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17 février 2023 5 17 /02 /février /2023 05:06
Lepetitfils : Nous avons dit, un corpus d’organisme électoral, Autonome, Apolitique, totalement indépendant des pouvoirs et des politiques, qui puisse mettre tout le monde politique et civil en confiance, et tous les acteurs sociopolitique, et citoyens libres d’accord. Nous avons dit Amnistie politique comme porte de sortie de la crise s’il est encore possible  d’y penser. La réconciliation et la Cohésion nationale échappent aux politiques discursifs d’autosatisfactions.

Lepetitfils : Nous avons dit, un corpus d’organisme électoral, Autonome, Apolitique, totalement indépendant des pouvoirs et des politiques, qui puisse mettre tout le monde politique et civil en confiance, et tous les acteurs sociopolitique, et citoyens libres d’accord. Nous avons dit Amnistie politique comme porte de sortie de la crise s’il est encore possible d’y penser. La réconciliation et la Cohésion nationale échappent aux politiques discursifs d’autosatisfactions.

*- Chronique KOUMA : « Les têtes des traditionnels partis de gouvernements mises sous le couperet de la guillotine de l’absolutisme totalitaire. Il faut du sérieux, du concret, du tenable dans le temps, pour obvier les crises et pour arriver à la stabilité sociopolitique et à la paix, surtout à l’anticipation des perspectives d’avenir paisible et sereine dans le temps ».

Bon ! Disons ici, que c’est parque qu’il y a le feu à la maison, que nous devons proscrire la politique nombriliste, la politique d’une vache qui ne demande qu’à manger et la politique de tout argent et qu’il est question de soutenir la démocratie représentative, pour qu’elle ne se suicide pas sur l’autel de l’Argent. Oui, sans leurre, il nous faut se détromper dès maintenant, l’air est très grave au pays de Felix Houphouët Boigny. Hélas ! Contre la volonté citoyenne consignée dans plus de 80% d’abstentions électorales régulières depuis 2015, contre vent et marée donc, une voyoucratie est devenue maitre de notre socle sociétal, c’est-à-dire l’organisation socio-politico-économico-électoral. Eh bien oui, de sorte que nous ne vivons qu’une accalmie temporaire avant de nouveaux orages mortifères et cycliques, avec des tempêtes catastrophiques peut-être avant 2025 ? Mais sûrement en 2025, qui n’épargneront guère personne en côte d’ivoire. Les montagnes sont manifestement figées sur leurs positions habituelles, au grand bonheur des arrivistes alpinistes renégats, nihilistes téléguidés par le ventre et iconoclastes endormis dans le summum de l’inconscience et de l’insouciance, ça jongle par-ci, ça arpente par là-bas, et permettant aux montagnes de solidement bien fixées sur la route funestes vers l’abime. Le reniement de soi est devenu non pas une honte politico-idéologico-philosophique, mais une œuvre politique d’envergure.

Oui, la roublardise politicarde a échappé à l’obscurantisme de la politique politicienne, pour devenir désormais politiquement festive dans les stades de Foot communautaire. Le mensonge « wouya-fô » n’est plus la source de tous les maux sociétaux pour une entité qui n’aspire qu’à la paix sociopolitique, mais plutôt une valeur politique prisée par les tenants de la baraque ivoirienne. Les idéologies, philosophies, doctrine sont devenues une merde politico-démocratique. Le ventre toujours plein a fini par vaincre l’intellect humain le meilleur de gyroscope pour l’homme. La misère morale nourrit a la sève de l’ignorance des inconséquences du panurgisme et du moutonnier a étalé, l’intelligence politique de tout son long sur un Right glauque et visqueuse. Et patatras, «Gnamien-pbwli» à changer de bicoque résidentielle,  et le grand « Gnamien-pbwli » n’habite plus ni en Haut, ni en Bas, il s’est confiné dans les poche de politicards voleurs et mafieux, avec une honteuse règle qui veut que tout ait un prix à payer. Et pire dans notre société les importées Mœurs dépravées sont devenu ostensibles, surtout la dépravation sexuelles qui ont  fini par annihilées nos mœurs sociétales ataviques. Oui, c’est un constat irréfragable. Et au plan strictement politique, les têtes des traditionnels partis de gouvernements mises sous le couperet de la guillotine de l’absolutisme totalitaire, attrape-tout et bouffe-tout. Et au plan électoral au vu de la situation sociopolitique délétère sur la CEI, de désordre anomique dans l’organisation socio-électorale. Hélas ! La parole risque d’être donnée aux «fusils ou Marfa» comme 2011.

Donc, c’est parce que, nous vivons une accalmie qui précède l’orage et la tempête, et que nous tendons vers une nouvelle crise sociopolitique certaine, que tout forcing électoraliste et cooptation politique sont devenu crime contre la paix et la sécurité ivoirienne. Donc, au lieu des effrénés achats et rachats politicienne, il faut la recherche du  consensus dans l’ordre du public, au tour de la chose publique. Oui, la recherche d’une popularité factice à l’image des partis uniques ne doit pas passer par l’appel de tous les ripoux du pays autour d’un dessein, ou par la négation des autres appartenances politiques, « c’est-à-dire, la débauche, les achats et rachats des militants d’autres parties politiques ivoirienne ». Avec une opposition contraint et trimbaler malgré-elle par la force des pouvoirs partisans manifestement dictatoriale, « moi pas bouge ! Sur la CEI qui a des germes de conflits futurs ! ». Ce qui signifie en clair que la crise risque de s’aggraver, qu’elle n’est pas derrière nous, qu’elle est à nos côté évoluant vers d’autres catastrophe et chaos social en perspectifs. Retenons ici, qu’il est incontestable que, les doctrines politiques ne sont agités ou dangereuses que lorsqu’on les persécute, que les hommes politiques qui les défendent ou les animent, ne sont intransigeants ou dangereux que quand on les prive de liberté et d’espace d’évolution. Parce qu’ainsi, aux doctrines persécutées, on donne alors l’attrait du fruit défendu : aux hommes politiques qui les défendent et animent, on donne alors, le prestige de la persécution et du malheur.

Contrairement aux coquilles vides, une coquille pleine n’abandonne pas son substrat d’existence non-déplaçable.

C’est pourquoi, l’action politique doit se fonder, sur le respect des règles démocratiques, des droits inaliénables, des libertés fondamentales, sur la recherche inlassable parfois ingrate de l’harmonie sociale, de la cohésion intercommunautaire. Elle doit se fonder sur le refus de l’arbitraire dans les relations sociales, sur le refus de la ségrégation des appartenances politiques ou le refus de l’enfermement sectaire qui exige la concrétion clanique vers soi-même, et l’apartheid sociopolitique. C’est pourquoi, donc en période de turbulence sociétale, ce qui doit constituer la règle d’or de l’action politique, est que quand la conjoncture politique est misérable par le fait d’un pouvoir  absolutiste et totalitaire que l’action politique soit l’affirmation des principes sociétaux universels. Donc que l’action politique soit conduite dans le respect des droits inaliénables et des libertés fondamentales. Qu’elle soit la proclamation des idéaux politiques intransigeants, et l’expression forte des convictions idéologiques, philosophiques et doctrinaires sans reddition aucune. Erich FROMM humaniste américain d’origine Allemande a dit : « Notre capacité de douter, de critiquer et de désobéir est sans doute le seul moyen d’éviter la fin de la civilisation et d’assumer l’avenir de l’humanité»). Oui, la civilisation, la stabilité, et la paix, ce sont les hommes qui les font. Bon ! Malgré tout, on ira aux élections locales en attendant une une autre catastrophe en 2025.

Oui, de par le monde le panurgisme moutonnier des certains hommes politiques et l’ignorance de certains gouvernés qui s’en suit est le principal allié du pouvoir absolu «absolutisme totalitaire dictatorial ou tyrannique» autrement dit plus les citoyens sont politiquement statiques ou inertes, comme c’est le cas en Côte d’Ivoire actuellement, plus leur comportement est absolutiste. Souvent de par leur culture, ils vénèrent les tenants du pouvoir d’état.  Ils sont fatalement ou naïvement favorables à une hiérarchisation très strict en fonction du bien matériel quel que soit sa manière d’acquisition, ou admiratif ou soumis à l’aura factice « culte du chef ». Donc,  il ne serait pas sérieux d’attendre d’eux des revendication claires et précises concernant par exemple une sélection rigoureuse de nos dirigeants, et une sanction sans complaisance des gouvernants dans les urnes électorales, une gestion orthodoxe des ressources naturelles souveraines et étatiques, ou même une opposition au position du pouvoir d’état absolutiste et un respect plus strict des règles et principes démocratiques, etc. Non ! Ils n’en seront pas capables. Puisque, ceux-ci demeurent l’apanage des acteurs politiques qui démissionnent très souvent pour des raisons de ventre, devant l’absolutisme engraissé. Lequel souvent ne pouvant fortifier autrement cet absolutisme totalitaire creuset d’incompétences, et à 60% formé de partisans et de courtisans inconséquents, « ce qui dévalorise la représentation nationale dans le concert des nations », n’a d’autre moyens que d’essayer de débaucher et de d’acheter des supposés compétences extérieurs a lui. Qui sont peut-être coquille vide dans leurs réalités politiques. Une coquille pleine n’abandonne pas son substrat d’existence figé, qui n’est pas déplaçables.

Le pouvoir Adjugé au peuple libre et l’opposition politique a l’absolutisme totalitaire, attrape-tout et bouffe-tout.

Donc, les dérives totalitaires de tous rachetée par absolutistes dictatoriales et monarchistes ivoirien s’expliquent en effet aisément, l’inconséquence ou l’ignorance en est la cause, surtout l’ignorance nourrit par le culte de la personnalité. Le voilà le vrai problème de notre pays ! Et on continu de croire naïvement que, là où il n’y a pas de comportement Républicains, qu’il est possible d’ériger une vrai République, et/ou d’installée une Vraie Démocratie, là où il n’y a pas de comportements digne de la Vrais Démocrates. Bon ! Disons que, la différence entre un homme politique intelligent et un homme politique sage est que le premier arrive toujours à sortir de l’ornière ou le second a toujours su ne pas tomber. Mais Hélas ! La politique du ventre banni toute sagesse, toute intelligence, toute dignité, toute fierté, tout orgueil positif, pour honteusement se muer en motifs de snobisme. Ainsi l’ignorance, et la bêtise se retrouvent glorifiées, et le glas de l’intelligence humaine sonné, parce que le ventre gouverne l’intellect. Donc, si nous ne pouvons pas être sage, efforçons-nous si possible d’être intelligent.

Donc pour nous a la LC_CRS, à ce stade de l’inconséquences dans l’entretien sciemment de la crise ivoirienne, la question centrale est la suivante : comment soutenir la démocratie représentative, pour qu’elle ne se suicide pas ? En intégrant les citoyens libres dans la délibération. Oui, il est tout à fait possible qu’une démocratie se suicide, comme ce fut le cas en Allemagne avec l’arrivée d’Hitler au pouvoir en 1933. Oui, il impossible d’assimiler le seul vote a un système démocratique, comme les élections dans des pays absolutistes et totalitaires, ou tout est trucages et obstructions. Il est erroné de croire que la démocratie repose sur la rationalité d’un vote dans n’importe quelle condition. Il est  faux d’imaginer que la démocratie, telle que nous la connaissons dans les pays démocratiques occidentaux, dont la France, est définitivement installée chez nous. Il serait enfin fallacieux de penser que l’injure obscurantiste qu’est de vouloir tout acheter et la désinformation qui s’en suit, utilisée par l’absolutisme totalitaire cesseront d’eux-mêmes dans l’avenir. Bien qu’un espoir existe pour sortir de l’ornière ou nous sommes englués aujourd’hui. Cet espoir siège dans la mise en œuvre d’une relation nouvelle entre les institutions républicaines et les citoyens libres. « Répétons citoyens libres et non opinion ou peuple ».

Oui, comment faire en sorte que, malgré les énormes handicapes dû à l’obstruction d’un pouvoir absolutiste,  notre pays la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, puisse commence par sécréter dès maintenant de Vrais Républicains sociaux à même de s’imposer une vrai République soucieuse des règles et principes démocratiques chez nous dans notre pays ? Quand bien même il ne serait peut-être pas facile ou possible de transformer par un coup de baguette magique des absolutistes totalitaires en vrais républicains ou démocrates réels, respectueuses des règles universelles et principes internationaux. Donc, il nous faut KOUMA toujours en Non-Stop, qui pourrait par un jeu parfaitement démocratique réduire nos absolutistes républicains au seul rôle de Fanfarons qu’ils sont parfaitement capable de remplir comme des ballons de basket « BÄ BÄ BÄ ». Oui, toutes cette cantonades de fichus bouffe-tout et attrape-tout, pousser dans l’opposition et entrain de piailler leurs forfaitures, en séjournant souvent périodiquement a la «MACA AU TROU QUOI» pour pillages, vols, copinages, concussions, défenestration économiques et autres FERA  du bien à la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny. « Le pouvoir adjugé au peuple souverain, arrimé aux citoyens libres et l’opposition politique imposée a l’absolutisme totalitaire, attrape-tout et bouffe-tout, est le très bon partage légal et légitime. Et c’est notre rêve de toujours, lui-même arrimé à cet au rêve d’une stabilité sociopolitique et d’une paix durable pour la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny. »

Refus pacifiste d’aller aux élections  bâclées et exiger, un corpus d’organisme électoral, Autonome, Apolitique.

Parole de la légitimité citoyenne « LC_CRS, Mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicaine sociale, Houphouëtiste enragée et d’un éclectisme hautement assumé, qui à préférer l’embarras matériel dans l’aisance intellectuelle à l’embarras intellectuel dans l’aisance matérielle. Oui, notre éclectisme impassible soutient notre foi inébranlable en l’avenir de notre position politico-idéologico-philosophique, dans l’arène politique ivoirienne, conforme à l’idéal sociétal de notre source atavique et surtout notre espérance à un avenir meilleur, malgré le sempiternelle chaos social à nous imposer ». Le banditisme politique et la voyoucratie politicarde n’ont jamais été des nôtres. Ni l’utilisation des poignards dans le dos de la démocratie réelle dans l’anonymat des bas-fonds n’est jamais notre alliée. Oui ! Jamais, notre entreprise citoyenne n’a jamais été celui des piranhas. Ça jamais ! Car pour nous rien, même l’ignorance, ni la bêtise, même la misère sociale et la politique du ventre, n’excusent une la haine politique et l’irresponsabilité dans la gestion sociale d’une société qui se veut policée. Parce qu’il s’agit pour nous, de la côte d’ivoire d’abord et avant tout. Une côte d’ivoire unie et solidaire, ou on pourrait aller aux élections démocratique comme les sportifs vont aux  compétitions sportifs, ou le vainqueur n’est jamais connu d’avance, ou tout le monde peut gagner, et où tout le monde peut perdre, avec des arbitres reconnus par tous comme  impartiaux, justes neutre, indépendant. «Ou une main-de-Dieu validée par un arbitre en l’absence d’acte ou esprit controuvés peut décider d’un résultat sans que le ciel ne tombe».

Donc disons-nous, ce partage des statut ou rôles « suscité », est autant plus important que nos absolutistes acheteurs, sinon débaucheurs effrénés se revendiquant républicains en s’ignorent totalitaires, et ignorent du même coup que leurs comportements cause d’énormes torts à notre système voulu de républicanisme, a notre démocratie participative, et a toute la vie publique ivoirienne. Ces absolutistes délinquants qui se disent républicains perçoivent le pouvoir d’Etat comme une chance de pouvoir tout acheter, de se remplir les poches, une sinécure voire une bénédiction divine, une suprématie d’avoir accède au pouvoir d’état. Ils y trouvent là un postulat pour en faire du pouvoir d’état, un formidable instrument de condescendance, de puissance personnelle ou clanique, et d’exploitation des ressources naturelles souveraines et étatiques visant l’enrichissement personnel et clanique. A partir d’une telle conception du pouvoir d’état par l’absolutisme. Il ne peut être possible de construire dans notre pays, un état digne de ce nom. Un état qui soit perçu par les uns et les autres comme un patrimoine commun à tous, sans différenciation aucune, à la place de cet Etat, recherché, se trouve l’absolutiste totalitaire se disant républicain, dont les pratiques portent en elles même les germes conflictuel permanent. Avec cette conception erronée du pouvoir qui veut tout, et sans avoir une conviction forte et une foi inébranlables en l’avenir, on a beau être républicain social jusqu’au cou, on a beau être démocrate jusqu’à la moelle des os, les chances de le demeurer à toute épreuve deviennent minimes, si rien n’est fait pour remplacer cette incongruité par une vision tout à fait nouvelle. Républicains et démocrates cooptés notre pays roule tout droit dans le mur.

Oui, Républicains et démocrates cooptés par l’absolutisme totalitaire, il y a incontestablement péril a la demeure ivoire, et il y a le feu à la maison ivoire. C’est pourquoi, si nous voulons construire un Etat souverain et une nation une et indivisible à la fois moderne et ouvert aux impératifs de l’unité nationale, si nous tenons à bâtir une véritable démocratie participative en lieu et place de l’actuelle démocratie de façade, si nous voulons empêcher la reproduction de la sauvagerie politique au terme des élections à venir et jeter ainsi les bases d’une véritable république républicaine, si notre souci de tous les jours est de supprimer les causes des maux sociétaux «coups d’Etat , sécession, rébellions, guerres, désobéissance et autres,» bref si nous tenons à organiser des élections réellement démocratique fondatrices d’un ordre nouveau dans notre pays la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny , nous devons commencer par nous assumer, par nous solidifier, par nous lever dès maintenant et prendre ou rechercher pacifiquement un certain nombre de mesure, qui ensemble concourraient à remplacer la mauvaise conception actuelle du pouvoir d’Etat par une vision tout à fait nouvelle qui mettront une fois pour toute notre pays sur les rails de la démocratie, de la paix sociale pérenne et de la stabilité politique, dans la reconnaissance absolu de tous. Cela commence par le refus pacifiste d’aller aux élections problématiques et d’exiger, un corpus d’organisme électoral, Autonome, Apolitique, totalement indépendant des pouvoirs et des politiques, qui puisse mettre tout le monde politique et civil en confiance, et tous les acteurs sociopolitique, et citoyens libres d’accord.

Il faut du sérieux, du concret, du tenable dans le temps, pour obvier les crises et arriver à la stabilité  et à la paix.

Pour enfin obtenir, une vraie réconciliation nationale entre les acteurs politiques ivoiriens d’abord et avant les majeures bonnes élections. En tenant compte que  les obligations relatives aux élections démocratiques relèvent de quatre grands principes : 1) l’exigence de tenir des élections honnêtes 2) l’exigence fondamentale relative à la primauté du droit et l’engagement de l’état à prendre les mesures requises pour remplir ces obligations et protéger les droits et les libertés,  3) l’exigence procédurière, centrée sur le processus électoral à proprement parler,  et 4) les droits et les libertés individuels. Mise ensemble, ces exigences orientent une démarche de l’évaluation des élections qui est fondée sur les droits de la personne humaine ou l’homme est la centralité de tout le système électorale, au mépris des intérêts politiques et d’appartenances quelles qu’elles soient. C’est pourquoi nous avons toujours plaidé pour un corpus d’organisme électoral, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs politique d’accord. Pour enfin obtenir, une vraie réconciliation nationale entre les acteurs politiques ivoiriens d’abord et avant les majeures bonnes élections. Et aussi avons toujours réclamé une Amnistie générale référendaire qui reste la meilleure porte de sortie de cette sale crise  monstrueuse, qui a fait plus 7000 morts et qui continu d’en faire toujours au terme de toutes les élections depuis 2010.

Donc, nous avons dit Amnistie politique comme porte de sortie de la crise s’il est encore possible  d’y penser. L’Amnistie politique vise en premier lieu à apaiser les esprits et à ramener la paix dans le pays. Elle joue alors le rôle fédérateur et apparait comme nécessaire à la stabilité de la nation et à la paix sociale. Après une guerre ou une crise sociopolitique aigüe, l’Amnistie politique référendaire permet de donner une assise durable à la paix sociale retrouvée. Parce que bien souvent en effet alors même que le conflit a pris fin que les armes ont été déposées, les dissensions demeurent toujours ou les desseins de dominations annihilent les activités politiques classiques ou normales et surtout menacent sans cesse la quête du calme sociale et de l’harmonie socio-politico-intercommunautaire. Donc, l’ordre et le  pardon souverain juridique, transporter par l’Amnistie politique coupe court a toute polémiques, puisque, l’ordre et le  pardon souverain juridique des infractions et des crimes commis pendant les périodes de troubles entrainent en même temps l’oubli des condamnés ou des condamnations d’hier.Il est constant de par le monde, qu’après une guerre ou une crise sociopolitique aigüe, lorsqu’il n’y a plus de victimes de la répression injuste à défendre, lorsque les opposants libres de tous mouvements ont retrouvés leur place dans la société, les rancœurs s’apaisent et le passé tombe progressivement dans l’oubli, emportant avec lui les risques d’une reprise ou d’un début de guerre ou crise sociopolitique. En ce sens l’Amnistie référendaire, est un véritable traité de paix intérieur, elle a dès lors pour finalité et pour fondement l’intérêt supérieur de l’état, l’intérêt général et le bien commun. 

Oui, le pardon souverain juridique et l’ordre social que transporte l’Amnistie politique vise la satisfaction de l’intérêt public au sens d’intérêt de l’ensemble de la communauté sociopolitique. Il ne s’agit donc pas de l’intérêt de chaque particulier mais de l’intérêt de la nation ou encore de l’État qui a pour mission essentielle de garantir la paix et l’unité de la totalité sociale souveraine. Il s’agit avant tout d’effacer les affaires des tableaux judiciaires nationales et internationales, pouvant susciter des troubles plus graves à l’ordre public, à l’ordre social, à un moment ou le peuple juge que les brouhahas d’une vérité judiciaires blessante ne ferait qu’envenimer la situation conflictuelle et d’aggraver la tension sociopolitique. Mais pour autant l’Amnistie politique référendaire, ne constitue pas un obstacle définitif au travail de mémoire qui par la suite dans des moments plus propices, quand le souvenir et les blessures sont moins violents pourra être entrepris par les historiens. Ceci est leurs sacerdoces. C’est pourquoi il faut le dialogue social et républicain qui proscrit le MOI, ou RIEN, il faut le consensus sociopolitique dans une citoyenneté commune acceptée par tous qui permettent de géré politiquement, pour arriver à une Amnistie générale référendaire. Qui vient atténuer les éléments potentiels de conflit sociaux et lubrifie le mécanisme des rapports sociopolitiques, afin de garantir la stabilité sociopolitique et la paix sociale pérenne. Parce qu’en effet, c’est seulement avec l’adhésion volontaire de la totalité sociale souveraine à un système politique cohérent, que le système des interactions sociopolitiques peut fonctionner sans dégénérer en conflits ouverts ou latents. Donc, nous avons dit, un corpus d’organisme électoral, Autonome, Apolitique, totalement indépendant des pouvoirs et des politiques, qui puisse mettre tout le monde politique et civil en confiance, et tous les acteurs sociopolitique, et citoyens libres d’accord. Nous avons dit Amnistie politique comme porte de sortie de la crise s’il est encore possible  d’y penser. La réconciliation et la Cohésion nationale échappent aux politiques discursifs d’autosatisfactions. Il faut du sérieux, du concret, du tenable dans le temps, pour obvier les crises et pour arriver à la stabilité sociopolitique et à la paix, surtout à l’anticipation des perspectives d’avenir paisible et sereine dans le temps. Sur ceux nous avons KOUMA. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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