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11 janvier 2023 3 11 /01 /janvier /2023 17:29
Lepetitfils : Certes, il nous faut une commission électorale Apolitique, Autonome, réellement Indépendant, mais surtout, il nous faut la gratuité de la Carte nationale d’identité indispensable à la participation aux élections à venir, il y a de nouveaux majeurs qui n’ont pas des pièces d’identités faute de moyens, même le certificat de nationalité est payant en vue de la participation aux élections. Donc la gratuité de la carte nationale d’identité s’impose comme postulat de droit, dans une situation de crise sociopolitique à la recherche de solution durable.

Lepetitfils : Certes, il nous faut une commission électorale Apolitique, Autonome, réellement Indépendant, mais surtout, il nous faut la gratuité de la Carte nationale d’identité indispensable à la participation aux élections à venir, il y a de nouveaux majeurs qui n’ont pas des pièces d’identités faute de moyens, même le certificat de nationalité est payant en vue de la participation aux élections. Donc la gratuité de la carte nationale d’identité s’impose comme postulat de droit, dans une situation de crise sociopolitique à la recherche de solution durable.

*- Chronique « Kouma: A LIRE ET COMPREDRE : Il faut boycotter les élections régionales et municipales à venir.

Les citoyens libres doivent absolument boycotter les élections régionales et municipales qui sont prévues pour  octobre et novembre 2023 en Côte d'Ivoire. Dans un processus électoral non-conforme à la norme d’organisation coutumière et non-conventionnel, la participation massive des citoyens électeurs entraine toujours la fraudes et les trucages massifs tout compte fait les fraudeurs et les truqueurs sortent toujours vainqueurs. Donc, par principe les citoyens libres doivent absolument boycotter ces élections régionales et municipale, en se disant qu’en votant qu’ils viennent procurer au mépris de leur droit, des élus de faits sinon de non-droit, qui à leurs tour vont voter des sénateurs, en dépit du suffrage universel direct, et qui se réclameront du pouvoir législatif, pourtant émanent du vote des démembrements du pouvoir exécutif dont ils sont astreint par la séparation des pouvoir à contrôle strict. Bon ! Comme toujours on veut nous soigner une plaie béante au pied en tirant sur la chevelure sur la tête, oui, on nous parle de l’orchestration certes politicienne de la transhumance électorale massive, en oubliant sa cause réelle qu’est le parachutage des candidats dans des circonscriptions électorale avec lesquelles ils n’ont aucun lien de rattachement locale atavique, territoriale, souvent qu’ils ne connaissent que Nom. La transhumance électorale massive est la résultante du parachutage des candidats dans des circonscriptions électorales qui ne connaissent pas, par exemple vous me prenez un Croupion « Kônôn-ko» n’importe où dans ce pays qui ne connait même pas l’acception de « kourou-bâtard et qui ignore tout de comment on n’a l’habitude de gérer les djogoyâ a Abobo» vous le planté a Abobo « la-geurre », logiquement ce candidat aura besoin de brigade de soutien de son transfuge monde réel pour converger vers Abobo  son nouveau centre d’intérêt politicien qui voit en lui un intrus étranger.

C’est pourquoi le lien de rattachement local continu et social atavique, le lien de rattachement territorial, spatial ancestral, le lien de rattachement Moral des rafistolages des fibres intercommunautaires entretenus par les candidats aux élections locales avec les populations qu’ils veulent administrés  ou prétendent vouloir gouverner, doivent être extrêmement très solides. Donc, la faute est au système électoral entier et aux normes électorales abracadabrantesques. Pour des raisons de positionnement stratégique, quand insidieusement, on pousse ses pions préférés, en coupant les têtes par-ci, en éliminant des pions par-là, en diminuant les longueurs là-bas, en rétrécissant, des largeurs à l’opposé, se faisant on finit par exhiber un Zéro pointé comme le plus meilleur  méritant, peut-être qui son ombre ayant grandit par les rayons du coucher du soleil comme le plus géant, on aura gagné les jeux, mais on aura fait perdre la totalité sociale souveraine pour ses bassesses. C’est pourquoi, quand certains principes coutumiers fondamentaux sont violés le voile étatique doit être percé faute de quoi les véritables fraudeurs et violeurs des grands principes de droits et de démocraties seront assurés d’un exercice continu  dans l’impunité totale, au Nom de la détention du pouvoir d’état. Parole de la légitimité citoyenne «LC-CRS», mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicain social, Houphouët-iste enragée, d’un éclectisme endurci et assumé. Oui, LC-CRS …

*- Bon ! Reprenons la marche citoyenne avec le peuple ultime détenteur du pouvoir dans un état républicain.

Retenons que, de par le monde c’est une évidence connu de tous, que la démocratie représentative est le fruit d’un compromis négocié dans le sang des révolutions des cinq «5 » derniers siècles, entre les exigences absolutistes et dictatoriales qui exigeaient tous les pouvoirs qu’els qu’ils soient et l’aspiration légitimes profonde des couches populaires qui aspiraient, à la maîtrise de leur vie et de leur destin collectif dans une société équitable et juste. De sorte qu’en l’absence d’élections qui organise la participation de tous, doté des droits, des libertés, et des instruments citoyens de cette participation a la vie de la société commune et en l’absence de votes efficaces, qui ne respectent pas le principe d’un homme, une voix, les citoyens utilisent alors leur seul autre moyen d’exercer un contre-pouvoir, le boycott actif et la désobéissance civile légale ou l’insurrection populaire pacifique, « du genre affaire de racaille, de gilets jaune, ou de Mai 1968» pour espérer obvier une aliénation de fait de leurs droits citoyens ou de la souveraineté populaire. Puisque, le fonctionnement de la démocratie représentative se trouve radicalement faussé, quand la souveraineté populaire se trouve aliénée. Dès cet instant, les  élus qui sortent des pseudo-urnes électorales et devenus détenteurs du pouvoir, n’agissent plus en tant que mandataires de la totalité sociale souveraine, mais en tant que monarque devenu souverain absolu. Donc les citoyens boycottent les élections pour délégitimer la structure du pouvoir, qui en ressortissent, illégalement et illégitimement dans le mépris des droits. Donc, e boycott des élections, est un refus de légitimer une mascarade.

Oui, une démocratie participative fonctionne par l’existence de la confiance totale de tous les participants dans le processus électoral et sur le mode du débat démocratique et pluraliste, l’abstention par boycott est le signe de leurs inexistences. Et dans une société, lorsqu’on contourne cette réalité irréfragable, par des questions politiciennes, qui paraissent impropres à la démocratie, le rapport de force supplante la démocratie. On entre alors dans un système opaque de non-droit et la sphère électorale se trouve désertée par boycott. Car ce n’est pas là par se contournement controuvé que doit s’attribuer les pouvoirs démocratiques, et ce n’est pas là que doit se prendre les décisions électorales équitables, salvatrices, novatrices et salutaires. Donc l’abstention par boycott accrédite l’idée illusoire qu’il pourrait exister des solutions légales, qui ne passent pas par la politique politicienne, fruit des rapports de forces d’Animosité ou d’Animalier, pour l’exercice du pouvoir d’état, au mépris des règles démocratiques et des droits du citoyen. Donc, le citoyen libre s’abstient, il boycotte, mais il fait confiance à la protestation légitime pour faire entendre sa voix citoyenne. Ici, le boycott est un signe de manque de confiance dans le processus électoral, de désespoir citoyen face à des travers politiques et électoraux, qui résulte du processus électoral cadenassé et bâclé, donc aux résultats téléguidés connus d’avance, via  un système qui schématise le trucage. Donc, pour des raisons lucratives et pécuniaires, privé des citoyens de cartes d'identités nationales, donc, de la possibilité de voter, en jouissant de tous les autres droits qui dépendent de cette carte nationalité d’identité, c’est de du trucage électoral et de la spoliation d’un droit inaliénable pour des raisons politiciennes et l’affairistes fondée sur la conservation ou la conquête du pouvoir d’état et aussi sur le  gain absolue qui priment sur un droit inaliénable. Oui, si l’état agit au Nom de ses ressortissants en s’endettant pour faire des routes, pour faire des ponts, pour construire des écoles, des universités, et des hôpitaux, etc. L’état doit pouvoir s’endetté pour pourvoir aux frais des pièces d’identités, qui attestent de la nationalité de ses ressortissants aux Noms desquels il s’endette, midi, matin, soir. A défaut, il convient de boycotter les élections.

 Donc, certes il nous faut « ivoiriens » une commission électorale Apolitique, Autonome, réellement Indépendant, mais surtout, il nous faut la gratuité de la Carte nationale d’identité indispensable à la participation aux élections à venir et il y a de nouveaux majeurs qui n’ont pas des pièces d’identités faute de moyens même, le certificat de nationalité est payant en vue de la participation aux élections à venir. Donc la gratuité de la carte nationale d’identité s’impose comme postulat de droit, dans une situation de crise sociopolitique à la recherche de solution durable.  Oui, dans la gestion de l’état tout ne doit pas être pécuniaire, mercantilisme, Argent, profit, gain. Un état de droit et une nation souveraine se gère par les gouvernants pour le peuple souverain consentant. On gouverne le peuple souverain avec son consentement, pour son bonheur, pour sa paix, avec l’anticipation des perspectives de son avenir dans le temps et dans l’espace. Donc la gratuité des pièces d’identités qui vont permettre à tous les citoyens de participer aux élections à venir est un droit inaliénable du peuple ivoirien a disposé de lui-même.  Oui, il est de notoriété publique, qu’en droit, la nationalité est utilisée pour décrire la relation juridique entre l'état et l'individu, c’est le lien sociopolitique qui lie un état à un individu. Donc ce terme nationalité indique le statut juridique matérialisé par une pièce d’identité nationale, qui donne ou confère à la personne des droits et des obligations par rapport à un état particulier. Cette identité juridique sécurisée donne accès aux documents qui l’attestent et reconnus aux niveaux national et international, qui sont nécessaires pour montrer le droit à la participation de la vie sociale et de la gestion de la société, à la protection civile et des avantages accordés par la nationalité d'un état. Un citoyen sans pièce d’identité  est un apatride sur la terre de ses ancêtres. Donc, il faut boycotter par nécessité citoyenne et pour la revendication d’un droit de citoyen libre.

Puisque, le boycott est une prise de conscience d’une contrainte illégale et de non-droit, transporté par des normes anomique et une forme ou procédure juridique viciée. Ce qui n’est pas précisément une posture de citoyen libre et indépendant. Et c’est pour cela que le boycott débouche toujours sur des crises politiques aigues. Mais pour, du même coup, redonner un sens à la souveraineté populaire, il faut aussi que ce boycott, ne se limite pas à l’abstention par boycott, mais, il faut qu’il débouche sur une intervention démocratique positive et que les partisans du boycott se regroupent, forment des comités légaux ou toutes autres structures collectives pour  débattent, non pas du choix d’un individu, qui irait exercer le pouvoir à leur place, mais des transformations de l’organisation politique et sociale, qui redonneraient à chacun des citoyen libre boycotteur paisible et civilisé, les moyens d’une existence démocratique et électorale décente et une prise de position sur le destin collectif. Car le système qui opprime les citoyens en les privant de la participation à la vie de la société, n’est pas spécifiquement un système électoral qu’on peut taxer de bâclé, mais un système de pouvoir voyou aux mains d’une politique exploiteuse de misère populaire citoyenne, celui-ci s’efforce de gouverne en se servant des élections ou pas. Mais, puisqu’ils sont toujours conscients de leurs nombrilisme politicards, donc, ils se moquent ostensiblement que les citoyens participent ou pas au vote du moment, et ce qui les préoccupent ce sont, comment étouffer les ouvertures démocratique et électorales pour que les citoyens n’arrivent à rien faire d’autre pour leur ôter leur pouvoir mal-acquit. Donc ce pouvoir continuera à jouer la carte de la légalité «organisations d’un processus électoral bâclé et le respect des lois électorales viciées» sans se préoccuper de la légitimité que ne pourrait lui procurer qu’un vote populaire et massif, qui n’a aucune chance de se produire dans son mafieux système.

Qu’importe cette légitimité que ce pouvoir n’a aucune chance d’obtenir, eu égard au massif boycott actif et à la désobéissance civile ou l’insurrection populaire que, la situation de fait appelle, puisqu’un simulacre de légalité, basé sur son système électoral téléguidé, et sur le respect d’une organisation électorale politisée, et des lois électorales taillées sur mesure, suffit à ce système de pouvoir pour garder la haute main sur le pays et toute la richesse du pays. Et évidemment ainsi en résultent et s’entassent de dangereux ressentiments susceptibles de fragmenter et fissurer encore plus la cohésion sociale. Puisque la véritable démocratie participative, c’est quand des millions d’opprimés ou spoliés de justification de qualité font de la politique, en choisissant librement leur représentation nationale. Donc, il serait insensé de dire que le boycott n’est un choix, par une minorité opportuniste d’hommes politiques mafieux, qui méprisent le droit, les libertés et la démocratie. Qui ont transplantés toutes les politiques électorales chaotiques dans notre pays, toutes les crises sociales et intercommunautaires d’animosité de la  planète en côte d’ivoire, destinée à la désocialisation à petit feu, sous la houlette du Moi ou Rien, sinon moi ou la Terre Brulée. La côte d’ivoire est parti le 07 Aout 1960, sous la conduite de Félix Houphouët Boigny, avec la Religion «la paix dans les cœurs et dans les esprits et de pas une seule goutte de sangs Humain versée sur le sol ivoirien» avec l’option rigoriste que tout homme est homme, indépendamment de sa Caste, et que les hommes sont égaux en droit et en devoir dans la société, qui s’oblige à organiser la solidarité envers les plus faibles de sa peuplade, pour devenir une côte d’ivoire paisible. Ou tous les changements étaient possible, mais dans l’ordre social, dans la stabilité, dans le respect des lois, et de la paix sociopolitique. Alors parti de ce postulat comment peut-t-on arriver aux élections calamiteuses et macabres ? Donc, il faut boycotter par nécessité citoyenne et pour la revendication d’un droit de citoyen libre bafoué ou altéré de fait.

Il faut boycotter parce qu’une reddition de comptes de la crise socio-politico-électoral s’impose comme devoir aux citoyens ivoiriens. Parce que le chaos sempiternel, aura de beaux jours devant lui en côte d’ivoire, si le peuple ivoirien ne tire pas des leçons et des conclusions des crises électorales. Oui, la société ivoirienne est à un début d’une désocialisation dévalorisante en outrance, d’une acculturation sociale forcenée, d’une dénaturation socioculturelle assujettissante et d’une dépravation des mœurs sociétales ataviques de la Côte d’Ivoire, qui peut déboucher sur une honteuse dépaysassions aux couleurs importées. Une libéralisation effrénée de la confiscation des ressources naturelles souveraines et de l’expropriation terrienne des terres ancestrales soumis à géométrales régulier, épars et diffus. Un solide appauvrissement endémique de l’ivoirien par la vie très chère, qui piétine les petits au profit des grands intérêts internationaux. Une orchestration systémique de la liquidation mafieuse de la côte d’ivoire auprès des grands intérêts dans le concert des nations. Une escroquerie morale et intellectuelle très parfaite ventilée à tout bout de champs par des fanfaronnades élogieuses pour le formatage mental des citoyens, pour les inculquer une croyance divine bien administrée. Un succès ivoirien qui ne repose plus sur l’effort collectif de l’agriculture, mais sur un système économique dirigiste créancier du monde des éco-finances opaques et son équipe de copinage qui n’œuvre que dans la concussion. Une pratique politique euthanasiste sado-perverse narcissique, de destruction, de musellement de toutes opinions dissidentes, de toutes oppositions politiques, de certains partis politiques et hommes politiques récalcitrants face au seigneurial. Un sinistre cynisme dans la gestion des crises électorales sempiternelles couvert par le mensonge d’état qui s’en suit toujours. Un mépris condescendant pour les autres appartenances idéologiques et l’amoralité dans l’action électorale et politique.

Une pratique démocratique et politico-électorale égoïste et égocentrique «de-fait-nous-fait», élevé à un niveau jamais atteints dans notre pays, par l’interpénétration des affaires mafieuses dans l’exercice du pouvoir d’état, dans la gestion des affaires économiques d’état et finances publiques, dans le système des processus électoraux. Des éhontés entorses orchestrées et répétées aux droits civils et politiques, aux libertés citoyennes, aux grands principes démocratiques de par le monde et au processus électoral coutumier pour pouvoir obvier des élections véritablement démocratiques et conformes aux normes coutumières internationales. Un pillage systématique et sauvage des ressources naturelles souveraines de la côte d’ivoire, « Or, Diamants, et autres orpaillage ». Des ressources naturelles souveraines devenues Butins, que même les petits enfants des ivoiriens, qui ne sont mêmes pas nés encore en 2023 pouvaient exploiter dans des siècles à venir, aux profits de l’intérêt général de la nation ivoirienne de la totalité sociale souveraine. Des fêtards détournements synergiques des deniers publics, souvent soumis a enquêté exutoire et d’enterrement propagandistes, par un clan de copinage formé de quelques familles privilégiées et membre d’une compromission politique et électorale. Un surendettement éhonté de l’état auprès des grands usuriers internationaux devenant ainsi propriétaire et exploitant des domaines coutumièrement réservés à l’ordre de souveraineté absolue. Et enfin, une société ivoirienne soumise a une politique économique  dirigiste de défenestration économique sur le dos du peuple ivoirien, et ce peuple qui exsangue à l’image de sa côte d’ivoire. Il est donc illusoire qu’avec un tel système démocratique politico-électorale bâclé et cadenassé de prétendre aller à des élections. Donc il faut boycotter les élections à venir de quelques formes qu’elles soient.

Oui, malgré tous ces faits indéniables de non-droits égrenés ci-dessus, si le peuple souverain de côte d’ivoire, ne tire pas de conclusions de cette situation suscitée et bien égrenée. Et s’il n’y a pas de refus citoyen de suivre le sens du vent bien soutenu dans cette situation ancrée dans la société. Il n’y aura pas plus malheureux, que l’ivoirien de demain dans le concert des nations. Et sauf à vouloir uniquement obtenir quelques petits postes personnels ou partiaires mais minoritaires d’élus sans poids régulatrices, « conseillers généraux et Maires », il est incontestablement illusoire dans ces conditions sociopolitiques, avec un système électorale bâclé et cadenassé à jamais de prétendre aller à des élections réellement propres et démocratiques. Ou, illusoire dans ces conditions à vouloir chercher à organiser des élections, pluralistes, démocratiques et républicaines, dans cette configuration préélectorale actuelle de l’arène politique ivoirienne, avec un système qui ne veut que favoriser l’embellissement démocratique à sa convenance électorale. Pour un maquignonnage politique par une factice animation électorale maquillée sous son contrôle, au sein d’une classe politique suiviste sélectionnée. Afin que chacun des admis politique sélectionné puisse porter un message prédéterminé, qui n’entravera en rien à un  dessein monarchiste, qui n’a manifestement pour le moment aucune appréhension à ce faire, pour la réussite de son schéma stratégiques de successions monarchiques programmé pour 2025-2030 et suivants, les suiveurs accourant à sa porte glauque et visqueuse ou suicidaire. Donc sûr de son fait ce système ne fera aucune concession importante concernant les revendications des autres appartenances politiques. Il faut boycotter les élections locales à venir.

Pauvre côte d’ivoire, Pauvre de LC_CRS, il n’y a plus de route, avec ce fichu système politicard de voyoucratie monarchiste et d’absolutisme aveugle, de quoi à tirer le tocsin d’appel de boycotteurs bulldozers citoyens c’est une urgence. Il faut boycotter les élections a venir. Oui, à vos bulldozers citoyens, parce que dans cette situation sociopolitique et démocratique-électorale, là où s’affiche ostensiblement, derrière une république mafieuse, démodé de façade, mais en réalité ou se cache de fait un système politique de voyoucratie monarchiste et absolutisme outrancier, assis sur une politique criminelle de dirigiste économique de défenestration économique expéditive et synchronique, qui écrase les petits aux pieds des grands intérêts mafieux. Alors à ce rythme c’est une démocratie de façade sans contenue réel qui s’installera à jamais dans notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët  Boigny.  Donc, il faut boycotter les élections régionales et municipales qui sont prévues pour  octobre et novembre 2023 en Côte d'Ivoire, par nécessité citoyenne et pour la revendication d’un droit de citoyen libre.

Donc, répétons encore ici notre bréviaire irréfragable : Avant toute chose et pour que les élections méritent leurs nom, la côte d’ivoire, a besoin de régulation sociopolitique et d’une intégrité du processus électorale. Donc, revoilà nos remèdes : « Une commission électorale Autonome et Apolitique, qui gèrera librement tout le système électoral, sans aucune interférence de qui que ce soit, et qui s’adjoindra librement tous les expertises quelles qu’elles soient.*- 2- qui nommera librement des Juges des élections impartiaux « conseil constitutionnel judiciaire ». 3- Qui procédera à un Découpage électoral équilibré sous les conseils et expertises des spécialistes qu’elle s’attachera. 4*- Qui fera une identification claire et un enrôlement fiable des électeurs légaux, et dotera GRATUITEMENT tous les citoyens majeurs de pièces d’identités en vue de leurs participations aux processus électoraux,  en proscrivant les acquisitions frauduleuses de nationalités et du droit de votes. 5*- Donc, qui produira une liste électoral consensuelle et fiable, conforme à la démographie nationale d’un pays « 30 Millions d’habitants » *-6- Qui fixera une Condition claire d’accession à la candidature aux postes électifs de représentations nationales, pour qu’ils résultent Tous Sénateurs y compris du suffrage universel direct, et qui veillera que le lien de rattachement social et territorial des candidats soit très solide*- 7- Qui se procurera des Instruments électoraux fiables et les modes de scrutins adaptés*- 8- qui exigera de l’état, des normes juridiques de régulation sociale et de régulation électorale conforme aux normes et  standard internationaux coutumiers, pour le bon fonctionnement juridico-politique de son organisme, etc. ». A défaut de ce système électoral fiable, il faut boycotter les élections et opter pour une reddition de comptes de la crise socio-politico-électoral qu’impose le devoir citoyen. Oui,  il en va de la médecine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Le mal connu et le remède connu, il ne reste plus que la volonté politique de privilégié l’intérêt national, et de la totalité sociale qu’est le peuple. C’est notre But. Sur ceux citoyens, nous avons Kouma. Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA « chronique » de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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