Lepetitfils : Aujourd’hui, la société ivoirienne a totalement perdu ses repères sociétaux, ses mœurs ataviques, dans un pays « la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny », qui offre plus, le visage d’un pays enviable dans le concert des nations, avec son incapacité a remonté à la surface des profondeurs politiciennes d’une abyssale crise sociopolitique, avec l’impossibilité d’une vraie réconciliation nationale couronnée par une Amnistie générale référendaire, est-elle encore un état républicain de droit ou la souveraineté absolue réside dans le peuple ?
*- Kouma chronique : La nature de la société altérer, les mœurs sociétales déformé et l’existence souveraine en péril.
Il en va de la médicine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Depuis le 24 décembre 1999, « 22 Ans », incapable de sortir d’une crise sociopolitique funeste et mortifère, incapable de tourner une page marquée du sceaux indélébile de sang Humain versé et désormais dérouter et conduit sur la voie déviationniste d’une nouvelle ploutocratie rigide, la côte d’ivoire est devenue une société de désordre a ciel ouverte. Ou la morale sociétale Atavique est en congé, les mœurs dépravées, l'honnêteté devenue un crime. Or, la sécurité et la crédibilité que l'honnêteté génère, contribuent à construire une société stable, paisible, harmonieuse, qui valorise la vérité, sans tricherie ni fraude, dans le respect des valeurs humaine et des mœurs ataviques. Oui, un grand Bazar s’est installé dans la société ivoirienne comme règle de vie, une grande foire aux larrons s’est ouverte sous nos yeux sur la terre de nos ancêtres. Une vie sociale de sectarisme nébuleux, est née sous nos tropiques, une réelle crise identitaire sociologique pointe à l’horizon et son nuage est trop épais. Une mutation sociale d’irruption imprévue, à engendrer la création/formation, des compartiments d’intérêts personnels et des murs diviseurs dans la société. Une tendance qui affaiblit la cohésion sociale de la nation une et indivisible, l’état républicain de droit, et une société démocratique. Ce qui enfante les griefs sociétaux quotidiennement et les divisions socio-inter-communautaires. Ce qui est par définition, depuis la nuit des temps manichéiste, iconoclaste, factieuse, nihiliste, chaotique, antisocial, antihumain, anti-empathique, anti-altérité, éphémère, primaire, anomique, pervers, sans avenir, sans mémoire et porteur des germes des crises sociopolitiques de toutes sortes, évoluant sur une voie avérée de la dégénérescent sociale. C’est pourquoi, désormais, sont devenus valeurs sociopolitiques, le grand désordre, le tout permis, la concussion, le copinage, l’argent du cocaïne n’a plus d’odeur dans la vie, et la dépravation des mœurs sociétales à acquit sa notoriété, écrit en lettre persistante sur une pancarte, reflet d’une société dénaturée. Les Analyses scientifiques, expertes, doctes et esthètes, sont obstruées par l’antagonisme des propagandes intéressées, monnayables, et par des éloges populistes du banditisme politicard.
Par la volonté d’une nouvelle hégémonie ploutocratique qui ne prépare pas l’avenir, la principale valeur humaine l’intellect, est mise KO par la force synergique conjuguée de coups porté par le dessous de ceintures. Des troubles politiques qui dégénèrent constamment en affrontements intercommunautaires, précisément dans le sud-est et le centre-ouest. Pour une seule élection présidentielle celle de 2020, qui devait être logiquement une fête nationale à tourner à une nouvelle catastrophe nationale pour la côte d’ivoire. Une danse maléfique et satanique sur les corps de plus de 150 personnes Morts zigouillés et plus de 700 blessés, avant-scrutin, jour-du-vote et après élections, près de 1000 personnes interpellées, près 200 inculpées, près de la centaine écrouées. Avec une cerise noire-rouge, inhumaine sur le gâteau, est une tête humaine devenue ballon de foot de défoulement, d’enjaillement électoraux, qui enregistrent régulièrement 80% à 85% de taux d’abstention à des élections de façades. Oui, pour la côte d’ivoire, le rêve d’une paix durable est en péril. Retenons que: Les 2 têtes de la même pirogue la grande et la petite converge vers la même Rive. Oui, il y a œuvre utile régulatrice à faire pour la côte d’ivoire, qui exige l’abandon momentané de soi, la subordination des intérêts et des blessures individuelles ou personnelles du moment. L’arbre à commencer cacher la forêt ivoire dans la mémoire collective ivoirienne. Mais quel que soit l’épaisseur de l’écorce de l’arbre ou le volume du tronc d’Arbre, ils demeurent chacun une partie intégrante de l’autre pour une vie unique où chacun est condamné a porté sa part de fardeau existentielle, puisque, l’un n’aura jamais d’existence en l’absence de l’autre. C’est un corps unique. Dès lors, un homme public ou politique ne peut se conduire comme le commun des mortels.
Ainsi pour l’ordre public, l’intérêt général, la stabilité sociopolitique, tant que ces essentiel sociétaux sont en jeu, «la réconciliation nationale couronnée par une Amnistie générale référendaire», homme public ou politique, doit jouer jusqu’à la limite de l’Humainement admissible, pour gagner le jeu d’intérêt général, d’ordre public et de stabilité politique. Et ici, c’est de l’avenir du Corps social, et de sa solidification qu’il s’agit, quand le peuple légifère par une Amnistie générale référendaire post-guerre ou post-crise, consensuelle-ment consentie, Avalisée et Validée, par lui peuple souverain. «Notons que l’Amnistie générale référendaire tient en l’état les condamnations à la perpétuité et a 20 ans de détention, prison». Ensuite tous ensembles consentants, a forgé au mépris et en dépit des procurations électives, un état de droit, une stabilité sociopolitique et une paix sociale pérenne. Disons-le, « La paix est une valeur qui recherche des formes supérieures de coexistence. C'est un idéal qui évite l'hostilité et la violence, qui génèrent des conflits inutiles ». « D’où le Bidon de Bandji-Blanc atavique côtoie, le Céri-Dagâ non moins atavique et se congratulent, dans le respect mutuel, comme deux camarade d’une citoyenneté commune». Donc ici, le droit de tout citoyen commence là où s’arrête le droit des autres citoyens. Donc, question pour nous, de s’allié et se rallié pour l'intérêt général d'abord et rassembler au-delà de ses appartenances idéologico-politiques. Et taire nos querelles personnelles, arrêter nos divisions internes, placarder nos brouilles de leadership, pour montrer notre capacité à faire bouger les lignes de la vie sociopolitique dans notre pays, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny
La côte d’ivoire coule, le Navire ivoire tangue sur son substrat légal, vacille du haut de son piédestal, oscille sur ses base souveraine au terme d’une crise sciemment entretenue et devenue statique, la côte d’ivoire roule vers l’Abime, la côte d’ivoire à petit Feu devient un pays de Merde. Et les conséquences sont terrifiantes: l’Humanisme a pris congé de son terreau fertile d’autre fois. Dans ce désordre, les discours creux « MÖGÖ-FÄGÄ-WOUYÄ » déconnecté de la réalité économico-sociopolitique ne rassurent plus personne. Bon ! Aujourd’hui, ceux qui ont le droit légal ou d’attribution illégale, d’émarger dans les caisses publiques de l’état, sont peut-être pécuniairement les mieux traités de la sous-région Ouest Africaine, mais vivent-ils pour autant mieux que, leurs homologues de la sous-région Ouest Africaine ? Puisqu’ici le coût de la vie dispose du revenu mensuel de la composante sociale. Bon ! Grâce par-ci et décret d’Amnistie par-là, le peuple avec la LC-CRS, redoutent le syndrome des généraux Argentins qui s’étaient Auto-exonérés de poursuites par des lois d’Amnistie : Et malgré toutes ces lois scélérates d’autoamnistie proclamées par les putschistes, «point final» et «désobéissance due» des années 86 et 87, qui interdisaient toute plainte contre les militaires et services de sécurité de la part des victimes ou familles de victimes, n’ont pas résistés a la volonté souveraine du peuple argentin, qui détient l’unique, l’ultime et absolue, habilitation de légiféré en la matière. D’où Patatras ! La loi «point final» est devenue par la volonté du peuple, «point de départ des poursuites» et la loi « désobéissance due » est devenue « désobéissance criminelle », qui a fait pleuvoir des peines, dont le minimum était de 20 à 30 Ans de réclusion criminelle, jusqu’à la perpète incompressible. Il n’a manqué que la corde de pendaison et le couperet de la guillotine. Donc, la politique humaniste de l’imprescriptibilité des crimes contre l’humanité à pour limite la volonté générale exprimée du peuple souverain ultime légiférant au terme d’une Amnistie générale référendaire. Sauf à vouloir troubler l’ordre social, par une ingérence dans les affaires souveraines d’un autre état.
*- Des complaintes habiles de diversion pour éluder les causes de la catastrophe économico-sociopolitique.
Oui, c’est au travers des valeurs humaines qu’il est possible de développer sa relation aux autres, de travailler avec l’autre en coopération, de dialoguer ensemble et de résoudre les conflits. Et l’Amnistie référendaire en est Une. Donc, à ce stade du tocsin d’utilité citoyenne et publique, Citons quelques petits faits, 3 à titre d’exemple ci-dessous. 1)- Bon ! Que dire de cette Complainte à la suite d’une pancarte insolite sur laquelle était inscrit « Garçon qui fait 10 coups, c’est moi » avec un numéro de téléphone à contacter. Et dénonciation de l’expansion manifeste et ostensible du proxénétisme, du racolage ainsi que de nombreuses autres atteintes à la moralité publique, aussi incitation au racolage des personnes en vue d’inviter et provoquer à la débauche, etc. y sont citées. Curieuse et saugrenue politique de la recherche du respect de la dignité humaine et de la moralité publique, dans un système politico-gouvernementale de dépravation de mœurs sociétales. Et paradoxalement cela, de la part des tenants du pouvoir de régulation sociopolitique et avéré artisans d’une politique de désocialisation, « une transformation qui cause une désagrégation sociale». De déculturation «destruction totale d'une culture » D’acculturation «des transformations qui affectent le modèle atavique culturel original» D’Amoralité «étranger à la morale, qui ne prend pas la morale en considération ». D’Immoralité « l'immoralisme nihiliste qui s’oppose à la moralité ». (Ici, l’immoralité consiste à transgresser délibérément les règles de la morale atavique, et l'amoralité consiste à refuser ou nier l'existence d'une morale ancestrale, voire à encourager sa transgression) Donc, la dépravation des mœurs sociétales « Comportement dénaturé, manière de se conduire immorale ». De dénaturation sociétale, « altérer la nature de la société et déformer les mœurs sociétales». Donc une politique gouvernementale de conjugaison de toutes les criminalités.
Oui, le contenu et les faits de la politique étatique et gouvernementale décident du modèle social. Oui, la cause d’un mal non-diagnostiquer rend se mal incurable. Donc, en convenons-en et en consentons-en, ici ! Quand les droits inaliénables et les libertés fondamentales sont violés, la boite noire étatique doit être percée et ouverte au regard du grand public. Oui, parce que, quand la vérité historique est coffrée, de fait et de non-droit, dans la boite noire étatique, toutes les libertés publiques ou individuelles se trouvent mises en danger et s’en suit donc, le chaos social sempiternel, décrit plus haut. Oui, aucun dirigeant au monde n’a remédié aux maux de sa société en restant perché au-dessus du système de l’organisation sociale. Les réalités d’une société se trouvent dans sa profondeur, donc, tout remède qui ne prend sa racine-là est voué à l’échec, et conduit à des crises que cela sous-tend. Or ici, la politique de l’Autriche manifeste, est maitresse du destin sociale et de la nation, quoi de plus normal, face à la dégénérescence sociale en outrance, comment se remettre en cause, quand tous les suiveurs vous renvoient des reflets de mémoire qui continuent à seriner que la laideur de votre politique sociales est la plus belle au monde et en pilonnant sans honte, qu’avec votre tête enfouit dans la boite noire étatique, « je suis le dirigeant », le plus éclairant des dirigeants du monde, alors que vous n’êtes au contact du réel social et de cette dimension du réel qu’est la position versatile et l’avis lunatique du peuple face à ses sorts sociétaux imprévus, qu’à travers les fanfaronnades de griots et suiveurs.
Des griots et des suiveurs, qui se contentent de relayer des éloges et de flatter votre aveuglément politique. Or, vous avez pour mission première, d’anticiper les perspectives d’avenir sociale et sociétale dans le temps, et vous restez redevables des comptes de gestions sociopolitiques aux citoyens, Oui, Malgré une politique avérée de totale dégénérescence sociale, on parle d’un développement socio-économique qui biffe la morale et le citoyen ivoirien du cœur de la politique développementale et qui laisse l’homme au bord de la route du progrès social. Oui, il existe aujourd’hui une grande partie de la population ivoirienne, pour laquelle le développement et le progrès social chanté à tout bout de champ ne s’appliquent pas. Or une bonne politique gouvernemental, une sérieuse politique économique, doit être capable d’offrir une bonne société, dans le respect des mœurs sociétales et d’offrir à tout homme les mêmes possibilités économico-sociopolitique de s’en sortir dans la vie quotidienne, et à tout citoyen ou que l’on soit dans l’assiette territoriale de la côte d’ivoire, cela devrait être garanti pour tous par les gouvernants. Si gouverner reste servir le peuple avec l’anticipation des perspectives d’avenir meilleur dans le temps et l’espace.
2)- D’autres complaintes gouvernementales saugrenues existent, telles que, celle relative aux prisonniers politique: Il n’y a pas de différence entre les militaires emprisonnés outils de fonctionnement du système républicain et étatique et leurs utilisateurs les hommes politiques gouvernants de l’état. Leur lien de rattachement, est une interconnexion inextricable qui permet, le normal bon fonctionnement légal du système républicain étatique. Et les militaires sont un chainon d’une chaine architecturale de fonctionnement systémique étatique de subordination et d’une communication de commandement, qui font d’eux des outils assujettis au service des hommes politiques gouvernants. Les militaires agissant sous commandement des hommes politiques dirigeants d’état, ne commettent pas à titre personnel d’infraction militaire, mais des infractions s’il y a ? Commandée par les dirigeants politiques. Ici tout est politique parce que la tête est politique. Donc traitement politique. « Oui, nous avons déjà dit qu’en droit international pénal, les subordonnés emprisonnés pour les mêmes faits reprochés à leur chef hiérarchique sont automatiquement bénéficiaire des motifs qui ont prévalus à la libération de leurs supérieur hiérarchique au terme d’une procédure judiciaire. Donc à partir du moment que les subordonnés sont individuellement et nommément identifiés, comme subordonnés du chef hiérarchique avec un lien de subordination institutionnelle et systémique qui les unit, l’action pénale qui leurs est reprochés dépend et s’éteint ave celle engager à l’encontre du chef hiérarchique.
*-Et aussi, le UNHCR ne doit retirer le statut juridique a des refugiés ivoiriens sur la base des allégations mensongères de leurs pays d’origines, dont ils ne revendiquent plus la protection, d’où refugiés. Et uniquement appuyé sur la base des institutions coquilles vident, dont l’existence n’a eu aucun impact sur les causes qui ont conduit ces citoyens ivoiriens en exil, ne peuvent donc devenir, une cause qui les retire le droit des droits, codifié par l’humanité comme tel. Hélas, Bon ! Ces institutions ne sont que des paravents justificatifs pour des dirigeants acteurs de la crise du pays d’origine de ces réfugiés assujettis ». Bon ! Le monde a ses machins, c’est de GL Charles de Gaulle.
3)-Complainte, aussi sur le Foncier ivoirien: « Attention nos terres sont bradées. Aujourd’hui, on vend, on achète, la souveraineté nationale risque un jour de nous échapper ». Bravo ! Pour ce réveil pas encore tardif, il est salvateur. Oui, aujourd’hui, la côte d’ivoire est installée dans un désordre indescriptible, qui à finit par imposer l’acculturation sociale, la dénaturation, et tend vers la désocialisation. Le socle existentiel de la société ivoirienne et le substrat culturel et identitaire sont atteint dans leurs racines existentielles de survie, pire l’assiette territoriale est soumise au géométral délibéré de ce qui fait la souveraineté nationale, et de ce qui garantit l’existence socioculturelle des peuples. Aujourd’hui, l’état, personne morale, a plus que jamais, le devoir de protéger les propriétaires coutumiers terriens des spoliations. Donc l’état doit remplir son rôle d’interface, se confiner dans son seul rôle de gestionnaire, et doit se contenter de légiférer sur les modalités de transactions entre personnes privées, détentrices de droits coutumiers immémoriaux. C'est-à-dire, légiféré des lois régissant les « location à durée limitée, co-exploitation contractuelle, sous-exploitation contractuelle, exploitation conditionnelle lucrative contractuelle», fondées sur des contrats qui ne peuvent excéder trois (3) fois, trente-trois (33) ans, qui font au total quatre-vingt-dix-neuf (99) ans.
Donc des contrats dont tout en permettant les réaménagements de ses clauses chaque trente-trois « 33 » ans, délai au terme duquel toutes les clauses restent de rigueurs, doivent proscrire toute possibilité de vente de personnes privées ou morales à personnes privées ou morales. (Notre référents a tous, né en 1905, aujourd’hui aurait 117 Ans, donc se délai ne peut être jugé ni long ni court, il est raisonnables pour la sauvegarde de la souveraineté et l‘existence sociale). Oui, les terres coutumières sont inaliénables, incessibles, incommutables et insaisissables. C’est donc, en droit, une mesure de protection forte qui sied à ce droit atavique. Attribuer aux peuples autochtones ou les propriétaires coutumiers terriens, un véritable droit de propriété sur leurs terres ancestrales, qui est un élément nécessaire, indispensable, de leur patrimoine existentiel, sous le respect strict, du caractère inaliénable, incessible, incommutable et insaisissable de leurs biens est d’intérêt public. Donc, leur reconnaître seulement un droit d’usage des terres. Sinon dans moins d’un siècle 100 Ans, les terres appartiendront aux riches exploitants et aux accapareurs illégaux. Et dès cet instant, un Robert Mugabe dans l’avenir, peut se mettre à raser des quartiers par-ci, plantations par-là, des terres devenues domaines privé par la force de dieu l’argent, et des terres illégalement acquises par là-bas, des forêts classées partout dénaturées. Ce qui est un risque réel pour la côte d’ivoire d’Houphouët Boigny. Et se serait catastrophique pour notre pays, surtout se serait le résultat de l’inconséquence, de l’insouciance et de la légèreté des actions politiques, des actions économiques et des actions sociales de scories passéistes d’aujourd’hui. Oui, l’horizon ivoire est passé du sombre et nuageux, à l’obscurcie et périlleux. Le demain ivoire sent la catastrophe, le péril et le précipice abyssal. Oui, l’identité de la côte d’ivoire de demain doit-elle se réduire à la cartographie des états ? Et l’identité de l’ivoirien de demain doit-elle se réduire uniquement à la pièce d’identité administrative ? Ou doit-elle rester atavique et socioculturelle comme toutes les sociétés non-déracinées du monde réel ? Et le problème d’accaparement du foncier ivoirien, en serait incontestablement l’une des causes principales évidentes.
*- Ils font fi d’ignorer, la déliquescence morale, le délitement des mœurs atavique et la dégénérescence sociale.
Disons pour temporiser ce KOUMA « chronique », qu’aujourd’hui, avec une société ivoirienne qui a totalement perdu ses repères sociétaux, dans un pays « la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny », qui offre plus, le visage d’un pays enviable dans le concert des nations, avec son incapacité a remonté à la surface d’une abyssale crise sociopolitique, par le biais d’une vraie réconciliation nationale couronnée par une Amnistie générale référendaire est-elle encore un état républicain de droit ou la souveraineté réside dans le peuple ? Son fonctionnement socioéconomique désordonné de grand Bazar incontrôlé est-il digne d’un état sérieux ? Son dit développement informel non agencé, dans le tout permis est-il conforme au développement réel graduel des pays développés ? Avec l’escroquerie coupable morale et intellectuelle, à complicité conjuguer à ciel ouvert, le vol des deniers publics et ressources naturelles souveraines, l’inondation du pays de marchant de cocaïne et de drogue de toute sorte, la débauche sexuelle, la dépravation des mœurs sociétales, devenus des activités lucratives et valorisante dans notre pays, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Oui, les agressions délibérées de toutes sortes, verbales, physiques, et morales assurés d’emblée de l’impunité de poursuite. L’effondrement total de l’image de la Côte d’Ivoire dans le monde suite à une crise sociale créé de toute pièce. Ou la fraternité est réduite à celle entre un moine tibétain entre les mains d’un dignitaire Chinois ? Ou la coexiste d’appartenance s’apparente à celle entre un petit thaïlandais sans défense en Chine ? Donc face à une telle catastrophe, au sommet de la hiérarchie de l’état ivoirien, on se fout de qui ? En faisant fi d’ignorer, la déliquescence morale, le délitement des mœurs atavique et la dégénérescence sociale ??? «Sur ceux, nous avons Kouma, Gbê-de-Gbê citoyen»… Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.
*- UN KOUMA « chronique » de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.