaire, à la stabilité politique et à la paix.

*- Peut-t-on encore espérer d’une côte d’ivoire stable, cohérente, harmonieuse, paisible et de l’exaltation de la diversité solidaire ? Oui, aujourd’hui, nous avons besoin du « devenue impossible » consensus républicain dans l’ordre du public, et au tour de la chose publique étatique. Surtout d’un système d’organisation rigoriste sur les droits inaliénables, incisive sur les libertés fondamentales, intransigeante sur les règles démocratiques et extrêmement pugnace face à l’autoritarisme d’un nombrilisme unilatéraliste et absolutiste totalitaire, devenu sacrement un danger public. D’où Il n’y a plus de Route avec le déviationnisme implanté au cœur de la vie socio-politico-électorale. Oui, le Bordel à gagner la république ivoirienne et le système d’état républicain de droit. Il nous faut changer de système électoral, changé de route tous ensembles unis, sans exclusive vers la stabilité et la paix. Oui, Changer de route dans l’exaltation de la diversité nationale solidaire, qui fera de notre pays la côte d’ivoire, un pays de citoyens égaux en droit et devoir. Parce que, dans un état démocratique, républicain de droit, digne de ce Nom, l’exigence de légale citoyenneté porte en elle-même, le droit égal pour tous, de participation active à la vie politique de son pays, de sa société, avec le même traitement procédural et juridique pour tous. Donc le droit égal pour tous à la vie, à la sureté de sa vie. D’où aucun citoyen n’est laissé sur la touche du progrès social. Puisqu’une bonne politique gouvernemental, une sérieuse politique économique, doit être capable d’offrir les mêmes chances sociopolitiques, les mêmes possibilités économico-sociopolitique de s’en sortir dans la vie quotidienne à tout homme, à tout citoyen ou que l’on soit dans l’assiette territoriale du pays gouverné.

*- Aucun pouvoir étatique, aucun élu, ou aucun groupe d’élus, ne peut faire le bonheur d’un peuple malgré lui.

Oui, en convenons-en, le jeu politico-électoral est un concours de représentativité nationale. Ce n’est donc pas l’UFR, ni la Fac, ni Normal-Sup, ni  Science-Po, même si elle demeure un noble art, qui s’exerce dans le respect des droits et des règles, ou les meilleurs ne sont pas souvent les vainqueurs, encore moins les plus grands lettrés, puisqu’on nait intellectuel «intelligentsia est inné». Donc, ce n’est pas un concours de l’opulence de richesses, ou l’argent n’a ni couleur, même puant l’odeur du couleur rouge, ou maculées de sang citoyens et imbibées de larmes d’orphelins de Guerre, ou même puant ostensiblement l’odeur de la cocaïne. Donc, la vraie politique, celle des porteurs d’alternatives, des profs d’idées, des paroliers pour les citoyens, des intellectuels indépendants, des éclaireurs d’opinion et des actions citoyennes « nous ne parlons pas ici, des FLAGORNEURS IMPENITENTS simples relayeurs de leurs propres processus d’autorégulation à des fins  d’intérêt personnel égocentriques», la vraie politique répétons-nous, est un apprentissage des limites et de l’autocontrôle, elle est aussi le respect de la diversité, de la pluralité politique, du consensus au tour des règles de la compétition électorale, qui se doit d’être loyale. D’où l’organisme électoral est une institution comme la présidence de la république, elles ressortissent tous les deux de la constitution. Donc, elle se situe au-dessus des dirigeants étatiques qui sont les enfants des élections, qu’il «l’organisme électoral» organise, d’où l’exigence de son Autonomie, et de son indépendance. 

*- Peut-t-on encore espérer d’une côte d’ivoire de la différence acceptée par tous, donc une côte d’ivoire de la variance, qui admet l’hétérogénéité des appartenances quelles qu’elles soient et des sous cultures nationales ? Retenons qu’une nation au terme de son organisation sociopolitique doit pouvoir en permanence réapprendre qu’elle existe et continuer de l’exprimer par le biais de reformes sociopolitiques symboliques et des normes de son substrat social existentiel, d’intérêt général, aux nombres desquelles figure la réorganisation périodique du système politico-électoral et démocratique, pour être conforme à l’exigence de la transparence, de la neutralité, qu’impose les règles universelles, ce à quoi aspire profondément la volonté générale, pour s’adapter à l’évolution du temps et du monde réel. Donc, une réorganisation sociopolitique dédouanée de récupération politique qui est très dangereuse pour la stabilité politique et la paix sociale. Parce que, porteur de germes de conflits de toutes sortes. Donc, une réorganisation sociopolitique qui doit échapper de force aux partis politiques, aux mouvements politiques, aux hommes politiques pour échoir strictement à la volonté générale de la totalité sociale souveraine. Qui aspire à la paix, se faisant surtout, pour échoir, à un organisme électoral Apolitique, Autonome, aspiration profonde du peuple souverain détenteur ultime du pouvoir d’état. Oui, la règle universelle édictée depuis la nuit des temps par les nations civilisées au terme du droit international coutumier est que, les républiques ne sont pas statiques et figées, mais il est impératif qu’elles évoluent à l’aune des droits et aux prismes des libertés acquises.

*- Peut-t-on encore espérer, d’une côte d’ivoire largement ouverte sur le monde ? Enfermer qu’elle est dans une logique politique de jungle et dans un carcan de certitudes bétonnées, de protections des intérêts particuliers, où les Flagorneries de slogans exutoires tambourinés, étouffe la moindre prise en compte des analyses critiques, objectives, expertes, doctes, esthètes, visant l’anticipation dans le temps d’un avenir paisible, dans le concert impitoyables des nations civilisées du monde réelle, qui n’ont pas d’Ami. Les citoyens ivoiriens décontenancés, assistent impuissant à ce spectacle honteux d’une situation sociopolitique de jungle, qui enfante des crises sciemment cultivée, entretenue et marqué du sceau indélébile du fleuve de sang versé. Et de la haine pour les autres dans sa différence, dont la fin semble ne pas être pour demain. Oui, depuis 2011, il n’est guère déchéance électorale, minime soit-elle sans qu’un événement vienne rappeler et aggraver la situation sociale délétère de jungle et de désespérance, qui déchire la nation confisquée entre les mains d’une  politique utopiste, qui ne désespère pas d’accaparer le destin de la nation ivoirienne, pour le plier à sa seule exigence égocentrique. 

*- Peut-t-on encore espérer d'une côte d’ivoire du respect des droits, du respect des libertés, du respect des règles démocrates et d’une société de paix pérenne ? Surtout qui fait du respect de tous les aspects de la vie humaine régie par les valeurs que l’humanité s’est donner, la valeur fondamentale, sur laquelle doit être construite toute société, toute politique, toute économie, tout développement, toute relation entre citoyens ivoiriens, entre personnes d’origines diverses et toute relation entre nations souveraines ? Oui, la paix n'étant pas l'absence de guerre, ni le contraire de la guerre. Ne surtout pas réduire la vraie paix à l'absence de guerre, ce serait réduire la paix à une vision vide de sens, passive, incomplète, incohérente, utopiste et lointaine. Le champ de la paix sociale comme comportement est bien  plus vaste. Oui, disons-le, les mêmes antagonismes insidieux pour la conquête du pouvoir ou la confiscation électorale continue. Or, il nous faut pouvoir rebâtir tous ensemble la nation ivoirienne sur les piliers solides de droits, de libertés, et de démocraties, qui lui éviteront de chanceler à nouveau dans un avenir proche, ou même s’écrouler à jamais dans le temps, « dénaturée, désocialisée, dépravée, assujettie et acculturée» devenue méconnaissable dans le concert des nations civilisées, digne de ce Nom.

*- Peut-t-on encore espérer ! Pas aujourd’hui avec le pouvoir absolutiste totalitaire et prédateur de jungle, d’une pratique démocratique universelle qui serait réelle, participative, pluraliste, gérer par des normes de gestions électorales consensuelles. Et dirigé aussi par des hommes Apolitiques, indépendants. Ou on reconnait l’autre comme différent et qu’on l’admet comme son égal en droit et devoir ? Pas sûr, oui, vraiment pas sûr et certain. Mais espérons de demain, puisque l’espoir reste le désespoir surmonté. Donc peut-être Demain, oui espérons de Demain. Donc, disons-le Demain, et demain il fera jour, oui, sans faute Demain, on sera Demain. Oui, Demain adviendra contre vent et marée. Parce que, confiné dans la loi de la jungle, le peuple ivoirien à l’instar de tout peuple souverain ne peut avoir d’autre réaction que celle de l’état de nature. Donc c’est devant nous. Donc rêvons de Demain. Oui, c’est connu de tous, un corps malade secrète des anticorps, la démocratie désenchantée de la côte d’ivoire doit instruire, doit inventer et doit appeler de nouvelles pratiques politiques qui porteront la délibération collective citoyenne et populaire, sur des sujets et objets réels. Et non sur des faux Auras, sur des fictions et mythes fabriqués de toutes pièces, sous la base de fausse notoriété, assise sur l’escroquerie morale et intellectuelle, sur les faux prismes ventilés et entretenus à dessein pour l’usurpation de la légitimité populaire.

En clair aucun pouvoir politique étatique, aucun élu, ou aucun groupe d’élus, ou aucun homme politique, ou aucun groupe d’hommes politiques, ne peut faire le bonheur d’un peuple malgré lui. C’est pourquoi les élections démocratiques doivent être assises sur le droit et la liberté, et c’est là que les ivoiriens de tous bords politiques se voient dévolus aujourd’hui un rôle primordial devant l’histoire, aider les élections pluralistes dans sa grande force régulatrice de la société à rebâtir les droits inaliénables, les libertés individuelles dans leurs universalisme. Cet engagement citoyen ou  combat d’intérêt général imposé à l’ivoirien, doit être à l’aune de notre obéissance aux règles du droit universel, qui constituent le fondement d’une société paisible, libre et démocratique. La réussite est à ce prix, pour que les alternances politique soient assurée dans la paix dans notre pays la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, sans heurt, ni crise armée. Or si en côte d’ivoire, les élections pluralistes doivent être vécues comme actuellement agencées et consignées dans un système, par une politique de jungle prédateur piloté par un absolutiste endurci qui ne peut être la panacée aux problèmes de notre société, et qui ne rassure personne même pas les administrateurs électoraux eux-mêmes, donc, elles ne déboucheront pas sur la liberté assise sur la force de l’universalisme du droit. Or seule cette valeur universelle peut aider notre pays la côte d’ivoire à sortir de la situation de CRISES CYCLIQUES SEMPITERNELLES  et à conduire au développement réelle qui ne laisse pas l’homme au bord de la Route du progrès. Donc les chances égales pour tous dans la vie en société.

*- Une nation souveraine relève les défis à partir de la progressive unification des différents combats pour la Vie.

Oui, les valeurs de solidarité sociale et d’harmonie communautaire que ces valeurs universelles « droits et libertés » suscitées, inculquent au peuple souverain, ultime détenteur du pouvoir d’état, peuvent constituer la sève nourricière indispensable à la construction d’une nation ivoirienne prospère, stable, harmonieuse, paisible, civilisée et évoluée dans un monde a compétition impitoyable *- Bon ! Tout en espérant de demain, disons qu’il n’y a rien de fétiche dans les élections démocratiques, ou tout doit être a porté de vues de tous, et a porté de mains de tous. Et tout le monde doit être libre de partir dans les compétitions électorales avec les mêmes chances et sur la même ligne équidistante du pouvoir d’état, sous l’administration d’un organisme électorale indépendant totalement Autonome, Apolitique, neutre, impartial et sous la supervision judiciaire d’une institution judiciaire devenu son démembrement totalement indépendante des politiques de nominations donc, non-inféodée au pouvoir exécutif. Et surtout où tout le monde  pourrait faire la politique et aller dormir tranquillement chez lui en toute quiétude. Les élections démocratiques consensuelles sont un droit inaliénable des peuples souverains à disposer d'eux-mêmes, ou droit à l’autodétermination des peuples souverains. Les élections démocratiques consensuelles, sont donc l’absolue expression active de la souveraineté d’un peuple.

Parce que sans élections démocratiques consensuelles, il n’y a pas d’indépendance socio-politique encore moins économique. Sans élections démocratiques consensuelles, il n’y a pas de souveraineté nationale et de réciprocité entre états souverains quand le pouvoir a pour unique support la reconnaissance internationale. Sans élections démocratiques consensuelles, il n’y a pas d’état républicain de droit, puisque les droits et libertés se trouvent bafoués et confisqués, et les libertés publiques et individuelles en danger. Sans élections démocratiques consensuelles, tous égaux en droits et en devoirs, il n’y a pas de réelles compétitions de représentativités nationales et la représentation nationale se trouve dévalorisée. Sans élections démocratiques consensuelles, il n’y a pas de peuples libres et souverains ultime détenteur du pouvoir d’état qui le confère à qui il veut. Donc il n’y a pas de citoyens aux libres arbitres, mais des citoyens vaches qui ne demandent qu’a manger. Sans élections démocratiques consensuelles, il n’y a pas de stabilité politique, de paix sociale, de progrès pour tous, d’harmonie intercommunautaire. Et sans élections démocratiques consensuelles, c’est la voyoucratie qui règne dans cet état de jungle, qui toujours totalitaire ou l’arbitraire règne en maitre absolue. D’où il n’y a pas de place pour cet état antidémocratique devenu un état voyou, un état policier, un état paria, dans le concert des nations civilisées.

Répétons-nous ici encore, qu’il faut absolument une commission électorale autonome et Apolitique sans bidonnage politique. Parce que lorsque dans un système électoral, certains dirigeants de l'organisme électoral sont nommés par les différents pouvoirs de l’état «exécutif, législatif et judiciaire», sur la base de leurs appartenances et de liens privilégiés avec les dirigeants de ces pouvoirs. Et/ou sont nommés par les partis politiques, les groupements de partis politiques, les mouvements politiques et les candidats indépendants en compétition, donc nommé sur la base de leur adhésion à un parti ou de leur affinité pour un certain bloc de parti, ou partisans des candidats indépendants, la neutralité dans ce cas devient logiquement incertaine, sinon impossible. L’impartialité devient inconciliable avec la défense des intérêts politiques particuliers que sous-tendent les appartenances qui nomment au sein de l’organisme électoral. Or une élection ne peut connaître de succès, que si les participants au processus électoral «candidats ou citoyens électeurs», croient que les administrateurs électoraux accomplissent leurs tâches de façon neutre, impartiale et sans sensibilité politique.

Donc, la Roue de l’histoire tourne, il nous faut ivoirien la aider à tourner dans le bon sens, avec cohérence et avec la marche indiquée, sinon de toutes les façons elle tournera malgré notre inertie, notre statisme, notre démission mais dans le sens voulu par l’absolutisme totalitaire, devenue néo-monarchiste, unilatéraliste, arbitraire et dictatorial. Donc comme dit plus haut, pour obtenir des élections démocratiques, consensuelles, pluraliste, ou tout le monde peut être libre de partir dans les compétitions électorales avec les mêmes chances et sur la même ligne équidistante du pouvoir d’état, sous l’administration d’un organisme électorale Autonome, Apolitique, indépendant, neutre, impartial et sous la supervision judiciaire d’une institution judiciaire devenue son démembrement, totalement indépendante non-inféodée aux partis politiques, aux mouvements politiques, aux politiques et au pouvoir exécutif. Surtout, ou on pourrait faire la politique et aller dormir tranquillement chez soi en toute quiétude. Il nous faut absolument déconnecter le système électoral ivoirien, mafieux-ment articulé à un  train d’enfer et de damnation qui fonce tout droit à chaque élection dans un précipice abyssal mortifère, pour nous laisser comptabilisé nos Morts de citoyens qui ne demandaient qu’à vivre en paix dans une société stable.

Le peuple ivoirien est martyrisé par un pouvoir ou trône une tête fulminatoire et outrancier avec une Gestapo à sa disposition et à sa solde qui se plait à parader avec une escortes ubuesques de potentats, et qui entretien sciemment les crises sociales par intérêt. Ainsi, il refuse de tourner une page plus que sombre de l’histoire de notre pays, une page colorée a la couleur du sang Humain. Tourner une page honteuse par la seule voie possible, celle consensuelle, issue d’un dialogue républicain, qui se doit d’être peuplés des discussions franches sans tabou, pour pansé les plaies politiques béantes, les plaies sociales puantes, les plaies de guerres ouvertes non-soignées, donc, non- cicatrisées. Au terme d’un dialogue avec des désaccords politiques maîtrisés par le respect de l’intérêt général, des compromis sociopolitiques réalistes d’intérêts nationaux et la coopération de tous entre tous. Et ensuite aller au pardon devant le peuple souverain unifié, devenu ultime détenteur du pouvoir d’état, avec LE POURQUOI DU PARDON, et le courage de dire la vérité, rien que la vérité. Parce que LE MENSONGE EST LA PIRE DES RUINES POUR L’HUMANITÉ. Et de Couronné le tout par une populaire Amnistie générale référendaire qui doit être votée à plus 80% de Oui au moins. Parce qu’un parti ou mouvement politique avec moins 2.500.000 suiveurs, ne peut aucunement se revendiquer majoritaire dans une population de 20.000.000 d’habitants. Non !

*- exigeons un corpus d’organisme électoral Autonome, Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance.

Donc, ici nous lançons un appel à tous les citoyens libres, qui espèrent de demain et qui croient encore en demain, que tous ensemble, notre devoir est de faire exister le Demain d’une côte d’ivoire restaurer. Et pour se faire, avant tout, il faut croire qu’il est effectivement possible de démocratiser les relations humaines. Ensuite, il faut croire qu’une autre côte d’ivoire totalement restaurée est possible. Cette côte d’ivoire totalement restaurée n’est pas une idéologie, mais une constatation qui tient de l’évidence que, c’est à partir des personnes « citoyens libres » que se construit l’avenir d’une nation, que c’est à partir de la solidarité des personnes « citoyens libres » que se bâtit la réalité du quotidien d’une nation, que c’est à partir de l’ensemble de la totalité sociale souveraine que s’exerce de fait une prise de pouvoir par l’espérance d’une nation à travers des actions concrètes, que c’est à partir de la progressive unification des différents combats nationaux pour la Vie, pour les citoyens libres, pour l’homme, pour les droits et les libertés, qu’une nation souveraine relève les défis et les luttes citoyennes se gagnent. Donc, que c’est à partir d’un acte d’insurrection de la pensée, et d’une révolte de la volonté générale d’aller à la stabilité politique et à la paix sociale, d’un acte de résistance pour la libération de l’avenir de la nation une et indivisible, d’un combat à Mort pour le destin de chacun, que les grandes nations sont démocratique ou le vainqueur est reconnu et admis vainqueur et le vaincu s’admet vaincu au terme des élections fêtes «olympiade ». Le pouvoir d’état doit s’acquérir uniquement dans les urnes des élections libres, et aux suffrages universels directs

Donc, ici nous lançons un appel à tous les citoyens libres qui espèrent de Demain, qui croient encore en Demain, « ce que nous nommons a la LC_CRS, les Deux-Mains-istes », au moment où tout est fait par une politique d’absolutisme totalitaire monarchiste, «sûr de son fait, de son emprise sur la totalité sociale», pour revendiquer que l’avenir de la nation ivoirienne, est déjà décidé par elle et les puissances économiques et financières. Sans nous en convaincre, au mépris de notre volonté et sans notre consentement, sans notre droit de regard, «réduit à des citoyens vaches qui ne demandent qu’à manger». Nous devons répondre tous ensemble en exigeant un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance, et tous les acteurs d’accord, qu’une autre côte d’ivoire totalement restaurée est possible. A DÉFAUT IL FAUT TOUT BOYCOTTER A COMMENCER PAR LES ÉLECTIONS LOCALES «MUNICIPALES ET RÉGIONALES» ET PARTANT LES SÉNATORIALES QUI S’Y RATTACHE, PARCE QUE MAFIEUSE-MENT RETIRER DE LA GOUVERNANCE DU SUFFRAGE UNIVERSEL DIRECT, POUR ÉCHOIR A LA LOGIQUE NÉBULEUSE DE PARTAGE DE GÂTEAUX, QUESTION DE CONTENTER TOUS LES MEMBRES BOUFFE-TOUT ET ATRRAPE-TOUT ASSIS A LA TABLE DES CONVIVES NOCTURNES. DONC, BOYCOTT-DE-REFUS DE LÉGITIMER UNE MASCARADE ÉLECTORALE DÉLINQUANTE A CIEL OUVERT. Toujours cadavres électoraux sempiternels et cycliques depuis 2000. L’actuel système d’organisation électorale ivoirienne est un véritable danger pour les droits inaliénables et les libertés fondamentales « individuelles et publiques », pour l’ordre social et la stabilité politique, pour la sécurité et la sureté des vies des citoyens libres. Les Armes ne doivent pas être la mesure de valeur sociale, le bien matériel l’argent ne doit pas régir la vie politique.

Oui c’est un devoir de citoyens libres qui doit pouvoir s’inscrire résolument dans une logique de régulation sociopolitique et  dans une démarche d’éveil de la conscience politique de la totalité sociale, qui commence par le boycott de toutes élections a venir. Un citoyen libre digne de ce Nom, doit tout simplement pouvoir dire non à la politique de l'autruche et savoir lire entre les lignes. Un citoyen libre doit s’efforcer de connaître avec certitude la réalité des choses publiques et se montrer juste dans l'appréciation des justes réalités des choses de vie de la totalité sociale. En se comportant avec exactitude dans l’action de régulation sociopolitique au mépris des intérêts particuliers et de ses intérêts, et en agissant à la suite des éclaireurs d’opinions de la totalité sociale souveraine, à la limite de l’humainement admissible. L’œuvre de régulation sociale, c'est l'art de rendre possible ce qui est une nécessité absolue pour la stabilité politique et pour la paix sociale. « Bon ! Le sage Indigné face à tant de vulgate mercantiliste ploutocratique, a dit un jour que, quand  les éléphanteaux se couchent longtemps parmi les chameaux du désert avec leur culture de  génuflexion, les éléphanteaux finissent par sentir le chameaux et finissent à être tenter par la culture de génuflexion et de courbette qui s’en suit ». Citoyens libres, que faire d’autre, puisque nous sommes condamnés à KOUMA, nous avons KOUMA malgré nous. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy, Leader de la Légitimité Citoyenne.

Partager cet article
Repost0

commentaires

Présentation

  • : Le blog de Lepetitfils Da Candy
  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
  • Contact

Profil

  • dacandylepetitfils
  • DA CANDY LEPETITFILS:
Juriste (publiciste et internationaliste) militant des droits de l'homme et des libertés publiques et leader d'un mouvement politique d'utilité citoyenne en côte d'ivoire. En exil forcé...
  • DA CANDY LEPETITFILS: Juriste (publiciste et internationaliste) militant des droits de l'homme et des libertés publiques et leader d'un mouvement politique d'utilité citoyenne en côte d'ivoire. En exil forcé...

Texte Libre

Recherche

Catégories

Liens