Lepetitfils : Une crise armée contre la totalité sociale, par l’entretien sciemment. Une organisation sociale vermoulue et démodée, un développement économique bâtardise, qui laisse le citoyen au bord de la route du progrès, un système politique hybride, un train de vie étatique sangsue qui est la cause de vie chère, une organisation électorale antidémocratique et non-conventionnel, toujours abonné aux cadavres de citoyens. Toutes les crises sont-là, crises de droit et de liberté, crises de légalités et de légitimités, crises sociales et identitaires. Y a folli ! Ya rien dans tous-ça.
*- Chronique «Kouma» : « il est question de pouvoir remonter les profondeurs abyssales d’une crise ».
Donc, au terme de ce constat, qu’en dire ici, sauf qu’à se répéter encore que : Le citoyen doit prendre sa part de responsabilité, en décidant de participer à la vie sociopolitique de son pays et engageant dans la sphère publique pour faire bouger les lignes sociopolitiques de son pays. La stratégie de lutte par l’abstention endémique de 85 à 90% ne suffit plus, il faut absolument le vote sanction ou autrement dit le vote utile d’intérêt général. Le citoyen doit prendre sa part de responsabilité, parce qu’il ne suffit pas dans une société en crise aigüe, d’éluder habilement les problèmes et les griefs sociaux par crainte de crises sociopolitiques, ou de faire la politique de l’autrice en faisant fi, de ne pas voir les causes de crise sociale, en voilant sa face avec des voiles partisanes et celle des intérêt obscurs du moment. Mais plutôt, pour les citoyens dignes de ce nom, il convient d’agir constamment sur les causes conflictuelles, pour pouvoir obvier les crises sociales à venir dans le temps. Et d’œuvrer dans la recherche inlassable par fois ingrate de la paix sociopolitique. Oui, le principe d’égalité entre les hommes, et le droit accordé à chacun d’accéder selon ses mérites, aux hautes fonctions sans discrimination d‘appartenance, permet la coexistence des interactions sociales sans dégénérer en conflit. Les idées démocratiques ont fait leur chemin et le droit à un système électoral fiable, n’est autre chose que la participation du peuple souverain aux affaires de l’Etat républicain de droit. Mais, on ne veut rien entendre, on ne veut rien voir, autour du système de l’organisation sociopolitique, cela au mépris des droits civils et politiques, en dépit des libertés fondamentales et des règles démocratiques universelles.
Or, la stabilité sociopolitique, la paix nationale et internationale, exigent un organisme électoral APOLITIQUE et AUTONOME, moralement dédouané de l’entrainement dans l’arène politique partisane, ou influencer l’électorat de quelque manière que ce soit, ou suscité de quelque manière que ce soit les votes de la main de Dieu. Parce qu’un candidat vient après Dieu. Oui, il le faut, les hommes sont astreints à des actions, qui peuvent changer leur société. D’où, le tout parti à chance égal, chacun a le droit d’exercer sa libre participation à la vie sociopolitique de sa société. Oui, il appartient en effet à chaque époque, de réorganiser ses normes de régulations sociopolitiques en fonction de l’évolution des règles universelles. Donc, l’erreur serait de réduire l’exercice du pouvoir d’état, ce pouvoir étatique à une autocratie, cette autocratie à une tyrannie illégitime et abusive. Ce pouvoir franchirait dès lors les bornes de son exercice normal et ne reflèterait plus la volonté du peuple, en se substitue une volonté de concrétion égocentrique. Oui, la stabilité s’arrache des griffes de l’incohérence organisationnelle et le prix de la liberté d’un peuple se mesure à l’aune de sa détermination sans réserve, face à un système politique de régulation non-conventionnelle, usine à gaz pour la paix, anti-droit, anti-liberté, antidémocratique. Bon ! Disons que, détermination ou statisme, inertie ou démission, dans tous les cas, le mal est là, le danger est là, avec la rigidité inflexible des politiques autour des choses publiques, le Volcan dort désormais aux côtés du peuple. Il y a manifestement péril en la demeure ivoire. Oui, à quoi sert une renégociation d’accord politique pour aller dit-on, a une élection supposée démocratique, équitable, libre, juste, transparentes et paisible, après des accords et promesses, non-tenues issue de négociations antérieures ?
Oui, à quoi sert dans une crise aiguë, de s’enfermé dans un illusoire carcan de certitudes bétonnées dans un système politique hyper-judiciarisé, à l’unique écoute des Brouhahas de mange-mils, de renégats nihilistes griots des temps nouveaux. Oui, les crises sociopolitiques s’accumulent, et on adopte toujours la même attitude, ne pas les résoudre, mais les aggrave sciemment. On divise habilement le corps social en segments d’appartenances et on désintègre les destins collectifs pour exacerber les particularités qui les ont enrichis. Et de pour pouvoir ainsi exister politiquement dans une nation martyrisée. Ce qui remet en cause une profession de foi, Foi en l’homme, foi en l’exercice de la gouvernance sociale au service du citoyen et de la nation. Or, le mieux serait que cette gouvernance suscite, non pas l’obéissance de force mais le consentement sans intimidation. Oui, Gouverner c’est la capacité de se faire obéir avec le consentement du peuple, qui obéit sans menace armée ou judiciaire. Oui, toutes les crises se trouvent logé sur la dans notre pays, « terre de nos ancêtres » : Crise de non-respect du droit, crise issue des mépris pour les normes de régulations sociopolitiques, crise de droits civils et politiques, crise sociopolitique, crise intercommunautaires, crise du vivre en commun, crise civique, crise morale, crise de confiance dans les gouvernants, donc crise de légalité, crise de légitimité du pouvoir d’état, crise de vérité et pire crise identitaire. Et toutes ces crises évoluent à nos côté.
Il est temps, grand temps, qu’un dépassement de soi, qu’un abandon des intérêts politiques obscurs du moment, qu’une volonté dynamite citoyenne, sauvent notre pays, qui est comme cet homme transporté par la violence du courant de l’eau du fleuve vers la gueule du crocodile, à échéance cyclique. Ainsi le festin voulu par crocodile sera un évènement de fête. Cette croyance citoyenne émane de notre éclectisme foi inébranlable en l’avenir, et en notre position politico-idéologique dans l’arène politique ivoirienne, c’est notre espérance, malgré le sempiternel chaos social à nous imposer. Oui, à la légitimité citoyenne-républicain social « LC-CRS », mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste et Houphouët-iste enragée, notre option de centralité repose sur le besoin de stabilité, de cohérence, d’harmonie et de paix sociale, puisque le lien social est politique. Hélas ! Cette option s’oppose à de gros intérêts politiques, pas du tout de la religion de «PAPE». Mais, nous espérons de la sagesse de notre éternel gyroscope Félix Houphouët Boigny, de la persévérance de Nelson Mandela, de l’endurance de Gandhi, et du courage de Martin Lutter King, l'ampleur de la victoire remportée par ses illustres personnes, est pour nous, un exemple absolu, un éclairage, un gyroscope en politique. Et pour nous, la politique est principalement ce qui a trait au collectif, au général, au commun, à une somme d’individualités et/ou de multiplicités. Donc pour nous, toute personne qui ne s’intéresse pas qu’à elle-même, pratique donc de fait, la politique. Oui, la côte d’ivoire va mal, très mal même. Les ponts, les goudrons et les immeubles appartenant à un poignet d’homme nantis ou à un lobby, ne font pas le progrès social dans une nation, ou les griefs sociétaux gangrènent les fonctionnements des interactions sociales, ou les conditions d’accession aux postes électifs ne rassurent personnes, ou le système d’organisation sociopolitique est miné par les germes de conflits, ou les petits rendus misérables et indigents sont écrasés aux pieds des grands. Et l’amoralité, la dépravation de mœurs ataviques gagnent l’entièreté du corps social.
Or tout progrès social et développement économique, qui n’est pas soutenu par une stabilité sociopolitique, et une paix sociale durable et qui ne commence pas par l’homme, n’est que régression de l’humanité et assujettissement sociale de l’homme. Oui, depuis 22 ans, «1999» Rien de concret, le noir, le néant et le vide, pas une seule conception politique et sociale dans le sens de l’apaisement de la tension sociopolitique. Pas une seule mesure de politique économique salvatrice, qui met le citoyen au centre du débat développemental, pas une seule action intelligente, crédible, opportune, novatrice, cohérente dans le sens de la réconciliation nationale et dans la recherche de la paix sociale pérenne. Le chaos sociopolitique assis sur des normes juridiques démodées, anomique et sur des institutions vermoulues, s’est ancré à la vie sociopolitique pour devenir sempiternel, sous le poids des mensonges d’états. Voilà pourquoi nous avons souligné a d’autres occasions pertinentes que : « Si le mensonge pathologique est à la base de la fiction fantasmatique des actions politiques du mythomane ? Qu’alors la mythomanie a gagné toute l’arène politique ivoirienne». Or ne dirige pas une société composite avec versatilité des actions, on ne gouverne pas, un peuple avec le mensonge politique, le mensonge d’état, la diversion politicienne et la manipulation gouvernante.
*-Elaborer des normes de régulations sociales consensuelles, est le premier rôle assigné au gouvernant d’état.
Oui, la vie sociopolitique et la gouvernance étatique du 21e siècle, privilégie la persuasion discursive, l’obéissance volontaire, le libre discernement, le dialogue inclusif pour convaincre les réticences, la concertation populaire pour harmoniser les points de vues, le consensus politique pour arriver à la vie commune paisible, l’autonomie individuelle pour le respect du libre arbitre de chacun et le consentement fondé sur l’acceptation des valeurs d’intérêt général, des idées et des actions publiques conformes aux valeurs que l’humanité s’est donné, la notion du pouvoir au peuple souverain son seul et unique propriétaire, et proscrit le mensonge pathologique d’état et dans la politique. D’où les gouvernants sont obligés de persuader et de convaincre les gouvernés consentants. Oui, au-delà des besoins de ventres, ne nous leurrons pas, la côte d’ivoire ne serait jamais paisible, sans le consensus populaire autour de la chose publique, sans le dialogue républicain dans l’ordre du public, sans le respect scrupuleux de l’intérêt général, sans l’acceptation des différences sociopolitiques solidarisées, sans une réelle harmonie sociétale. Donc, il faut le consensus, l’exigence d’un abandon de soi, pour l’intérêt général des ivoiriens soucieux de la stabilité sociopolitique, de la paix sociale. Il faut une union nationale salvatrice qui proscrit la défense d’intérêt personnel. Donc, des hommes désireux de la stabilité politique et de la paix sociale, un tous a bords solidaire et unis, autour de la Côte d’Ivoire en quelque sorte. Pour ainsi mettre fin au chaos sociopolitique sempiternel, issus des élections.
(Oui, « le citoyen z’a pas bête-bête, le peuple non plus, z’a pas mouton de berger sado-pervers, mouk ! Jamais de la vie ! Pas bête ! Pas mouton ! Ils savent que les môgô-fâgâ marfâ, des gens-môgô-dey-fâgâ-là-fou ! Sont toujours armés dans une crise sociale, elle-même armée contre la totalité sociale, par l’entretien sciemment de cette crise. Une organisation sociale vermoulue et démodée, un développement économique bâtardise, qui laisse le citoyen au bord de la route du progrès, un système politique hybride sangsue, cause de la vie chère, une organisation électorale antidémocratique et non-conventionnel et toujours abonné aux cadavres de citoyens qui ne demande qu’à vivre en paix. Répétons-le, toutes les crises sont-là, crises de droit et de liberté, crises de légalités et de légitimités du pouvoir, crises sociales et identitaires. Y a folli ! Y a rien dans tous-ça. Retenons que L’abstention endémique de 85 à 90% ne suffit plus, on vous attend avec le vote sanction d’intérêt général, Voilà !) Oui, la bonne gouvernance étatique, implique évidemment le respect de la volonté générale de la totalité sociale souveraine, exige l’instauration d’un système sociopolitique au fonctionnement fiable, qui lubrifie les interactions sociales et demande à veiller à la solidité des fibres de liens qui se tissent à l’intérieur de cette collectivité afin de former un tissu social solidaire.
Donc, nous redisons encore ici, et maintenant, qu’il est d’ordre public ou d’ordre social, et d’intérêt général, que de faire de la réconciliation nationale, de la stabilité politique et de la paix sociale, une fixation absolue, au mépris de toute les autres considérations, y compris celles des intérêts politiques partiaires et des considérations juridiques et judiciaires. Donc, c’est le lieu ici, de se répéter toujours, que la clé de la solution de la crise ivoirienne, est entre les mains du peuple souverain de côte d’ivoire, que personne d’autre ne viendra avec une autre clé magique, a la place du peuple souverain de côte d’ivoire, ultime détenteur du pouvoir d’état, pour trouve une solution magique à la crise ivoirienne qui perdure, pour que la vie politique soit UN JEU LUDIQUE. Reprenons donc, notre vieux refrain qui est, qu’il n’y a pas d’autres solutions à la crise ivoirienne, que celle du consensus politique. Oui, de par le monde civilisé, il demeure constant, qu’en politique, noble Art, qu’il n'y a pas de vrai conflit politique sans une solution politique. Mais qu’en politique, les crises insolvables, sont toujours soutenues par l’absence de vrais dialogues inclusifs, fondés sur les défenses des intérêts politiques égoïstes et égocentriques. Or, il est d’une constance absolue qu’en vraie politique, que c’est en cultivant les vertus du dialogue social, de la tolérance mutuelle et de la solidarité diverse, «hélas ! Où l'emportent trop souvent la violence inouïe des diktats, l'intolérance face aux différences quelles qu’elles soient, l’insouciance des conséquences et l'égoïsme », qu’on arrive à la stabilité sociopolitique, à la cohésion intercommunautaire et à la paix, par le biais d’une Vraie réconciliation réussie et ancrée dans les cœurs sociétales.
*- Gouverner se justifie et s’accrédite par la capacité à produire et maintenir des normes consensuelles reconnues.
La politique de l’Autriche qui consiste à faire sciemment fi d’ignorer la réalité en face, et s’en donner à des coups de poignards dans le dos de la stabilité sociopolitique et de la paix sociale, dans les baffons de l’anonymat des inégalités sociopolitiques, des griefs sociaux accumulés, des dribles roublards politiciennes, sont périlleuses pour la côte d’ivoire. Surtout, avec des sempiternelles crises de légalité et de légitimité des gouvernants que ceci sous-tend, jusqu’au jour où il fera jour. Oui, des gens qui se doivent de transporter des voix, qui loin d’être les siennes, doivent résulter et s’identifie à ce que les citoyens veulent et à ce que la volonté générale exprime du bas vers le haut. Mais, ont instruit pour diversion, un dialogue de sourd sur le système électoral, et l’indispensable nécessité, d’avoir aussi, des Juges des élections impartiaux non-redevables a des hommes politiques «conseil constitutionnel judiciaire», et on drible à l’arrivée. La vraie réconciliation nationale et la paix sociopolitique sont au prix du consensus pour la côte d’ivoire. Un dialogue qui n’a jamais céder le moindre espace de souveraineté opposé à des desseins électoraux et à des intérêts politiques ne peut solutionner. Nous sommes enfermé dans un illusoire carcan de certitudes bétonnées par une bulle d’en haut très lunatique, dans un système politique hyper-judiciarisé, protégé par des gueulards impénitent au service des roublards endurcies. Oui, ici sans leurre, il nous faut se détromper dès maintenant, nous ne vivons qu’une accalmie temporaire avant d’autres crises et un orage économique et des tempêtes financières catastrophiques, résultantes des inflexibilités et rigidité des positions fermées sur des intérêts, qui n’épargneront personne. C’est un constat irréfragable au vu de la situation sociopolitique et économique délétère, de désordre sociétal anomique, de liquidation sociétale inscrit au cœur du pouvoir, qui décide du modèle de société à vivre.
Oui, gouverner se justifie et s’accrédite par la capacité à produire et maintenir des normes consensuelles paisibles. En clair, aucun élu, ou aucun groupe d’élus, ou aucun homme politique, ou aucun groupe d’hommes politiques, ne peut faire le bonheur d’un peuple malgré lui. Le peuple est maitre de son destin. Oui, comme déjà dit, il est d’une constance absolue de par le monde qu’en politique, la vraie politique, que c’est en cultivant les vertus du dialogue, de la tolérance mutuelle et de la solidarité diverse, surtout, en organisant la solidarité agissante envers les plus faibles. «Hélas ! Là où l'emportent trop souvent la violence inouïe des diktats inflexible, l'intolérance aveugle face aux différences quelles qu’elles soient, et la rigidité inflexible dans l’ordre du public», qu’on arrive à la stabilité sociopolitique par le biais d’une Vraie réconciliation et à la paix sociale. En clair, aucun élu ou aucun groupe d’élus, ou aucun homme politique, ou aucun groupe d’hommes politiques, ne peut faire le bonheur d’un peuple malgré lui. Le peuple est seul maitre de son destin. C’est pourquoi le peuple doit rester l’ultime détenteur du pouvoir d’état.
On ne le dira jamais assez, la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, qui a perdu ses repères sociétaux, a besoin d’union synergique, de sauvetage national, de réglage politique systémique consensuel et paisible. Oui, qu’on se le tient pour dit ; En côte d’ivoire, rien ne se fera dans la division, rien ne sera réussi dans la division, rien ne changera dans la division. C’est en luttant tous ensemble pour l’intérêt supérieur de la nation et pour l’intérêt général, que nous réussirons à restaurer la paix sociopolitique dans notre pays. Et à restructurer le système de fonctionnement étatique du pouvoir d’état à cette fin. Et ensuite a forgé un état républicain de droit, une stabilité sociopolitique et une paix sociale pérenne en côte d’ivoire. D’où l’ivoirien serait libre de faire la politique et aller dormir chez lui sans craindre d’être zigouillé ou d’être embastillé, sinon être arrêté. Et pour que les hommes politiques ivoiriens partent à des élections démocratiques propres comme les sportifs vont aux compétitions sportives, avec la certitude qu’ils peuvent gagner, comme ils peuvent perdre. Dans une côte d’ivoire réconciliée, stable, cohérente, harmonieuse, paisible, d’exaltation de la diversité solidaire. Une côte d’ivoire des différences acceptée réciproquement par tous.
*-Une route non-balisée risque de ne mener nulle part, un dirigeant doit refaire sans cesse sa preuve de légitimité.
Donc, une côte d’ivoire des variances légitimes, des insoumissions politico-systémiques et de désobéissances légales obligées par le devoir citoyen et qui admet l’hétérogénéité des sous cultures nationales. Une côte d’ivoire largement ouverte sur le monde libre et concurrentiel. La vraie réconciliation nationale et la paix sociopolitique sont à ce prix pour la côte d’ivoire, avons-nous dit. Retenons que, les ivoiriens réunis, tous ensembles unis, solidaire, en mettant en commun savoir, force, volonté, discussions, idées, pensées et actions, peuvent réussir l’impossible, l’impensable, et n’importe quel miracle. Oui, en abandonnant les égos, en ne retenant que la côte d’ivoire, ils peuvent les « ivoiriens », relever n’importe quel défi sociopolitique. Il faut le ressasser, parce que, c’est une constance d’intérêt public, une nécessité d’intérêt général. Oui, rien ne se fera en côte d’ivoire sans réconciliation, sans pardon dans la reconnaissance mutuelle de tous les ivoiriens, rien ne se fera sans une contrition de tous les acteurs politiques, des torts causé au pays et aux citoyens, dans une société qui admette hétérogénéité des sous cultures nationales unies, sans différenciation. Oui, un dialogue triptyque ou un duo d’entente au sommet de la société ne suffiront pas. Il faut une grande ouverture de la boite noire étatique aux regards de la totalité sociale souveraine, et l’exposé aux jugements citoyens, pour aller vers la porte de sortie définitive, d’une crise sociopolitique sciemment entretenue.
Qu’on se le tient ici pour dit: Nous à la légitimité citoyenne-citoyen et républicain social, « LC-CRS, fière de notre socle existentiel Muable», mais pour le moment, un inlassable mouvement d’utilité citoyenne, qui cherche avec le peuple les moyens idoine et légal, de se faire un chemin stable et paisible, dans un béton de mensonges politique et de mensonges d’états, d’habilité politicienne, pour arriver, pour nous, à l’ouvertures des droits civiles et politiques. Comme dit, notre éclectisme impassible soutient notre foi inébranlable en un avenir meilleur de notre position politico-idéologique dans l’arène politique ivoirienne. Si la vérité doit vaincre un jour le mensonge nébuleux, malgré le sempiternel chaos social. Disons-nous donc, que nous ne sommes contre aucune personne physique, ni pour aucune personne physique. Ni poste, ni titre, ni rémunération pécuniaire de cupidité aveugle, ni gonflement mégalomaniaque et dégonflement sado-pervers. Nous sommes seulement à la recherche inlassable parfois ingrate de la paix sociopolitiques, sans laquelle aucun progrès et aucun développement ne sont possibles. Donc, pour nous tous pour le peuple de côte d’ivoire, tous pour la nation souveraine, tous pour la vie sociale paisible, tous pour les droits inaliénables, tous pour les libertés individuelles citoyennes, tous pour la vraie réconciliation nationale, tous pour le consensus politique et tous pour les élections réellement démocratique, parce que rassurant tout le monde.
En convenons-en, une route non-balisée risque de ne mener nulle part, c’est pourquoi, le gouvernant doit refaire sans cesse sa preuve de légitimité. Il convient de se répéter ici encore, nous ne sommes pas les saints-des-saints ou des papes à Rome. Non ! Mais la personne physique de l’homme politique ou du gouvernant ne nous intéresse pas, encore moins son argent ou son bien matériel. Seule sa politique, ses idées, ses actions, qui décident de notre vie et de la vie de tous et de la vie de chacun, nous intéressent et nous préoccupent. C’est pourquoi, nous sommes peinés, agacés, sinon attristés, de voir et d’entendre officiellement la côte d’ivoire, cette expérience de consensus politique, de dialogue national à toutes épreuves et de paix sociale, cette culture atavique de l’entraide Africaine. Cette culture de non-violence, d’harmonie communautaire et d’union nationale à toute épreuve. Cette expérience de l’exaltation de la diversité solidaire et cette civilisation atavique de chez nous en côte d’ivoire, qui veut qu’on se parle pour obvier les crises de la société commune, donc d’acceptation réciproque des différences sociopolitiques et de solidarité agissante dans l’union cohérente de tous. Cette politique sociale assise sur la reconnaissance de l’autre dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous, c’est à dire reconnaitre l’autre comme différent et l’admettre comme son égal en droit et en devoir, Initié par FELIX HOUPHOUET BOIGNY, Hélas ! De voir donc, aujourd’hui, la côte d’ivoire de FÉLIX HOUPHOUET BOIGNY, incapable de remonter des profondeurs abyssale de la surface d’une crise sociopolitique, «remplie de larmes citoyen, que l’on cadavre toujours à occasion », et de devenir ainsi le lieu de toutes les crises sociopolitiques d’Animosités, et le lieu de toutes les politiques chaotiques, de toutes les crises sociales d’animosité de la planète. Nous sommes peinés, agacés, sinon attristés. Sur ceux, nous avons Kouma dans la suite des voix politiques plus coutumières». Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.
*- UN KOUMA « chronique » de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.