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31 juillet 2022 7 31 /07 /juillet /2022 19:42
 Lepetitfils : Un processus électoral normal quel que soit son théâtre ou son occasion, partidaire, local ou national doit préfigure l'harmonie qui doit régner dans une Nation, dont la souveraineté a été définitivement restaurée, par ce processus électoral sans aucune violence. Donc, l’Affaire de cette malbouffe électorale est donc gravissime à tous points de vue. L’enjeu ce sont les élections ivoiriennes à venir dans le temps et dans l’espace.  L’enjeu c’est notre vie démocratique en commun. Ou le citoyen contrepoids aux dérives de l’absolutiste totalitaire, choisira librement ses représentants.

Lepetitfils : Un processus électoral normal quel que soit son théâtre ou son occasion, partidaire, local ou national doit préfigure l'harmonie qui doit régner dans une Nation, dont la souveraineté a été définitivement restaurée, par ce processus électoral sans aucune violence. Donc, l’Affaire de cette malbouffe électorale est donc gravissime à tous points de vue. L’enjeu ce sont les élections ivoiriennes à venir dans le temps et dans l’espace. L’enjeu c’est notre vie démocratique en commun. Ou le citoyen contrepoids aux dérives de l’absolutiste totalitaire, choisira librement ses représentants.

*- Chronique «Kouma» : Tocsin pour la jauge électorale qui a montré le rouge.

Oui, sur une simple élection de structuration partidaire, la jauge de l’instabilité sociopolitique a donné sa graduation de rouge en l’état réel. La représentativité locale ou communautaire a été sacrifié sur l’autel du pouvoir absolu et de l’intérêt particulier, la cantonade du parti attrape-tout ostensible, ont poussé à leur pions préféré, «violences et affrontements avec gourdins, machettes, urnes cassées, listings truqué, trucage de vote, déchirures des documents» ont passés dans la casserole de la défense absolu des intérêts personnels». Selon la presse qui ne souffre d’aucune crédibilité, les citoyens ont retenus leurs souffles, de Touba à kounahiri, de Danané à Koro, de Ouaninou à sandégué, d’Anyama a partout dans le pays. Les faits de violences électoraux démodés dans un système vermoulu d’accession aux postes électifs contraire aux principes universels, ont prouvé que notre pays s’est écarté du droit chemin de la réelle démocratie, au mépris des règles conventionnelles, coutumières, universelles. Que notre pays a dévié de la seule route praticable en matière électorale, pour volontairement se confiné dans un système farfelus de suivisme de pseudo-démocratie moutonnier et dans un  panurgisme électoral de vache qui ne demande qu’à manger. Cette élection primaire à démontrer que la crise n’est pas derrière nous, qu’elle demeure dans la société évoluant à nos côté et que chaque jour, elle est un peu plus visible, parce que  logé dans des bicoques de l’injustice juridico-judiciaire et de l’injustice sociale et politique, nourris à la haine de l’autre, et dans une organisation sociopolitique, qui abhorre les différences sociopolitiques, pour n’adorer que le clanisme des appartenances affairistes, de copinages, de concussions, etc. Que nous tendons vers une nouvelle crise sociopolitique certaine.

Puisqu’en politique, en démocratie, il n’y a pas de petites élections, quand il s’agit de jauger le degré de fiabilité de la culture électorale et de la mentalité démocratique nationale. La côte d’ivoire, notre pays bat toujours la chamade, sous 12 ans de gravats de dénies d’élections ou de trucages électoraux, où valeurs démocratiques, électorales, et sociopolitiques sont en ruine, la société en péril. Oui, au vu du degré rouge de la jauge teste, chaque citoyen vit, rempli d’appréhension. Surtout quand le chef de la cantonade et ses séides fraudeurs entonnent la ritournelle de la rhétorique d’autosatisfaction autour des élections truquées de 2010 à ce jour. Donc, Revoilà le peuples ivoirien aux aguets à tout redouter des inconséquences d’un processus électoral politicien, non-maîtrisé, dérivant vers un but que les séides fraudeurs de la cantonade, tenant de l’orthodoxie des élections truquées, sont incapables de préciser, emportés vers les crises électorales sempiternelles qu’ils sont, par le courant des intérêts particuliers à défendre. Oui, la jauge teste de la fiabilité électorale plongé dans les élections de la cantonade au pouvoir a montré le rouge, degré annonciateur de la couleur des futures élections nationale. Les séides du chef font semblant de s’embrasser et s’arrachent les nez à coups de dents, le trucage est passé-là. Et les Crocs exhibés, dissuasifs ou d’attaques des séides demeurent dehors. Bon ! Ici, nous sommes face à une constance, qui veut que,  «le poisson pourri par sa tête».

*- Ces fichus politicards nous ont encore servie la malbouffe électorale dans toute l’assiette territoriale du pays.

Oui, dans la vie sociopolitique, comme dans vie la démocratique et électorale, quand l’autorité de direction ne s’est pas imposée d’entrée de jeu, comme model référentiel, quand chaque tenant partiel du pouvoir de direction, ignore quelle est la logique partidaire poursuivie, quel est son rôle réel et précis dans cette architecture partidaire, même instable et confuse, l’esprit des intérêts sectaires  devient fou et dangereux. Avec un chef de canton aux aguets et souvent hallucinant sur tous les faits partidaires, avec comme solution la politique d’attrape-tout et de cooptation, face aux élections, petites soient-elles, mêmes internes ou partidaires. Donc le chef de la cantonade devient anxieux de sa survie éternelle qui en dépend et partant indécis dans l’action politique et interventionniste à tout bout de champ dans les affaires internes partidaire qu’à l’accoutumée. Et la composante du canton aussi devient plus agitée, plus extatique, qu’un bordel militaire de campagne sur la ligne de front mal délimitée. Ou tous les séides vendent des gages partout auprès du chef du canton, mais aussi auprès d’une opinion publique qui volage que jamais face à des violences commises par les séides de la cantonade. Et dans cette situation sociopolitique, volcanique, ou la cantonade et ses séides ont les leviers du destin de la nation en mains, d’aucuns s’étonneraient encore, que dans un tel contexte socio-politico-électoral, que la totalité sociale soit devenue une immense pétaudière. Malgré, cette existence d’entretien des conflits d’intérêts avec toujours des violences électorales, qui émane de cette culture politique du confus, cette pratique politique absolutiste, cette défense éperdue des intérêts partisans, pour pouvoir servir la table des convives nocturnes de tous les membres de la secte. «Pauvre de nous, citoyens libres », ces fichus politicards nous ont encore servie la malbouffe électorale à ciel ouvert dans toute l’assiette territoriale du pays.

Et avec toute cette catastrophe électorale, des séides du chef de canton, faiseurs de couillonnades, plantée du haut d’un système clownesque, au terme des dénies d’élections, qu’ils aiment à qualifie d’olympiade démocratique et de consensus national, soutenu en cela par des chasseurs de primes, hélas ! Ces siedes-là se croient olympiens du jeu démocratique. Alors que leur olympiade démocratique est assise sur la fraude et la violence électorale. Agbô ! Oui, a par «votre SIKA-Gnamien-kan», y a rien dans vous. De quoi dire encore Agbo ! Oui, sachez que la violence électorale est l'expression la plus antagonique du droit de suffrage. Elle est l'affirmation en acte de la volonté de certains politiques d'infléchir et de corrompre le destin d'autrui. La violence électorale est fondamentalement, un mode de domination tenu pour archaïque au 21e siècle. La violence électorale est considérée comme source d’illégitimité, parce que contraires à l'idée d'ordre social et politique. Donc, les manifestations de violence électorale sont des stigmates d'une mentalité archaïque, démodé ou voyou. Parce que le processus électoral se veut conservatoire de vertus civiques, qui renforce l'obligation pour l'individu de donner à son activité électorale une orientation qui tienne compte de son insertion dans la société citoyenne, par des liens d'interdépendance qui le rattachent à ses concitoyens. Le processus électoral devient dès lors une sorte de laboratoire civique qui impose aux électeurs un renforcement de l'autocontrainte. Le processus électoral devient le point de départ d'un procès de diffusion des différents comportements définissant le bon citoyen. Et la communauté des individus ne fera plus qu'une avec la société des citoyens. D’où il n’y a point de violence en politique, en démocratie, aux élections, et dans la société.

*-Le triomphe de l'idéal démocratique disqualifie à jamais tout projet d’incivisme sociétal et de violence électorale

Retenons-le depuis 2010, les corps humains ne cessent de joncher nos rues au terme des élections d’appellations démocratiques. Il est temps de penser à nos morts électoraux et par conséquence de remédier au mal «oui, ceux qui ont disparu à tout jamais n’existent plus que par nous et dans la pieuse fidélité de notre mémoires. Si nous perdions leurs souvenirs, ils n’existeraient plus du tout, si nous commencions à oublier les citoyens morts pour la démocratie et la paix au terme des élections, ils seraient anéanti une deuxième fois». Donc, le postulat du devoir et l’obligation d’objections morales s’impose, face à cette situation sociopolitique dont la persistance bafouerait les morts et ferait des vivants des cyniques. Oui, l’idéal absolutiste et le festival honteux d’une petite élection partidaire, mais a valeur de jauge des élections nationales, a imprimé sa graduation de couleur rouge du sang a ce petit évènement de jauges électorales, démocratiques et politiques, qu’est la structuration d’un parti qui détient la clé des élections nationales. Oui, à ce malheureux évènement, seul à manquer le nouveau ballon de Foot électoral. Oui, la civilisation qui veut que, le triomphe de l'idéal démocratique disqualifie dans la société et à jamais tout projet d’incivisme démocratique et de violence en politiques a été gommée et dégommée, dans cette élection interne de structuration partidaire.

Oui, l’idéal civilisation-nelle des élections démocratiques, accrédite l’idée, qu’il doit exister des processus d’élections qui ne passent pas par la politique politicienne. Creuset des violence sociopolitique et fruit des rapports de forces d’animosité fondé sur la défense des intérêts particuliers, pour l’acquisition, la confiscation, et l’exercice du pouvoir, au mépris des règles démocratiques et en dépit des droits inaliénables du peuple à disposer de lui-même. D’où, l'interdépendance ainsi que la forclusion de la violence imposée au citoyen de passer par la reconnaissance pleine et entière des devoirs liés à l'appartenance citoyenne commune à un corps électoral. En instaurant une forme inédite de coprésence civique, que symbolise la fusion des bulletins électoraux dans une même urne, de même que le résultat qui les agrège. Ce processus électoral quel que soit son théâtre ou son occasion, partidaire, local ou national doit préfigure l'harmonie qui doit régner dans une Nation dont la souveraineté a été définitivement restaurée, par un processus électoral sans aucune violence. Donc, l’Affaire de cette malbouffe électorale est donc gravissime à tous points de vue. L’enjeu ce sont les élections ivoiriennes à venir dans le temps et dans l’espace.  L’enjeu c’est notre vie démocratique en commun. L’enjeu c’est le droit inaliénable du peuple à disposer de lui-même, l’enjeu c’est notre Avenir, l’Avenir de  Nos filles et fils, de nos petites-filles et petit-fils, de nos arrière-petites-filles et arrière- petits-fils.

*- On doit s’inscrire résolument sur le registre des valeurs qui fondent l’organisation d’une société démocratique.

Oui ! En matière électorale et politico-démocratique, là où est l’autorité, là est aussi le responsable de défaillances. Oui, le système de TRUCAGE électoral n’est pas de la politique, mais de la vraie criminalité des hommes ripoux et mafieux, inscrit dans une logique des compromissions alimentaires qui œuvrent dans l’interpénétration des affaires mafieuses dans la politique. Et surtout qui n’aiment pas admettre s’être tromper dans leurs actions funestes et mortifères. Ainsi, ils accordent peu d’importance à la démocratie, au nom de laquelle trop de sang innocent a été versé en côte d’ivoire. Ils sacrifient ainsi l'avenir de toute une nation ivoirienne sur l’autel de la conservation des intérêts personnels, ou de l’acquisition des intérêts égoïstes. Ils n’accordent ainsi aucune importance au bonheur du citoyen et de tout homme vivant dans notre pays la côte d’ivoire. Un Bonheur qui ne peut être réalisé sauf qu’en mettant l’homme au centre du débat politique, le citoyen au cœur du débat développemental, pour l’avènement d’une société plus juste. Qui ne laisse aucun citoyen au bord de la route du progrès de la société commune, d’une société plus cohérente, d’une société plus égalitaire, d’une société plus humaine, d’une société plus solidaire et régie par des normes de régulation sociale acceptées par tous et respectée par tous, sans condition autres que celles prescrites d’intérêt général pour tous. La côte d’ivoire a besoin de pacifisme, de régulation sociale et de consensus.

Le peuple souverain de côte d’ivoire, ultime détenteur du pouvoir d’état, doit rester maitre de son destin au mépris de la volonté des tenants de pouvoir d’état, qui adorent la violence électorale. En politique, le citoyen qui veut le pouvoir du peuple, doit parler au peuple, dans le respect des normes de régulations sociopolitique et dans le respect des règles démocratiques et électorales universelles. Et ce citoyen devenu gouvernant, doit constamment à chaque occasion de crises sociopolitiques faire la preuve de sa légitimité populaire, de sa légalité juridique. Et de démontrer qu’il apporte des valeurs ajoutées à vie de la totalité sociale qui profitent à la nation devant le peuple souverain, seul et ultime détenteur du pouvoir. C’est ça la démocratie ! C’est ça gouverné ! Avec le consentement du peuple souverain gouverné, qui obéit par conviction. Oui, l’ivoirien doit espérer de demain en refusant aujourd’hui de s’inscrire sur le registre des violences et trucages électoraux funestes, des fossoyeurs de la démocratie, des gens qui ne s'intéressent pas à l'homme, mais à Dieu-argent. Des gens qui aspirent ostensiblement à une société de criminalité économico-sociopolitique, qu’ils nous proposent, dans laquelle tout est monnayable à un prix, même la vie humaine. L’ivoirien doit refuser la violence et l’enfermement électoral dans un système démocratique et électoral mafieux. Ou la quête de la Bouffe est l’ambition première de l’homme politique. L’ivoirien doit s’inscrire résolument sur le registre des valeurs qui fondent l’organisation d’une société réellement démocratique, une société commune, harmonieuse, homogène, du vivre en commun politique et démocratique de libre partage. *- « Soulignons que, le rejet de la violence en politique en tant que mode d'action électorale impose de créer des conditions systémiques annihilant, susceptibles de dissiper la menace des violences dans le corps social. La mise en place d’un système électorale définitivement fiable qui rassure tout le monde dans l'activité électorale doit occuper, à cet égard, une place primordiale et déterminante. Le système électoral tendra alors ainsi à opposer à la conception  vindicative de la force matérielle, une autre conception : celle d'une adhésion  commune, consensuelle et intime, par laquelle s'établit pacifiquement le mécanisme politique et électorale de la délégation du pouvoir sans violence ».

*-l’Amnistie générale référendaire tient en l’état les condamnations à la perpétuité et a 20 ans de détention, prison.

Oui ! L’ivoirien doit espérer de demain, en évitant l’absurde électorale aujourd’hui, qui ne dessine pas l’horizon d’un avenir commun et meilleur pour les citoyens, mais qui le met en danger, par des pratiques de trucages électoraux à ciel ouvert, accompagner des viols répétés des normes de régulations sociopolitiques préétablies. Pour nous, il n’est pas sain aujourd’hui d’être partisan d’une violente politique et électorale, porteuse de honte dans l’avenir. Oui, l’ivoirien doit espérer de demain ! Parce que, nous restons convaincus, qu’un jour viendra certainement, où nous pourrions ouvrir sur un autre soleil sans violation, les yeux de nos sœurs et frères, de nos filles et fils, de nos petit-fils et petites-filles, sur cette terre autrefois paisible, que nous ont légué nos devanciers politiques, et nos chers ancêtres. Et ce jour-là, nous chanterons tous ensemble un véritable hymne en l’honneur des véritables fers de lance de la nation martyrisés, tombés au cours des élections violentes et criminalisés. Donc, ici et maintenant, il est impératif, pour tout citoyen ivoirien de souscrire résolument, tous ensemble solidaire, en mettant en commun volonté, discussions, idées, pensées et actions pour réussir l’impossible, l’impensable, le miracle et pour relever le défi sociopolitique en faisant bouger synergique-ment la ligne, au terme de l’idéal d’un réel cadre de Dialogue avec la participation de toutes les forces vives de la Nation. Le lien social est éminemment politique et doit être régi par le consensus national. Donc, pour aborder tous ensembles les questions clés qui porteront sur des sujets d’intérêts nationaux et de souveraineté nationale absolue, de stabilité sociopolitique, de paix nationale et internationale.

Notamment les questions sur: *- La mise en œuvre d’un véritable processus de réconciliation qui prendra en compte le bon retour des exilés et la libération des prisonniers politiques et leurs subordonnés militaires. *- L’indemnisation conséquente des victimes et de leurs familles d’ayants droits respectives. Qui exige l’élaboration d’un vrai système de dédommagement de toutes les victimes de la crise querellée de 2002 à 2011 jusqu’à ce jour. *- L’élaboration d’une constitution consensuelle qui garantira une stabilité démocratique, avec des institutions républicaines fortes. *- Dissolution et réformation de la Commission Electorale, pour qu’elle devienne véritablement indépendante et Apolitique. *- Le brossage et restructuration du conseil constitutionnel. *- Le découpage électoral. *- Donc, Ré-ouvrir le dialogue sociopolitique sincère *- Aller au pardon devant le peuple souverain avec LE POURQUOI DU PARDON, et le courage de dire la vérité, rien que la vérité, *- Couronné le tout par une Amnistie générale référendaire, qui doit être votée à 80% de Oui au moins, et a plus de 70% de l’électorat total inscrit sur une liste électorale devenue fiable. Sinon devenue conforme à un pays de 30.000.000 d’habitants, mais qui n’a que, 7.397.413 électeurs seulement sur un fichier électoral bancal, manifestation du dégout citoyen pour la chose sociopolitique et partant pour la chose électorale.*- Et d’organisation des élections transparentes, crédibles et inclusives, dans un climat humaniste, apaisé, civilisé, propre. *- Donc, œuvrer pour le retour réel de l’Etat républicain de droit, respectueux des libertés fondamentales, de tous les citoyens et de la loi, dans l'indispensable reconnaissance de l'autre dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous. «Notons que l’Amnistie générale référendaire tient en l’état les condamnations à la perpétuité et a 20 ans de détention, prison» *- Le rétablissement de la confiance entre les ivoiriens et les amis de la Côte d’Ivoire, en assurant la bonne gouvernance économique, politique et administrative. *- Transformer notre pays pour en refaire, demain, une nation fraternelle, démocratique et prospère qui rayonne en Afrique et dans le monde. « Sur ceux et à la suite d’une colique issue d’une petite Malbouffe électorale à nous servie sciemment, nous avons KOUMA ». Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA « chronique » de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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