Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
20 septembre 2022 2 20 /09 /septembre /2022 02:39
Lepetitfils. Des putschistes morpions politicards carriéristes, relayeurs de leurs propres Ambitions Populistes qui aveuglent les peuples Africains, ainsi dérouté de l’essentiel sous couvertures du panafricanisme, sont devenus inutiles. Oui, a défaut d’un État fédéral d’Afrique, c’est d’une évidence absolue que, l’éternel victimisation, les propagandes de martyrisation, l’esprit l’infériorité, transportée par un populisme de diversions, ne serviront pas l’Afrique. Notre Afrique, le destin commun des peuples Africains, ne se décrocherait pas à la remorque du monde.

Lepetitfils. Des putschistes morpions politicards carriéristes, relayeurs de leurs propres Ambitions Populistes qui aveuglent les peuples Africains, ainsi dérouté de l’essentiel sous couvertures du panafricanisme, sont devenus inutiles. Oui, a défaut d’un État fédéral d’Afrique, c’est d’une évidence absolue que, l’éternel victimisation, les propagandes de martyrisation, l’esprit l’infériorité, transportée par un populisme de diversions, ne serviront pas l’Afrique. Notre Afrique, le destin commun des peuples Africains, ne se décrocherait pas à la remorque du monde.

*- RETRO-Chronique « Kouma », les putschistes comme model d’émancipation Africaine ? Non !!!

Les putschistes sont une Honte pour l’Afrique, ainsi  jugé immature a appliqué les règles de droits, de démocraties. Oui, les coups d’états sont un déshonneur pour le peuple Africain réduit à l’état puéril, ainsi certifié « Bougnoul » à la face du monde. Oui, après les Sergents faiseurs de manche-courts, après le printemps des Capitaines expéditives et mégalomanes, nous voilà dans la loge ubuesque des Colonel robotisés, et tout cela présage pour demain, l’arrivé des «Godassiers» généraux logiquement brutes avec aucune possibilité de raffinement, qui chercheront cireurs. Pauvre Afrique, hélas ! Qui ne peut transcender aujourd’hui le mode de conquête du pouvoir d’hier. Désolé ! Oui, une meute aride de soldats carriéristes qui se lève un Matin, pour donner un coup d’arrêt inacceptable, injustifiable et irrecevable au système de  l’état républicain de droit, au processus démocratique, en s’aliénant les normes de régulations sociopolitiques de la totalité sociale, est plus assujettissant que le colonialisme décrié. Oui, des chassons panafricanistes exutoire ne peuvent solder cette tare morale. Donc, il est question de nous juger d’abord, nous même, pour le relèvement de l’Afrique martyre le relèvement de notre destin commun à la remorque du monde. Ou bien l’Afrique, fait le choix irrévocable de la civilisation, qui obliger la dévolution du pouvoir d’état par des élections, libres, transparentes, justes et ouvertes, ou bien nous demeurons tous Africains dans la barbarie sanguinaire des coups d’états. Qui, quelle que soit leurs natures relèvent du choix du désordre et non de l’option exigeante pour la civilisation. Des coups d’états, souvent l’œuvre de fous furieux sans projets, ni perspectives, des aventuriers pathologiques, qui conduisent les pays dans l’impasse générateur de chaos sempiternels. Et soutenus en cela par les embrouillaminis de leurs soutiens politico-étatiques extérieurs et par des courtisans aveuglés par les profits faciles. L’Afrique ne sait plus que faire de la loi d’effraction armée et de gouvernances des fusils sur la tempe des peuples.

Oui, l’Afrique, notre Afrique, reste fermement attaché aux modes de conquêtes du pouvoir ou d’accessions au pouvoir, calqués sur les pratiques des pouvoirs coutumiers ancestraux, fondés sur les forces des fusils. J’étais vaincu avec les armes, c’est tout, et c’est un antagonisme entre « Garçons », dans la jungle etc. pourvu que le colonisateur ou l’occident reste l’ennemi juré des gouvernants. Surtout pour l’Afrique occidentale Française, tout est et reste la faute de la France, pour rester dans les grâces des populations populistes et antiélitiste. Or la realpolitik veut que l’Africain, n’est aucune crainte, aucune peur, et aucune répugnance face à ses colonisateurs, sans lesquels un pays Africain n’ira nulle part, sans le respect scrupuleux des valeurs humaines et civilisatrices de sa puissance colonisatrice, et d’ancré ces valeurs dans les faits de sa vie économico-sociopolitique. Oui, toujours au lieu du populisme propagandiste anti-colonisateur, l’Afrique doit chercher, dans la saine appréciation des réalités du moment, des nouveaux moyens d’approches, de nouvelles attaches, sans faux-fuyant politicienne de paravent justificatif aux tares ou incompétences, la médiocrité et la démagogique de diversion, pour rediscuter les liens socio-politico-économiques, relationnels, interétatiques, avec les ex-colonisateurs sans nombrilisme politique.

Oui, les discours anticolonial, antioccidental, anti-impérialiste, qui étaient admis à la veille des indépendances Africaines comme prétention légitime, sont démodés, dépassés et contre productifs aujourd’hui, ou le monde ouvert à plutôt besoin de compétition loyale. Donc, l’Afrique à plutôt besoin de frottement, de compétition, et de confrontation, avec tous les peuples du monde sur la planète terre commune. Se faisant, se départir de la politique de recherche éperdue de nouvelle puissance tutélaire à tout bout de champs. Redisons-le: «nos sportifs sont des grands sportifs reconnus par tout, parce qu’ils ont joué avec les meilleurs de l’Occident et bénéficié de la technique occidentale des sports, ceci est valable pour toutes les relations humaines ». Donc, l’Afrique n’a pas besoin d’auto-enfermement victimaire et de l’auto-cadenassage destructrice. L’Africain doit plutôt refuser, d’être des valets «morpions», par lequel Occident vient pomper nos ressources souveraines. Ou d’être imposé à son peuple souverain dans le feu et dans le sang au prix d’un soutien monnayable en billets de banques, ou au terme d’un surendettement éhonté. Donc, il est question pour l’Afrique de se départir de la victimisation pleurnicharde, de la martyrisation soporifique, de l’esprit d’infériorité, et sans complexité, sans complaisance avec notre identité historique atavique d’ex-colonisé, pour aller à la rencontre des peuples, dans le monde concurrentiel et compétitif. La recherche éperdue de tutelle exprime, l’état d’âme puéril d’une société.

Les coups d’états militaires expriment l’immaturité des peuples gouvernés par les armes matérielles « fusils ». Oui, aujourd’hui avec la résurgence des coups d’état expéditive et lapidaire, l’Afrique noire, notre Afrique, est face à la difficile émergence d’une élite dirigeante Africaine vrai gyroscope, capable de défendre les intérêts du continent par une option politique d’apprentissage, saine et claire, adaptée aux besoins des pays émergents. Donc l’Afrique crétinisée, est tiraillée entre les puissances nouvelles, non-colonisatrices et face aux voracités de toutes sortes. Oui, l’Afrique n’a pas besoin de rupture solitaire, brutale, irréfléchie et systématique avec les ex-colonisateurs. L’Afrique en retard, incontestablement a la remorque des puissances du monde, doit vouloir tout à la fois, Renégocier les liens économiques et politiques avec les ex-colonisateurs, sans pour autant mettre ceux-ci, «et leurs machine infernale de l’intelligentsia occidentale» en procès permanent, donc sur son dos. Donc, Consensus, Oui, mais rupture brutale politico-économique et/ou monétaire, Non ! Non ! Et non !

*- Propagandes populistes des antis ex-colonies, n’est rien d’autre que la diversion politicienne

Le populisme de diversion anti ex-colonies, colorée au Blanc en Afrique noire, Non! Ceci est conformément à la politique de négociation des indépendances des pères fondateurs. Oui, rien que la Diversion, un exutoire à la réalité gênante, dans une politique de l’Autriche « faire sciemment fi d’ignorer la réalité en face » et s’en donner à des coups d’états carriéristes, dans les baffons politiciennes avalisés. La guinée paye toujours,  le Non ! Solitaire, Suicidaire, Propagandiste et Inutile de Sékou Touré, face à un mastodonte mondial de son temps, le GL De gaulle « Hors-gabarit ». Ici, la realpolitik a lamentablement manqué au leader guinéen des indépendances. La saine appréciation des réalités du moment a raté le rendez-vous de 1958 en Guinée. Tout comme le « Soviet » malien Modibo Keita, qui s’est tourné vers l’URSS, en moins de 10 Ans d’indépendance, avec la déchirure et la création de sa monnaie Malienne détaché du franc CFA, Français. Et le pire pour le Mali arriva dans la nuit du 18 au 19 novembre 1968, un putsch prévisible, le premier au Mali. Les putschistes avaient des revendications précises. Ils demandaient a Modibo Keita de renoncé au socialisme «version Russe», qu’il cultivait jusqu’à l’extrême et prônait depuis l’indépendance, le Président Modibo Keita donna une réponse  négative. Et la boucle était bouclée, et tout comme aujourd’hui dans ce même Mali, avec une nouvelle option tutélaire de la même Russie, les épaulettes et uniformes militaires, ont remplacés la souveraineté absolue du peuple, supplanté les droits fondamentaux, les libertés publiques et individuelles, et les règles démocratiques universelles. Pour se confiné dans «Marfâ» fusils.

Au surplus, que dire des prétentions étouffées de tant d’autres: le jamaïcain  Marcus Garvey qui rêvait d'une Afrique socialiste forte, solidaire et prospère, le Ghanéen Kwame Nkrumah et son idéologie politique du consciencisme socialiste et panafricaniste, qu’est une adaptation des principes socialistes aux données culturelles africaines, le panarabe l’Egyptien Gamal Abdel Nasser, qui adopta des mesures socialistes dans son pays, le panafricaniste de notoriété mondiale le Congolais Patrice Émery Lumumba, lui n'aura fait qu'un passage furtif sur le devant de la scène, et pour être litote citons les :  Barthélémy Boganda, Gorge Padmore, Jomo Kenyatta. Oui, il est question pour l’Afrique, de tirer des leçons de la vie sociopolitique de ces illustres prédécesseurs «soviets. C’est de cela qu’il s’agit aujourd’hui. Oui, plus larges, que ceux dessus cités, ils sont légions les dirigeants Africains qui a l’aube des indépendances, soucieux du devenir de leurs peuples sont tombés lamentablement dans le piège hermétique de la recherche éperdue de nouvelles puissances tutélaires et dans la diversion populiste de l’anti-ex colonisateurs. Or aucune puissance tutélaire nouvelle n’apportera quoi que ce soit à un pays Africain plus que sa puissance ex-colonisatrice. L’Afrique doit respecter et même adorer ses héros, mais en tenant compte de la realpolitik qui impose la saine appréciation des réalités socio-politico-économiques du moment, pour se départir de la victimisation, de la martyrisation, et de l’esprit d’infériorité.

Oui, l’Afrique, notre Afrique, doit oser être lui-même, en conjuguant tous les registres d’émancipation des peuples solidaires sans pleurnichement, sans rechercher a tout bout de champ des paravents justificatifs des incompétences politiques et des incohérences systémiques, ou en s’accrochant, en s’agrippant aux noms des ex-colonisateurs, coopérants de bonne foi. Et les bateaux du progrès sociopolitique reprendront la voie royale, universelle vers la lumière du développement économique et développemental destinée à rendre la raison à la nécessité populaire, dans la stabilité, sans qu’un seul coup d’état ne soit accrédité comme mode d’accession légal au pouvoir d’état, et sans qu’une goutte de sang ne soit versée. Cela dans ouverture totale sur le monde « colonisateur » sans rancune, et sans qu’un seul putsch, se voit caressé dans le sens du poil par les organisations. Oui, les Africains généralement aveuglé par la diversion populiste, des Gourous anti-Français, véhiculée par des populistes Africains version loufoque et extravagant, ne voient pas la carence de droit des pouvoir en Afrique, mais uniquement la main de l’ex-colonisateur. Surtout la France, comme fonds de commerce de toutes les insuffisances politiques en Afrique francophone. Oui tout est la faute du colonisateur, est l’outil idéal, tout trouvé, ou controuvé, au service de la diversion manipulatrice des peuples martyrisés, un exutoire prépayé par les douleurs antécédentes, qui occultent la  médiocrité criante des hommes politiques Africains, face aux peuples réduit à la crédulité.

*- La propagande anti ex-colonie offre des soutiens aux pouvoirs illégaux ou issus de coups d’états carriéristes.

« Oui, il y a une chose et son contraire dans les propagandes populiste anti ex-colonisateurs des politiques Africains, on s’arc-boute aux faits de la colonisation pourtant avérée civilisatrice aux yeux de l’universalisme, ou tout n’a pas été mauvais, et en même temps, on se plait a adorer religieusement, à soutenir fermement, l’exercice des pouvoir issus des coups d’états ubuesques, et les pouvoirs dictatoriaux, autocratiques, autoritaires et assujettissants de potentats, calqués sur la pratiques des pouvoirs coutumiers ancestraux, fondés sur la forces brutes des fusils. Oui, n’ignorons pas, le vieux principe qui veut que: Pour voir une société, pour connaitre une société, pour dire une société, pour rencontrer une société, pour raconter une société, pour peser une société, il n’est pas, en droit, d’autre instrument plus que la constitution, norme de régulations sociales par excellence, sans le respect de laquelle aucune paix durable n’est possible. Elle est l’acte fondateur de l’état de droit, et le substrat de la société, en ce qu’elle énonce les principes, autour desquels se construit le vivre paisible en commun de partage d’une société ; elle est un acte organisateur de la totalité sociale souveraine, en ce qu’elle définit les mécanismes du gouvernement politique et son mode d’accession au pouvoir d’état; elle est un acte scientifique pensé, écrit et technicisé dans la forme voulu par la totalité sociale souveraine, en ce qu’elle marque, le consensus sociopolitique républicain, autour des principes et modes d’organisation politique de la société. Ainsi, elle échappe au contrôle des groupuscules d’hommes mal intentionné, et se situe au-dessus de tous les pouvoirs d’état, en ce qu’elle enfante et fait la légalité et la légitimité des dirigeants du pouvoir d’état. Une telle norme Suprême, on la respecte strictement, jusqu’à ce qu’on arrive à la changer par la souveraineté du peuple souverain absolu légiférant. Et cas de violation de cette norme Suprême quel que soit le mode, la société fonce dans la jungle, qui est toujours totalitaire, les prédateurs y règnent en maitre».

Donc, l’Afrique noire, notre Afrique, le destin commun des peuples Africains, ne s’en sortira que par le changement évolutif de mentalités des politiques dirigeants d’état, ou en quête de pouvoir d’état. Ou les normes juridiques de régulations sociales acceptées par tous, seraient la seule source légale de l’acquisition du pouvoir d’état. Et elle s’en sortira l’Afrique, notre Afrique, le destin commun des peuples Africains, que par de nouvelles conceptions politiques anticipatives des perspectives d’Avenir dans le temps, d’une société humaine, moniste, droit-de-l'hommiste, ou l’être Humain en général, serait la centralité absolue de toutes les actions sociopolitiques, et de toutes les œuvres développementales. Oui, l’Afrique, notre Afrique, doit retrouver la culture juridique universelle d’état de droit. D’où ce sont les lois qui déterminent les modes de transmission et d'exercice des différents pouvoirs étatiques. Si l’Afrique noire, notre Afrique, le destin commun des peuples Africains, doit s’en sortir, la politique spécifique non-contraignante et les pouvoir a adhésion facultative après les effractions, doivent concéder la place, oui toute la place, aux règles universelles contraignantes, communes à tous, acceptées dans toute sa rigueur et dans tout son rigorisme de principes universels d’état de droit Laïc. Ainsi les crises d’intérêts perdront une partie de ses racines.

L’anticolonialisme hermétique ne servira jamais l’Afrique, l’antagonisme des puissances étrangères aux intérêts opposés, en Afrique comme théâtre d’opération, ne servira pas notre destin commun l’Afrique, une quelconque tutelle étrangère en remplacement des ex-colonisateurs « Russie ou Chine » comme dossier pour un pouvoir d’état illégal, soutenu par sa tutelle ou imposé armes aux-poings, ne servira pas l’Afrique noire. Oui,  l’Afrique noire, notre Afrique, a besoin de stabilité sociopolitique, dédouanée de toute emprise politique ou religieuse. Elle a besoin de paix pérenne dans toute l’assiette territoriale continentale Africaine, avec l’acceptation des différences quelles qu’elles soient, indépendamment des croyances et des Castes. Ainsi le développement trouverait son terreau fertile de progrès avec l’être Humain au centre de tout. L’anticolonialisme primaire irréfléchi, de façon exaltée, fiévreux, imprudent, frénétique, et le panafricanisme hermétique, irréductible, antagoniste, ne payent plus dans les réelles luttes démocratiques.  Oui en Afrique, tant que la lutte des hommes politiques Africains, pour les droits inaliénables des peuples, pour les libertés fondamentales, pour les développements économiques et sociaux, pour la démocratie en Afrique, ne se détacherait pas «des propagandes anti ex-colonies» des combats politiques nationaux, de la lutte démocratique des nations Africaines, contre l’arbitraire des pouvoirs illégaux, issus le plus souvent de coups d’états carriéristes et arrivistes, ou contre un pouvoir devenu sanguinaire, dans les pays Africains, l’Afrique noire, notre Afrique, le destin commun des peuples Africains, armerait d’avantage, d’une force d’appoint supplémentaire, et d’une  force d’acier, les pouvoirs illégaux issus de coups d’états, ou les pouvoirs arbitraires dans les pays. Les propagandes anti ex-colonies, endurcis d’avantage de soutiens extérieurs les régimes autoritaires attrape-tout.

*- L’Afrique, le destin commun des peuples Africains, a besoin de compétition pour se peser à l’aune des réalités.

Oui, en conséquence, les pouvoirs illégaux et sanguinaires Africains, qui s’efforceront de rassurer politiquement, économiquement et diplomatiquement les puissances extérieurs, dénoncées au terme des propagandes populistes de diversions, et de manipulations, dans des discours paravent justificatifs, fonds de commerce politique de pleurnichards, et a toutes les carences et incompétences, pour leurrer et tromper les peuples Africains de la novatrice voie vers l’essentiel sociétal du moment. Oui, les colonisateurs ne sont pas les problèmes de l’Afrique, Non ! Mais le grand problème pour l’Afrique, pire que la colonisation est le mode d’acquisition des pouvoir d’état en Afrique, et son exercice effrénée, dédouané souvent de tous droits et au mépris de règles universelles, sinon en dépit des normes de régulations sociopolitiques librement acceptées par la totalité sociale souveraine consentante. Notre Afrique a devoir de compétition, n’a pas besoin de rupture brutale et systématique avec nos ex-colonisateurs. L’Afrique doit oser être et oser rester elle-même dans le concert des nations civilisées en compétition. Oui, un pays Africains peut, aujourd’hui  bien faire fausse route un moment, avec une nouvelle puissance tutélaire, a l’image de certains de nos pères des indépendances, qui étaient soucieux des libertés Africaines et de l’égalité entre les peuples, mais, hélas ! La note serait très, très, très, salée demains au bout du rouleau, a l’heure des décomptes.

Puisqu’il est d’une évidence absolue, qu’impose la realpolitik, la saine appréciation politique du moment présent,  qu’un pays Africain n’ira nulle part, sans le respect scrupuleux des valeurs humaines de sa puissance colonisatrice, ancrée dans les faits économico-sociopolitiques. Donc, un pays Africain  n’ira nulle part, sans la compagnie loyale de son ex-colonisateur, et faisant chemin ensemble, dans le respect strict des intérêts socio-politico-économiques. Oui, sauf à être capable pour l’Afrique unie de créer un État fédéral, chapeautés par un pouvoir exécutif centrales, qui coordonne les relations interétatiques d’Afrique, entre les gouverneurs étatiques, qui serait salvateur pour l’Afrique et dispensatrice des relations privilégiée avec un seul ex-colonisateur, qui sont nombres. Parce qu’un État fédéral permettrait la progressive unification des différents combats socio-politico-économiques Africaines, pour l’Afrique, par l’Afrique, pour la Vie Africaine, pour l’homme, pour tout homme, pour les droits inaliénables et pour la liberté dans la dignité Africaine. Une nouvelle politique Africaniste par l’Afrique et pour l’Afrique, peut conduire progressivement à cet État fédéral salvateur, chapeautés par un pouvoir exécutif central, qui coordonne les relations interétatiques Africaines, entre les gouverneurs étatiques Africains. Et il y a une ébauche nouvelle à la corde de certains vieux briscards de la politique Africaine de renommé Mondiale, porteurs d’alternatives et profs d’idées.

Mais en revanche sont devenus inutiles, de simples politicards carriéristes relayeurs de leurs propres Ambitions Populistes qui aveuglent les peuples souverains Africains dérouté de l’essentiel sous couvertures du panafricanisme. Oui, a défaut d’un État fédéral d’Afrique, il est d’une évidence absolue que, l’éternel victimisation, les propagandes de martyrisation, l’esprit l’infériorité, transportée par un populisme de diversions malsaines ne serviront pas l’Afrique noire. Notre Afrique, le destin commun des peuples Africains, ne se décrocherait pas à la remorque du monde universel par la cherche effrénée de nouvelles puissances tutélaire ou réduit à l’état d’éternel supporteur vacillant et oscillant entre les puissances tutélaires. L’Afrique a besoin de compétition pour se peser à la bascule du monde concurrentiel, et pour se jauger à l’aune des réalités socio-politico-économiques.*-  (Parole de la légitimité citoyenne-républicain social « LC-CRS », mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste). Sur ceux citoyens ! Nous avons Kouma pour l’Afrique sans démagogie politicienne. Que la nature protège l’Afrique notre destin commun. L’AFRIQUE !

*- UN KOUMA « chronique » de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

Partager cet article
Repost0

commentaires

Présentation

  • : Le blog de Lepetitfils Da Candy
  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
  • Contact

Profil

  • dacandylepetitfils
  • DA CANDY LEPETITFILS:
Juriste (publiciste et internationaliste) militant des droits de l'homme et des libertés publiques et leader d'un mouvement politique d'utilité citoyenne en côte d'ivoire. En exil forcé...
  • DA CANDY LEPETITFILS: Juriste (publiciste et internationaliste) militant des droits de l'homme et des libertés publiques et leader d'un mouvement politique d'utilité citoyenne en côte d'ivoire. En exil forcé...

Texte Libre

Recherche

Catégories

Liens