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20 août 2022 6 20 /08 /août /2022 16:16
Lepetitfils : Hélas ! La légitimité d’un pouvoir d’état est devenue, multiforme, facultative, d’adhésion extérieure, et en mutation permanente. Elle ne résulte plus donc, de la source unique électorale. C’est ainsi que, la légitimité internationale renvoie à la reconnaissance externe des États communautaires, des régimes et des gouvernements. Donc, il suffit aujourd’hui de truqué et fraudé des élections et de se faire accepter par un nombre important d’états, et on devient internationalement légitime. Quand a la légitimité «des légitimités» elle est ressortissante des urnes

Lepetitfils : Hélas ! La légitimité d’un pouvoir d’état est devenue, multiforme, facultative, d’adhésion extérieure, et en mutation permanente. Elle ne résulte plus donc, de la source unique électorale. C’est ainsi que, la légitimité internationale renvoie à la reconnaissance externe des États communautaires, des régimes et des gouvernements. Donc, il suffit aujourd’hui de truqué et fraudé des élections et de se faire accepter par un nombre important d’états, et on devient internationalement légitime. Quand a la légitimité «des légitimités» elle est ressortissante des urnes

*- Chronique «Kouma» : ON NE PEUT PLUS FAIRE L'ÉCONOMIE DE LA VÉRITÉ. « Môgô-Fâgâ-Wouya-Mâgnî ! »

Face aux éternels jeux de ping-pong, avec des ballons de braises de feux, dans un environnement cynique et sinistré, de pailles imbibées de liquides inflammables au couleur rouge du sang humain, nous avons le devoir de préventions et d’anticipations. Donc, nous disons que cinquième « 5e » du dialogue politique ivoirien ou dixième « 10e »  round à venir, que, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par le consensus, qui enfante des normes impartiales de régulations sociopolitiques et des règles de jeux démocratiques claires et limpides. Donc, nous souscrirons aux principes d’un dialogue national inclusif de la totalité sociale souveraine. Pour nous, il faut donc, le Dialogue politique républicain, inclusif, sincère et le Consensus politique et social, au tour de la chose publique. Il faut la Légalité et la Transparence dans l’ordre du public, et des élections dignes de ce Nom. La réconciliation nationale et la paix sociopolitique, sont à ce prix unique pour la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Oui, c’est une constance indéniable que, toutes organisations sociales, toutes pratiques démocratiques, toutes actions politiques sociétales, toutes actions publiques de gouvernances étatiques et toutes entités composées de multiples communautés humaines, qui ne se fondent pas sur l’absolues acceptations réciproques des différences, sur la reconnaissance mutuelle de l’autres dans son originalité différentielle absolue, sur le respect du consensus sociopolitique, sur le dialogue social et républicain, sur des règles communes élaborées en conscience, librement, impartialement, qui mettent les citoyens sur le même pied d’égalité de droits et de devoirs, sur la même ligne de départ vers toutes les chances sociétales dans l’ordre du public, et sur des normes de régulations sociales acceptées par tous, pour aller vers les principes de représentations sociopolitiques, parce que tous égaux en droits et devoirs, hélas ! Sont vouées à l’échec. Et ne peuvent que conduire les peuples au chaos sempiternel au couleur du sang humain et peuplé de morts, d’orphelins de père et/ou de mère

Donc, pour nous, il est question de refondé absolument une communauté égalitaire des citoyens libres aux droits et aux devoirs égaux à toutes circonstances. Ainsi, la compétition démocratique pluraliste, devient un concours de représentativité sociopolitique avec des conditions et chances  égales pour tous. Donc, nul « portion sociétale» n’a intérêt de rendre cette organisation compliquée aux autres. Ici Egale pour tous indique que dans la totalité sociale et dans le processus démocratique pluraliste, aucun citoyen n’est davantage citoyen qu’un autre : le citoyen c’est tout homme doué de ses droits civils et politiques. C’est vous et nous, c’est un député ou un maire, un ministre ou un président de la république, un conseiller général ou un conseiller d’état, chacun étant soumis aux mêmes règles et conditions, et redevable devant la loi de la même manière, avec les mêmes attributs naturels et les mêmes droits que tous les autres composantes sociales. C’est pourquoi, nous disons qu’il faut une Amnistie générale référendaire. Il importe encore de rappeler ici, une fois de plus, que, c’est de l’avenir de la totalité sociale souveraine qu’il s’agit, quand l’entièreté du Corps social solidaire devenue unique, délibère par la voie d’Amnistie générale référendaire sur les grandes questions rattachées à la souveraineté de la nation, ou sur les grandes questions structurantes de la totalité sociale. Le tout motivé par/et articulé, à l’intérêt public, à l’avenir de tous et à l’avenir de chacun, au demain de tous. Et c’est là que la totalité sociale souveraine vise principalement la stabilité sociopolitique de la nation et la paix sociale pérenne. C’est en cela que la totalité sociale souveraine, doit savoir tout « sacrifier » au bénéfice du bien de tous, de la souveraineté étatique et d’une perspective d’avenir meilleur de la société qu’elle anticipe ainsi.  

*- Une justice sociale pour tous sans exception, dont la clé est une Amnistie générale référendaire consensuelle.

Parce qu’en période de troubles dans l’ordre social et de secousses extatiques politique, rien ne vaut la préservation de chances de l’avenir, surtout au terme des crises d’intérêts sociopolitiques. Donc, en période de tentation forte de courber l’échine et de procéder à des génuflexions pour des intérêts obscurs, pour des avantages pécuniaires, même au détriment de l’ordre public, de l’intérêt national, et de la totalité sociale. Donc, n’oublions jamais que, l’état est avant tout une conception morale dominante des sociétés modernes, dans laquelle par la seule manière dont les multiples populations ataviques, renoncent à une partie de soi, à une partie de leur droit naturels individuels ou parcellaires, donc, à une partie de leur liberté naturelle et entrer dans les rapports d’une entité commune, et pour faire société unique ensemble, est celle dont on s’entend avec les autres groupes sociaux ou tribus, afin de s’unir dans le respect du libre arbitre de chacun, dans le consensus et par le dialogue, en une entité communautaire, une et indivisible ou tout est du convenu consensuel. Ici rien n’est unilatéral ou personnel, rien n’est exclusif, rien n’est du Moi. Il y a ni chasse-gardée, ni territoire privé ou conquis, ni privilège exclusif. Tout l’espace public appartient à tous, et tous les citoyens ont le même droit dans l’assiette territoriale. C’est notre vision de la vie sociopolitique emprunté au monde civilisée. C’est pourquoi, nous ne cessons de Kouma, et nous vomissons les armes en politique. Oui, face à la difficile émergence d’une élite dirigeante ivoirienne capable de défendre les intérêts vitaux du pays par une option politique claire, adaptée à la clarté politique du monde du 21e siècle, et face aux voracités de toutes sortes notre pays, la Côte d’Ivoire doit oser pouvoir prendre le train du 21e siècle. 

Donc, notre pays, la Côte d’Ivoire doit oser pouvoir restaurer la justice pour tous sans exception, qui passe par la mise en œuvre d’un véritable processus de réconciliation, qui prendra en compte les griefs sociétaux, qui alimentent la crise cyclique actuelle, en armes. Et du comment restaurer la justice pour tous sans exception ? En égrainons-en encore ici : Donc, œuvrer pour le bon retour des exilés par une porte d’entrée idoine et de droit, non-politicienne. La libération des prisonniers politiques et leurs subordonnés à la suite de leur hiérarchie qui plaide. *- L’indemnisation archivable et conséquente des victimes et de leurs familles d’ayants droits respectives. Qui exige l’élaboration d’un vrai système de dédommagement de toutes les victimes ivoiriennes de la crise querellée de 2002 à 2011 jusqu’à ce jour. *- L’élaboration dans le respect strict des règles de l’art qui sied à la matière, d’une constitution consensuelle, qui garantira une stabilité démocratique, avec des institutions républicaines fortes. *- Dissolution et réformation de la Commission Electorale, pour qu’elle devienne véritablement indépendante Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde sociopolitique en confiance et tous les acteurs d’accord. *- Le brossage et restructuration du conseil constitutionnel juridiction politique et juge des élections. *- Le découpage électoral, basée sur la quantification de la population administrée au prorata du même nombre d’élu pour le même nombre d’administré partout dans l’assiette territoriale. L’élu représente un nombre de populations humaines et non l’espace étendu.

 *- Donc, disons-nous, Ré-ouvrir le dialogue sociopolitique sincère *- Aller au pardon devant le peuple souverain avec LE POURQUOI DU PARDON, et le courage de dire la vérité, rien que la vérité, *- Couronné le tout par une Amnistie générale référendaire, qui doit être votée à 80% de Oui au moins, et a plus de 90% de l’électorat total inscrit sur une liste électorale devenue fiable. Sinon devenue conforme à un pays de 30.000.000 d’habitants, mais qui n’a que, 7.397.413 électeurs seulement sur un fichier électoral bancal, manifestation du dégout citoyen pour la chose sociopolitique et partant pour la chose électorale.*- Et d’organisation des élections transparentes, crédibles et inclusives de tous Amnistiés, dans un climat humaniste, apaisé, civilisé, propre. *- Donc, œuvrer pour le retour réel de l’Etat républicain de droit, respectueux des libertés fondamentales, de tous les citoyens et de la loi«Notons que l’Amnistie générale référendaire tient en l’état les condamnations à la perpétuité et a 20 ans de détention, prison» *- Le rétablissement de la confiance entre tous les ivoiriens et les amis de la Côte d’Ivoire, en assurant la bonne gouvernance économique, politique et administrative. *- Transformer notre pays pour en refaire, demain, une nation fraternelle, démocratique et prospère, qui rayonne en Afrique et dans le monde. Donc, c’est ce que nous appelons,  justice sociale pour tous sans exception, dont la clé est une Amnistie générale référendaire consensuelle.

*-L’humanité s’est construite sur des préalables satisfaits entre hommes libres, entre communautés et entre nations

Ceci est la voie toute tracée vers une vraie réconciliation nationale qui doit passer nécessairement par la clarification des responsabilités des uns des autres dans les tragiques et douloureux évènements qu’a connus la Côte d’ivoire. Il est impérieux pour la mémoire d’innocentes personnes tuées et pour rebâtir tous ensemble, la nation sur les piliers solides véridiques, parce que de droit. Qui lui évitera de chanceler à nouveau dans un avenir proche, ou même s’écrouler à jamais, il est impératif donc, que la vérité-justice-non pénale pour tous soit dite et connue. Oui, pour que les bourreaux soient identifiés, afin de bénéficier après leurs pardon, contritions et repentances, du pardon de leurs victimes qui se verront soulager. Le sentiment de voir leurs bourreaux reconnaitre au terme d’une contrition, d’une repentance leurs crimes, est un réel soulagement. Ainsi le pardon des victimes toutes tendances et catégories confondues, sera issu de l’attitude des coupables reconnus. Ici, face aux options intraitables et l’intransigeance des positions, ou tout le monde est blanche comme neige, ON NE PEUT PLUS FAIRE L’ECONOMIE de la vérité. Ceci est l’objectif premier d’une vraie réconciliation, qui est un désir de rendre la condition de vie sociétale meilleur. Disons, une lassitude des crises sociopolitiques cycliques, répétitives, ou mêmes les guerres civiles et la crainte des mauvais évènements funestes et mortifères. La réconciliation instruit la renonciation au désir de vengeance par l’acceptation de l’abandon des blessures du passé. Cela passe par la vérité et la justice sociale, «ici non-pénale», obligatoirement. Mais surtout la vérité de tous et pour tous, sans différenciation de bloc politique et régionale « Nord Sud ». Et ainsi une fois ce substrat fondateur posé, de converger tous ensembles sans exclusive vers des élections digne de ce Nom.

Cela, dans le respect des règles électorales universelles, fondée sur des normes consensuelles et sur des principes reconnus coutumiers, qui rassurent tout le monde, « Partis, candidats, citoyens, et la totalité sociale souveraine ». Puisqu’en politique, la vraie, il n'est d'autre moyen de fonder la légitimité démocratique d’un pouvoir d’état, que de faire partager à l'ensemble des citoyens libres, la conviction que leur volonté s'exprime à travers les représentants qu'ils se sont librement choisi. Oui, l’humanité toute entière s’est construite sur des préalables satisfaits entre hommes libres, entre communautés et entre nations. Il n’y a pas de relation humaine sans préalable, sauf entre un monarque et ses sujets destinés à la soumission seigneuriale. Et un préalable ne se satisfait que dans le consensus « adhérer ou convaincre du contraire ». Donc, si cette exigence politico-démocratique doit être de rigueur, les joutes électorales à venir doivent se jouer avant tout, dans la normalité de son cadre organisationnel, et ensuite les  voies les meilleures indiquées par les prétendants, les assurances de stabilité et de paix offerte au peuple, la confiance du peuple dans les porteurs d’alternances ou d’alternatives, les capacités reconnues par le peuple dans les candidats à pouvoir redresser le navire ivoire en perdition. Oui, les auras factices et les fausses notoriétés ne doivent pas peser pour grande chose, quand la transparence qui résulte du débat démocratique existe. Ainsi le pouvoir s’acquerra au prix de mille efforts éclairants. Puisque c’est une évidence, que celui qui acquiert le pouvoir d’état passivement au prix de quoi que ce soit d’autres que de droit, donc comptable et passible de circonstance, ne fera jamais le bonheur du peuple souverain, ultime détenteur du pouvoir. C’est ainsi une évidence, qu’au décès du vieux en 1993, qu’aucun magicien politique soit-il,  ne pouvait parier sur l’accession de Gbagbo au pouvoir d’état, seulement après 7 ans.

*- Un processus électoral doit obéir aux exigences démocratiques, qui obliger la dévolution du pouvoir par élection.

Donc, la conquête du pouvoir d’état est une épreuve de l’inconnue, et des surprises agréables et désagréables, d’où les détenteurs du pouvoir ou les vainqueurs des élections, ne sont pas forcément les meilleurs. Donc, pour les élections à venir, les circonstances heureuses ou malheureuses resteront toujours maitre des jeux, au mépris des fictions politiques. Malgré des mots glauques, des phrases visqueuses et des allégations nébuleuses pour diversion. D’où en politique et en démocratie, souvent quand on espère de la sortie des colombes toutes Blanches dans les urnes pour une victoire assurée, ce sont les crappes « craps » Poilus, qui y sortent pour gâcher la fête électorale. Et les circonstances heureuses d’un jeu se préparent sérieusement. Au terme du processus électoral soucieux de tenir l’exigence de la promesse républicaine de l’égalité, de justice pour tous dans la participation à la gestion des affaires publiques, et de l’égalité de chance de tous en droits et en devoirs, indépendamment de nos origines culturelles et sociopolitiques, de nos convictions philosophiques et de nos croyances religieuses, sans aucune politique clanique. Et d’ouvrir à l’égal accès pour tous, les structures étatiques de souveraineté populaire. Cela dans la reconnaissance de chacun, dans une citoyenneté commune, qui permet de gérer politiquement. L’olympiade démocratique se joue-là. Ici, le peuple souverain est l’ultime détenteur du pouvoir d’état mis en compétition par élection libre et juste.

Les élections démocratiques de par le monde ont l’obligation de se conformer aux normes juridiques consensuelles, qui régissent le processus électoral consensuel et au terme juridique dudit processus électoral consensuel, pour être légale et de droit. Les principes de démocratie électorale accordent à tous les citoyens des droits égaux, exigent des lois qui prévoient une administration équitable et non partisane. Donc, ici ce qui est recherché, c’est le respect de la volonté générale de la totalité sociale, qui ne peut s’appliquer qu’à défendre les intérêts de tous ses membres. Elle ne peut qu’assurer les droits des contractants consensuels de la société. Et Lorsqu’on contourne sciemment cette réalité irréfragable, par des questions politiciennes, qui paraissent impropres à la pratique électorale et à l’exercice de la démocratie, le rapport de force supplante l’élection et la démocratie. On entre dès lors dans un système de non-droit et la sphère politique et publique se trouve minée et désertée. Car ce n’est pas là que s’attribuent les pouvoirs démocratiques issus des élections honnêtes et ce n’est pas là que se prennent les décisions publiques équitables, salvatrices, novatrices et salutaires. Qui se trouve logé de droit, dans un processus électoral qui obéit aux exigences démocratiques, qui permettent d’obliger la dévolution du pouvoir d’état, ainsi placé à équidistance des partis politiques et les candidats, pour des élections consensuelles, libres, transparentes, justes et ouvertes.

*-La d’ivoire devenue méconnaissable dans le concert des nations civilisée, se vide de son image de marque.

Ainsi la république ou l’état républicain, devient le cadre par excellence, dans lequel tous les citoyens s’expriment sur toute l’étendue de l’assiette territoriale nationale, sans craindre de se voir opposer à une chassée-gardée, ou à des petits terrains électoraux. Sinon d’être agressé ou zigouillé par des fantassins se disant justicier des droits civils et politiques. Donc, c’est au terme d’un processus électoral qui réaffirme la souveraineté populaire du peuple souverain, qui  enfante par ce biais la représentation nationale élus, y compris la présidence de la république, que se construit une société stable, prospère, paisible, harmonieuse  et solidaire. Oui, s’il est encore besoin de  le répéter, « les pays à processus électoral paisible, sont ceux dont/ou les populations ont acquis la conviction que le résultat des scrutins reflète bien la volonté populaire, sans interférence politique. Par ce que le système est Apolitique, au-dessus des politiques politiciennes. De même, les partis et les candidats sont rassurer qu'ils sont traités avec égalité tout au long du processus électoral. Ces conditions contribuent à la légitimité et à la stabilité de leur processus électoral, et confèrent vitalité, dynamisme, fiabilité, viabilité à leur démocratie». Ici, les institutions étatiques quelles qu’elles soient, sont subordonnées du processus électoral. Et ces institutions sont contraintes de s’affranchir des visions étroites, pour s’enraciner résolument dans la démocratique pluralistes et multipartites au sens large.

Et par conséquence se voient obliger d’aligner le cadre organisationnel des élections démocratiques avec les engagements internationaux en matière de droits de l’homme. Puisqu’ici, c’est de l’homme qu’il s’agit. Et ici c’est l’intégrité du processus électorale qui est recherché pour garantir, neutralité, impartialité, transparente et assise sur un ensemble de conditions fondées sur les principes universels démocratiques. Inscrites résolument dans un système électoral, qui encourage et protège, de par son organisation, la tenue d’élections démocratiques, libres, justes, équitables et transparentes. Une élection conforme aux normes de la démocratie universelle, fait partie des droits inaliénables des peuples souverains à disposer d’eux-mêmes. C’est pourquoi, une élection démocratique, libre, juste, équitable et transparente exige, entre autres, la liberté de parole, d’assemblée, d’association et de mouvement, ainsi que l’absence de la crainte d’être zigouillé par des hommes armés. « Point de tête Humain comme ballon de Foot». Une élection juste exige toujours un processus électoral transparent, consensuel, une loi électorale et un système électoral équitable, des chances égales pour tous les participants. Une élection juste exige, une commission électorale autonome, neutre, impartiale et APOLITIQUE, pour être conforme aux normes de démocratie universelle, qui exige formellement l’absence d’intimidation d’où qu’elle vienne et quelle qu’elle soit. Les objectifs fondamentaux d’une élection juste sont les mêmes et relèvent de la nécessité de tenir des élections démocratiques.

Donc, un élu sorti de ce processus est avant tout un serviteur de l’intérêt général, les privilèges et avantages qui lui sont accordés ne peuvent être justes et légitimes, que lorsqu’il y a une contrepartie en termes de services public justes et équitables rendus à la nation, à la totalité sociale souveraine. Donc, vouloir contourner cet espace de liberté, avec des entreprises politiciennes, c’est vouloir conduire cet élan fondateur de liberté sur des terres moins dangereuses, en réduisant la vision de l’avenir de la nation et la gestion publique étatique, à une simple équation économique. Ainsi en inscrivant l’argent au cœur des relations socio-politico-idéologiques, pour coopté des citoyens vaches qui ne demandes qu’à manger, et des politicards renégats et arrivistes à des fins électorales. Alors que devrait être placé le citoyen et sa liberté, ses droits inaliénables au cœur du débat sociopolitique, l’homme au centre des préoccupations économico-développementales. Donc, le tout état au service de l’homme en quelque sorte. Afin de construire une société commune, paisible, dont non plus l’état ou l’argent. Mais ou l’homme et son libre arbitre, incarnerait la centralité de toute politique, et le citoyen le cœur de toute action sociopolitique. Dans une société qui fera de tous les aspects de la vie humaine, régie par les valeurs que l’humanité s’est donner, la valeur fondamentale, sur laquelle doit être construite toute société, toute politique, toute économie, tout développement, toute relation entre citoyens ivoiriens, et entre personnes d’origines diverses, et toute relation entre nations souveraines.

*- Oui, en démocratie la légitimité est ressortissante des urnes au terme d’une bonne organisation électorale.

Donc une société ivoirienne paisible et Houphouët-ienne. Oui, la côte d’ivoire devenue méconnaissable dans le concert des nations civilisée, se vide de son image de marque, de son continu sociétal, de ses mœurs et morales, et de son humanisme. La côte d’ivoire a désormais perdue le leadership politique de la sous-région Ouest-Africaine, ses admirateurs d‘hier la détestent désormais, ce qui l’enviait hier la boudent ostensiblement aujourd’hui, ses soutiens héréditaires la fuient vers d’autres horizons plu paisibles, ses soumis d’hier l’administrent des claques et raclées bien administrées, sa fierté positive ivoirienne est entamé.  Et sous les coups des crises a répétitions, la côte d’ivoire tremble du haut de son piédestal Houphouët-ien et peut s’écroulé à tout moment KO, le Navire ivoire tangue sur son substrat légal, vacille sur ses assises sociétales, oscille sur ses base souveraine, la côte d’ivoire roule vers l’Abime, la côte d’ivoire coule à petit Feu, la côte d’ivoire est devenue un pays de Merde, l’absolue recherche éperdue du pouvoir, l’entretien sciemment des crises en sont la cause unique. Oui, dans une universelle conception procédurale des élections démocratiques, la légitimité du pouvoir d’état est l’acceptation par le peuple souverain du caractère consensuel, moralement juste et nécessaire des institutions constitutives du pouvoir d’état. Mais hélas ! La légitimité d’un pouvoir d’état aujourd’hui est devenue, multiforme, facultative, d’adhésion extérieure, et en mutation permanente. Elle ne résulte plus donc, de la source unique électorale. C’est ainsi que, la légitimité internationale renvoie à la reconnaissance externe des États communautaires, des régimes et des gouvernements.

Donc, il suffit aujourd’hui de truqué et fraudé des élections et de se faire accepter par un nombre important d’états, et on devient internationalement légitime. Quand a la légitimité politico-électorale, elle peut être électorale ou circonstancielle. Ici la légitimité requiert l’adhésion d’un nombre largement majoritaire du peuple souverain. Mais en politique et en démocratie la légitimité, des légitimités est ressortissante des urnes électorales au terme d’une bonne organisation électorale, qui a fait du processus électoral et des lois qui le régissent l'œuvre de tous, en l'impose au respect de tous. Et un processus qui a permis à chacun de voir sans violence le redressement de ses griefs sociétaux, qui désarme la violence sociopolitique. D’où comme déjà dit :  En politique, la vraie, il n'est d'autre moyen de fonder la légitimité démocratique d’un pouvoir d’état que de faire partager à l'ensemble des citoyens libres, la conviction que leur volonté s'exprime à travers les représentants qu'ils se sont librement choisis. Dès lors il devient constant qu’au terme d’un processus électoral, les intérêts politiques des parties aux élections doivent pouvoir se conjugué avec l’affirmation de la souveraineté populaire du peuple, ultime détenteur du pouvoir d’état, une souveraineté absolue inscrite au cœur de la république et de la démocratie populaire, assise sur le principe du « gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple ». « Oui, citoyens ! Au mépris des propagandes monnayables et en dépits des délits de sales gueules, nous avons Kouma ». Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA « chronique » de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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