Lepetitfils : Le Leader de la légitimité citoyenne ne conduira jamais son mouvement de citoyens libre a des élections de façades. Mouk ! Oui, la « LC-CRS », mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicain social, Houphouët-iste enragée et d’un éclectisme assumé ne suivra pas, là où toute la souveraineté échappe au peuple ivoirien pour échoir à l’Absolutisme. La LC_CRS soucieux de la régulation sociopolitique, avec les citoyens-libres ne sont pas couillon pour faire d’élus couillonnades des élections de façades. Jamais de la vie. «MOUK !»
*- Chronique «kouma» la LC_CRS, soucieux de régulation systémique ne participera pas à des élections. Mouk !
Bon ! Disons ici, et pour les élections ivoiriennes quelles qu’elles soient, auxquelles le Leader de la légitimité citoyennes ne conduira jamais son mouvement de citoyens libres, que si on ne prend garde, mêmes lesdits élections ivoiriennes à venir vont se réduire à l’opposition entre les très nantis « argent sans odeur, ni couleur » détenteur du pouvoir d’état et les moins nantis «misère sociale et désespérance du peuple» sciemment créé, afin de sceller une alliance de panurgisme moutonnière avec le désespoir citoyen et la désespérance du peuple souverain, il va valoir aller chercher, la politique, l’idéologique, la philosophique et la doctrinale dans les toilettes de l’oubliette ou les ventres boulimiques se vident. La transhumance nihiliste, renégate, arriviste, et iconoclaste en serait la cause unique. Au surplus il y a un grand débaucheur, un gros acheteur, un énorme affairiste du « R?DP » qui trône sur une grande commune Abidjanaise, qui a prêté serment devant le Gourou suprême, de tout acheter, de tout débaucher, de tout enfariner, afin arriver au pire que le parti unique genre stalinisme, l’idéologie inspiratrice des Khmers Rouges, saupoudrer actuellement en côte d’ivoire, dans un système de défenestration économique d’un pseudo ultralibéralisme de liquidation de toute souveraineté étatique et nationale, de bradage des ressources naturelle. Le summum de tous les fouages de gueule des règles politico-démocratiques et de gouvernances étatiques, de tous les foulages au pied des droits et des libertés et de tous les fouages démocratiques et électoraux digne d’un état paria une a gaz démocratique, d’un état policiers usine a gaz des droits, et d’un état voyou ou tout est permis, quoi !
Aujourd’hui, les rapports Opposition/Pouvoir en côte d’ivoire est semblable aux rapports entre un Moine Tibétain entre les mains d’un dignitaire Chinois, ou d’un petit Ukrainien revendiquant sa souveraineté devant un oligarque Russe, leurs sort est connu, « même cimetière est petit ». Donc, Il nous faut arriver tous ensemble à l’élaboration consensuelle des normes juridiques conformes aux droits et principes internationaux irréfragables. Sinon, le Leader de LC-CRS ne conduira jamais son mouvement de citoyens libres à une démocratie de façade ou des mascarades d’élections bâclées, aux résultats connus d’avance. A la députation dernier autrement dit aux élections législatives derrières il y a des partis de gouvernement qui n’ont trouvé les tiers des élus techniquement escompté en conformément la sociologie électorale ivoirienne et pire il y a des partis souvent nouveaux peut-être qui ont de véritables assisses populaires nationales qui n’ont trouvé un seul élu même en alliance. Et les sénatoriales a venir confirmeront le même fait qui décide du sort des élections quelles qu’elles soient. Le problème est systémique, organisationnel, de normes juridiques adaptées à l’institution électorale. La LC-CRS ne suivra. Houphouët-isme assumée, elle n’est pas « du mode suivez-nous les yeux fermés » Mouk ! Jamais de la vie.
Oui, il nous faut donc, un corpus d’organisme électoral, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs politique d’accord. Pour enfin obtenir, une vraie réconciliation nationale entre les acteurs politiques ivoiriens d’abord et avant les majeures bonnes élections. En tenant compte que les obligations relatives aux élections démocratiques relèvent de quatre grands principes : 1) l’exigence de tenir des élections honnêtes 2) l’exigence fondamentale relative à la primauté du droit et l’engagement de l’état à prendre les mesures requises pour remplir ces obligations et protéger les droits et les libertés, 3) l’exigence procédurière, centrée sur le processus électoral à proprement parler, et 4) les droits et les libertés individuels. Mise ensemble, ces exigences orientent une démarche de l’évaluation des élections qui est fondée sur les droits de la personne humaine ou l’homme est la centralité absolue de tout le système électorale, au mépris des intérêts. Ainsi se faisant, pour obvier impérativement que, le rêve d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociale sans lesquels il n’y a point de développement, le respect de la volonté d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement, et une gouvernance conforme à la moralité internationale voulu par Houphouët Boigny, ne demeurent pas une illusion pour la Côte d’Ivoire, un objectif recherché mais inatteignable pour notre pays.
Parce que, le rêve d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociale sont obstrué par un carriérisme nombriliste aveugle et un arrivisme absolutiste égoïste et égocentrique condescendant. Ou le Moi est maitre absolu de l’intérêt général, de l’ordre social, et de la vie publique et le Moi qui se subordonne l’humain. « Or quand un citoyen prend de l’argent pour son vote, il devient tacitement une vache qui ne demande qu’à manger. Mais si un citoyen prend de l’argent contre la promesse de voter et va voter contre sa promesse il s’avère citoyen libre ». Ne l’oublions pas, la pratique politique absolutiste sectaire n’a besoin que de suivismes, de silences, de panurgismes moutonniers. La liberté de parole libre est son pire ennemi. Donc, reprenons nos habituelles citernes d’eaux contre le feu qui couve dans notre société commune. Oui, répétons-le toujours notre crise est une crise du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect des principes des droit universels. Donc le nous faut être capable de nous adapter à l’exigence de l’art du vivre en commun dans le respect des droits inaliénables des peuples à disposer d’eux-mêmes. Pour afin pouvoir replacer l’être humain au centre du débat, l’humanisme au centre de la problématique sociale et sociétale et le citoyen au cœur de toute politique socioéconomique et développementale, pour l’avènement d’une société plus juste, plus cohérente, plus Humaine et plus paisible. Situé à l’opposé d’une société de désordre a ciel ouverte, ou la morale est en congé, les mœurs dépravées, l’honnêteté devenue un crime. Donc d’une société acculturée, dénaturée, désocialisée, aux mœurs dépravée.
Bon ! Soulignons que, toute association politique et tout mouvement humain ont besoin d’un minimum d’ordre interne, de discipline partidaire et d’appartenance, de cohérence d’action pour assurer son bon fonctionnement interne. Donc, tout comme l’état, les associations politiques ou Apolitiques et les partis politiques érigent un ensemble de normes juridiques ou réglementaires impératives destinées à garantir l’ordre et la discipline en leurs seins. Singulièrement en politique les règles doctrinales et principes universels imposent le respect des instances de directions des partis librement choisis en fonctions des critères politico-idéologico-philosophique, qui veuillent au bon fonctionnement interne du parti politique ou du groupement de partis politiques, parce que sans cela il n’y a pas d’ordre et de discipline. Et sans cela il n’y a pas de pouvoir à conquérir, parce qu’impossible dans un capharnaüm. Donc ces principes et règles font la loi de régulation interne de ses organisations politiques. Donc, la participation à un parti politique et à un groupement de partis politiques ou un mouvement politique engendre au profit de ceux-ci, un certain pouvoir de régulation interne, en particulier celui d’édicter des règles de disciplines et assurer le respect de ses principes, qui assurent la lisibilité du groupement politique, son message, sa cohésion, son autonomie, son indépendance, l’ordre, la discipline et la cohérence qu’exige la réalisation du but légitime de sa création qu’est la conquête du pouvoir d’état par les urnes démocratiques et pluralistes. Ce pouvoir est reconnu par la doctrine. La conviction politico-idéologico-philosophique ne se vend pas. Jamais !
Parce que, les aspirations légitimes socio-politico-économiques des électeurs d’un parti ne peuvent être défendus ailleurs qu’au sein de son parti idéologico-philosophique et leurs convictions personnelles du moment qui édicte leurs adhésion au parti se trouve-là et nul par ailleurs. Donc même si plusieurs motifs peuvent être à l’origine de la décision d’une personne ou d’un groupe de personnes de se départir des règles, des positions et des projets de son parti « qui est synonyme de reniement de soi». Mais toutefois, ils doivent pouvoir faire impérativement le choit , entre les besoins de leurs ventres du moment et leurs convictions originelles qui résident dans le soutien sans faille de la doctrine, dans le projet, dans les positions politico-électorales de partis dont ils s’avèrent renégats. Donc, après ce choix, s’il part, il doit aussi tacitement se départir de tous les oracles, les signes et emblèmes de son parti originel. Ceci est intransgressible en doctrine politique. Doctrine qui exige qu’aucun militant quelle que soit sa valeur au sein du parti politique, ne saurait déroger pour quelque raison que ce soit, même pour raisons de ventres, au devoir de soutien envers le parti et à l’exigence politico-électorale du parti. La démocratie interne d’un parti politique n’exclut en rien l’ordre, la cohérence et une certaine discipline du parti. Donc ne pas être d’accord avec la majorité du parti politique, proposer des idées alternatives, une autre pensée, tout est possible dans un parti politique en interne. Mais l’idéologie philosophique ne se monnaie pas. Jamais !
Donc, changer de parti politique sans tenir compte des affinité idéologiques, et appartenance philosophique aller contre la position affirmée de son parti et contre le gré de son parti, pour être l’adversaire de son parti politique, contre le but légitime de sa création qu’est la conquête du pouvoir par les urnes démocratiques et pluralistes, revient à s’affirmer ostensiblement comme un citoyen vache qui ne demande qu’a manger. Parce que ce citoyen vache qui ne demande qu’à manger, aurait ainsi adhéré à un parti politique sans aucune conviction de base, pour des raisons de ventres et delà, il ne sera jamais adversaire des procédant d’argent. Qui ne tiennent pas compte que la vocation première d’un parti est la réalisation du but légitime de sa création qu’est la conquête du pouvoir par les urnes démocratiques et pluralistes. Donc, j’étai d’un parti politique et je vais dans un autre parti Non ! Tu n’es pas politique, tu es mangécrate, tu es bouffe-tout. La côte est le seul pays au monde ou on peut voir un Homme politique qui a adhérer librement à un parti politique depuis des décennies et souvent de façon atavique, qui retourne sa veste, pour combattre son parti politique initial. « Cela équivaut aux états unis d’Amérique, qu’un Républicain s’inscrit dans la logique Démocrate et combat l’option politique des républicain.
Donc dans les nations civilisées aucun militant de parti digne de ce Nom ne peut voter ce genre d’homme politique renégat, nihiliste, iconoclaste et auto-reniant, aux cours d’une élection, pour quelques raisons que ce soient. Parce qu’il est impossible de bâtir un vrai état de droit le but des partis politiques, une vraie démocratie l’œuvre de prédilection des partis politiques, une vraie république condition de l’existence des partis politiques, les élections honnêtes la sève de la stabilité politique et de la paix sociale, ne sont compatible, avec des militants des partis politiques versatiles peu ou pas intéressés à la relation dialectique qui doit exister entre le nantis détenteur du pouvoir Etatique et le peuple souverain dont ils sont partis intégrantes. Faire la politique exige d’être exemplaire, exige d’être un référent moral sociopolitique, exige d’être représentatif. Or ce genre d’homme politique est dédouané de toutes les valeurs sociales d’une vie sereine et civilisée, il n’est qu’une vache qui ne demande qu’a manger. Et aussi aucun citoyen digne de ce Nom ne peut voter son organisation politique acheteur ou coopteur mafieux, qui divise pour régné. Parce qu’il est exclu de réclamer une nation souveraine digne de ce Nom, si elle ne prime pas sur les raisons de ventres lors de la désignation des représentants. Oui, il est illusoire de vouloir installer un Etat républicain de droit digne de ce Nom, avec des militants politiques peu ou pas intéressés à la défense des droits du peuple à se faire gouverner librement, sans contrainte par des hommes politiques honnêtes, qu’ils choisissent aussi librement sans contrainte au terme des élections démocratiques pluralistes.
Ainsi, il devient inutile de chercher à aller ou à organiser des élections démocratiques pluralistes, là où derrière une république de façade se cache un système autoritariste monarchiste absolutiste de fait qui achète et rachète tout, d’où tout a un prix. Faire la politique est avant tout le respect des grands universels principes dans l’adversité loyale. Or ce genre d’organisation politique acheteur ou coopteur mafieux est dédouané de morale sociétale et de toute clarté, l’obscurantisme est son socle d’existentiel, avec elle s’est vive le mensonge des gouvernant, le revirement au gré des ventres et intérêts particuliers, et dans l’état voyou mytho-maniaque ou tout est monnayable. Oui, redisons-le, l’objectif de la création de tout parti politique est de conquérir le pouvoir d’état. Donc, les partis politiques démocratiques sont créés pour conquête du pouvoir par les élections qu’ils tentent de remporter dans le but de gérer les institutions de l’Etat. Donc, ils mettent logiquement en avant des propositions de politiques publiques alternatives qui sont inspirées par les préférences des citoyens. A travers leurs choix des candidats et des politiques, ils proposent aux citoyens des options de gouvernance, qui peuvent renforcer les institutions politiques nationales. Et dès lors, ils présentent ces choix aux élections et cherchent à mobiliser les citoyens derrière leurs visions de l’intérêt national. Soulignons l’intérêt national et non l’argent national. Là où il y a préférence de l’argent, la conviction idéologiques, et appartenance philosophique disparait.
Les partis politiques à travers leurs actions sociopolitiques et leurs objectifs, peuvent jouer un rôle vital dans le renforcement des régimes démocratiques et pluralistes. Puisque, la volonté du peuple est le fondement de l’autorité des pouvoirs publics, cette volonté doit s’exprimer par des élections honnêtes qui doivent avoir lieu périodiquement, au suffrage universel égal, assurant la liberté du vote. Donc, ici, les partis politiques ne doivent pas chercher à améliorer le statut de leurs propres électeurs en privant d’autres citoyens de leurs droits fondamentaux « libre arbitre sans achat de vote ou de conscience qui exprime l’humanité de l’homme» ou droits humains «liberté et croyance non-monnayable», par exemple, les partis politiques ne doivent pas exceller dans le débauchage rémunéré des cadres des autres partis politiques ou en exerçant une politique de discrimination sur la base des appartenances autre que politico-idéologico-philosophique, ou en profitant de la misère collective du peuple avec l’argent public au terme des élections. Le parti au pouvoir « R ? DP soit-t-il » ne doit pas abuser de leur position en refusant l’accès aux services publics de base et à la protection à des individus ou des minorités qui ne soutiennent pas leur gouvernement. « La CEI est ostensiblement une boue mouvante très dangereuse.
Or, les partis démocratiques sont en droit de s’attendre à ce que les élections soient libres et que les partis au pouvoir n’abusent pas des ressources publiques dans le but de favoriser leurs candidats, ou d’asphyxier l’opposition politique. Toute chose qui anéantirait le rôle essentiel des partis politiques qu’est de participer à l’animation saine de la vie politique. Parce qu’ils sont les intermédiaires entre le peuple souverain absolu et les gouvernants momentanés qui disposent du bien public et des caisses étatiques. Or ici, l’arène sociopolitique ivoirienne est devenue le théâtre non pas d’une opposition politico-idéologico-philosophique et doctrinale, mais plutôt une opposition entre les très nantis détenteur du pouvoir d’état « argent sans odeur et sans couleur » et la misère sociale et la désespérance du peuple qu’ils ont sciemment créé, « extrême pauvreté précarisation » le tout afin de sceller une alliance de panurgisme moutonnière avec le désespoir citoyen et la désespérance du peuple souverain, dans un duel sur un tapis glauque et visqueux. Ou chacun tire le bien public et les caisses publiques de son côté, n’importe comment, en épiant les autres, à l’image de ces rapaces rassemblés autour d’une proie en décomposition avancée, bouffe-tout se battant parfois avec leurs semblables, en cohabitant avec eux le reste du temps, dans l’attente du coup de poignard fatal bien administré dans les dos que chacun prépare avec minutie.
Donc, le misérabilisme politique nantis, s’alliant toujours contre les nécessiteux socioéconomique, qui ne font pas partie de leur monde. Et le bien public, les caisses publiques et les ressources naturelles souveraines, leurs permettent de porter au crédit des autres, les désastres qu’ils déclenchent dans la société commune, afin de se poser en sauveurs et de préserver leurs intérêts mafieux. Terreau fertile par excellence des vols synergiques organisés et des pillages systématiques des ressources naturelles souveraines et des biens publiques. Tout en organisant l’intrique florentine au sommet du système d’organisation sociopolitique, et d’entretenir la gabegie dans les caisses publiques. Oui, pillages, vols, détournement, défenestration en outrance couvert par des bonnes paroles. C’est pourquoi, si on ne prend garde, mêmes les élections ivoiriennes à venir, 2025 y compris, vont se réduire à l’opposition entre les très nantis détenteur du pouvoir d’état et la misère sociale qu’ils ont sciemment créé, afin de sceller une alliance de panurgisme moutonnière avec le désespoir citoyen et la désespérance du peuple souverain. Oui, même en 2025, il va valoir aller chercher, la politique, l’idéologique, la philosophique et doctrinale, dans les toilettes de l’oubliette ou les ventres boulimiques se vident.
Oui, donc, disons le respect strict des règles et des procédures internes claires sont précieuses pour les partis qui souhaitent réussir électoralement sur le long terme. Les procédures qui réglementent les conflits internes peuvent contribuer à la longévité d’un parti, surtout si les règles sont transparentes, bien connues, comprises par les membres et respectées. Enfin le Leader de la légitimité citoyenne ne conduira jamais son mouvement de citoyens libre a des élections de façades. Jamais de la vie. Mouk ! Oui, la « LC-CRS », mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicain social, Houphouët-iste enragée et d’un éclectisme assumé ne suivra pas, là où toute la souveraineté échappe au peuple ivoirien pour échoir à l’Absolutisme. La LC_CRS soucieux de la régulation sociopolitique, avec les citoyens-libres ne sont pas couillon pour faire des élus couillonnades des élections de façades. « MOUK !» jamais de la vie... Parce qu’il y a trop de mafieux voleurs dans mon pays qui s’exsangue. « Comme dit plus haut. Au surplus il y a un grand débaucheur, un gros acheteur, un énorme affairiste qui trône sur une grande commune Abidjanaise, qui a prêté serment devant le Gourou suprême, de tout acheter, de tout débaucher, de tout enfariner, afin arriver au pire des partis uniques genre stalinisme, l’idéologie inspiratrice des Khmers Rouges actuelle saupoudrer en côte d’ivoire dans un pseudo ultralibéralisme de liquidation de toute souveraineté étatique et nationale». Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.
*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.