Lepetitfils : Tout comme la Grande France, « la mère patrie », les pays à processus électoral paisible, sont ceux dont/ou les populations ont acquis la conviction que le résultat des scrutins reflète bien la volonté populaire, sans interférence de politique partisane. De même, ou les partis politiques et les candidats aux élections ont appris qu'ils sont traités avec égalité tout au long du processus électoral. Ces conditions contribuent à la légitimité et à la stabilité de leur environnement électoral, et confèrent vitalité, dynamisme, fiabilité et viabilité à leur démocratie.
*- Chronique ou Kouma : Depuis 22 Ans la côte d’ivoire va mal, très mal même.
Oui, disons-le ici, concernant le dialogue sociopolitique sensé aboutir sur la réconciliation nationale et sur la paix sociopolitique, qu’il faut que ce dialogue soit largement inclusif, républicain. Que le parti attrape-tout au pouvoir, à roue libre ne doit pas décider de tout dans la vie sociopolitique, dans les sphères et sur des sujets ou la souveraineté absolue reste au peuple souverain. Donc, qu’on se détrompe sur la possibilité du respect des recommandations du exclusif dialogue politique, qui prescrivent semble-t-il, «la libération de tous les prisonniers politiques issus des crises électorales, la réforme de la CEI, le redécoupage électoral, l’audit de la liste électoral, le retour de tous les exilés politiques et une rencontre des trois Grands « Ouattara, Bédié et Gbagbo », pour en finir totalement avec les contentieux sociopolitique qui résultent des crises querellées ». Tout cela ne servira à Rien à l’absence de la présence inclusive de la totalité sociale souveraine légalement représentée à ce dialogue « le lien social est politique ». Donc, Non ! Il n’y aura rien de toute cette recommandation du 5e round du dialogue qui s’est avéré totalement exclusif.
Oui, il n’y aura point de consensus sociopolitique, point de réforme de l’organisation sociopolitique et point d’équilibrage systémique des organismes et institutions chargées de la régulations sociopolitiques, pour permettre aux hommes politiques ivoiriens et partis politiques ivoiriens, ou même à tous les citoyens ivoiriens libres, de partir sur la même ligne de départ équidistante du pouvoir d’état à la conquête du pouvoir d’état, aux élections démocratiques propres, comme les sportifs vont aux compétitions sportives, avec la certitude qu’ils peuvent gagner, comme ils peuvent perdre. Il n’y aura rien de ladite recommandation du 5e round du dialogue exclusif «nous n’étions pas ». Or, il nous faut donc, un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord. Un organisme qui ne peut susciter de quelque manière que ce soit les votes de la main de Dieu, parce qu’un candidat vient après Dieu dans sa suite. Donc unir la totalité sociale, pour avoir des élections libres et démocratiques, dédouanées de toutes les scories passéistes de fraudes et trucages électoraux. Un système électoral consensuel indépendant, Apolitique, distant de tous les partis et intérêts politiques
Oui, depuis 2011, la côte d’ivoire va mal, très mal même. Le parti attrape-tout, au pouvoir depuis cette date, décide seul de tout. Or quand un seul parti politique, un seul groupe d’homme ou une seule personne, décide de tout dans un état de droit dit républicain, c’est ce qu’on appelle la dictature ou la monarchie républicaine. Et ce parti attrape-tout au pouvoir, avec son dialogue politique exclusif et sélectif, qui a conclu au terme d’un 5e round, a déjà rependu volontiers la boue dans l’arène sociopolitique ivoirienne, en prélude des élections à venir, avec un accord ou une recommandation en partie compromissoire, sur le dos du peuple. Et sauf miracle, tout le monde politique, tous les honnêtes citoyens et tous les hommes politiques, seraient obliger de patauger dans cette boue, et ensuite pour s’entendre dire d’une voix sournoise insistante et alpiniste, à l’endroit de tout cet ensemble sali, regardez les, ces pauvres gens-là, politicards pleurnichards, d’une minable typologie-là, comment ils sont puants, allez crever en enfer fichus sales mecs de pauvres. Oui, l’unilatéralisme intransigeant autour des élections est le credo de survie de ce parti attrape-tout au pouvoir, qui décide seul de tout, ce qui est le présage divinatoire des crises postélectorales.
Et les élections locales à venir ne feront pas l’exception, rien ne doit pouvoir contrarier le projet funeste de ce parti politique attrape-tout pour la côte d’ivoire. Donc il n’y aura pas de révision d’équilibrage du frauduleux découpage électoral actuel, la commission électorale ne changera pas non-plus. Parce que le découpage électoral frauduleux qui permet d’obtenir une majorité parlementaire factice, et la partisane CEI actuelle servent trop, trop, bien la cause de ce parti attrape-tout, pour que quiconque en côte d’ivoire, puisse exiger ou espérer de leurs équilibrages, pour obtenir des élections libres et démocratiques, dédouanées de toutes les habilités de scories passéistes de trucages électoraux. Comme dit c’est une évidence manifeste, il nous faut, un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord. Un organisme qui ne peut susciter de quelque manière que ce soit un vote de main de Dieu parce qu’un candidat vient après Dieu dans sa suite.
*- Mettre une fois pour toute, notre pays qui roule sur une route déviationniste, sur les rails de la démocratie.
Donc, c’est cela qu’un dialogue inclusif de la totalité sociale souveraine, un dialogue non-sélectif qui n’obvie ni prisonnier politiques actuels, ni exilés politiques actuels, doit espérer ou exiger, comme fixation absolue dans sa finalité. Un dialogue qui tient en l’état, les luttes de leadership, les brouilles personnifiées, les rigoristes clivages politiques, les appartenances d’intérêt particulier, les antagonismes artificiels, la division dissolvants, et les défenses hermétique de dividendes des actions politiques légitimes en temps normal, pour ne retenir que la côte d’ivoire et l’intérêt général de la totalité sociale. Se faisant, prendre ensemble un certain nombre de mesure nécessaires et indispensable à l’organisation des élections apaisées «qui impose confiance à tous», à la stabilité sociopolitique, à la cohésion sociale, à l’harmonie communautaire. Des mesures consensuelles, qui prises ensemble concourraient à remplacer la mauvaise conception absolutiste actuelle du pouvoir d’État, par une vision tout à fait nouvelle, qui mettront une fois pour toute, notre pays qui roule sur une route déviationniste, sur les rails de la démocratie, du droit universel, de la stabilité politique, de la paix sociale pérenne, surtout de nos mœurs sociétale atavique. Oui, c’est d’une constance universelle, que c’est seulement avec l’adhésion de la totalité sociale, de la totalité politique à un système régulateur de la société, que le système des interactions sociales peut fonctionner sans dégénérer en conflits ouverts ou latents. La côte d’ivoire a besoin de régulations sociopolitiques pour devenir stable et paisible.
Parce que ceci faits que, les gouvernants sont obligés de persuader et de convaincre les gouvernés consentants. Oui, il en va de la médecine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Donc, disons-le, de par notre désintérêt pour les actions régulatrices synergiques, chaque jour nous défaisons un nouveau pan de ce que construisirent nos devanciers. Prenons l’option d’un bon remède, au cas contraire, l’hermétique cadenas-sage du processus électoral ivoirien demeurera, avec lui la confiscation du pouvoir d’état dans la durée par un parti ou un groupe d’hommes. Parce qu’ici, le parti attrape-tout au pouvoir, est sûr de son fait, très sûr de son emprise sur la société ivoirienne et sur certains de ses hommes politiques affairistes et aussi, face à des acteurs politiques ivoiriens et des acteurs de la société civile, pour le moment aux stratégies trop crédules, face à une stratégie habile, alpiniste et hermétique, dans son jeu de l’entrainement jusqu’au moment fatidique, sinon, d’autres plus soucieux de leurs carrières d’arrivistes renégats et d’affairismes mercantilistes, que de la cause d’intérêt national, qu’est le nécessaire arrêt de la dynamique démoniaque du parti attrape tout au pouvoir qui décide seul de tout. Cette opposition ivoirienne, est entrainée vers l’engrenage de sa perte, et trimbaler petit-a-petit vers une crise postélectorale, qui donnera la parole aux armes. Se limité au financement de certains partis signifie, la bouffe d’abord, le reste on verra
Oui, l’unanimité n’est pas mauvaise en soi dans la société, si elle peut se retrouver présente dans tout le système entier de l’organisation sociopolitiques, et surtout démocratique et électorale. Mais avec l’unanimité de l’élection consensuelle d’un des principaux faiseurs de couillonnade au perchoir de l’Assemblée nationale ivoirienne, donc, une Assemblée nationale devenue désormais, le symbole de la vision d’un parti, dont un des principaux faiseurs de couillonnade est élu président et qui traduit en véritable automate les visions de ce parti en acte politique. Un parti attrape tout qui opère de façons insidieuses et vicieuses pour instrumentaliser le processus démocratique et électoral, pour le réduire à sa seule exigence égocentrique de confiscation du pouvoir d’état. Nous disons dès lors que, sauf si cette élection a l’unanimité cache une stratégie bien peaufinée, mais illisible et inintelligible pour le commun des mortel, parce que ce fauteuil est réputé ou est avéré être la ligne de départ d’une course d’ostracisme effrénée et nébuleuse avec la perpète comme dossard, « dans ce cas, à vos marque messieurs, bon-posément, le top départ de cette course poursuite avec la perpète comme dossard ne saurait durée 5 ans, le chrono est en marche». Mais si tel n’est pas le cas, cette unanimité est une très mauvaise passe à l’adversaire politique qui joue bien son jeu, dans s. on système preferé de tous les temps depuis 2011 et toujours en possession du ballon.
*- Prenons la seule voie praticable vers une vraie réconciliation nationale et vers la paix sociopolitique.
Oui, hélas ! Au cas contraire de cette probabilité de stratégie politique peaufinée, le parti attrape-tout au pouvoir sûr de son fait, aura réussi un grand coup, qui laissera des traces, tant sur le plan politique, que sur plan électoral dans l’avenir. Parce qu’en politique, la vrai politique noble art « Houphouët-ien », on ne fait pas de passe à l’adversaire au point de pénalty, de sa propre surface de réparation à défendre contre vent et marée, contre Becs et Oncles. « C’est pourquoi en France, Emmanuel Macron avec son couloir de doublement centriste, de 2017, aujourd’hui très rétrécit en 2022, en ses extrêmes «gauche et droite», tente des dribles à gauche, des dribles à droite, et s’auto-drible lui-même souvent, à la recherche de la solution qui sied à sa posture ou la solution idoine a sa situation. Une coalition inattendue, l’a mis en face de certaines pièces cassées dans sa machine en pleine course, une pièce que les partis politique Français conscientisés et détenteurs ne veulent pas le revendre les pièces de rechanges. Donc, les 5 ans à venir risque d’être laborieux pour lui, et c’est cela la vraie politique noble Ar, dont nous nous sommes pratiquants.».
Oui, comme la Grande France, les pays à processus électoral paisible, sont ceux dont/ou les populations ont acquis la conviction que le résultat des scrutins reflète bien la volonté populaire, sans interférence de politique partisane. De même, ou les partis politiques et les candidats aux élections ont appris qu'ils sont traités avec égalité tout au long du processus électoral. Ces conditions contribuent à la légitimité et à la stabilité de leur environnement électoral, et confèrent vitalité, dynamisme, fiabilité et viabilité à leur démocratie. Donc, ici, les institutions étatiques quelles qu’elles soient, sont les subordonnées du processus électoral, elles doivent s’affranchir des visions étroites, pour s’enraciner résolument dans la démocratique pluralistes et multipartites au sens le plus large. Et doivent aligner le cadre organisationnel des élections démocratiques avec les engagements internationaux en matière de droits de l’homme. Donc, pour le dialogue après-guerre et la réconciliation nationale post-guerre ivoirienne, il faut proscrire les Fourberies carriéristes qui n’admettent jamais s’être tromper dans l’action politico-gouvernementale et qui n’avouent jamais leurs forfaitures sociopolitiques par contrition et dans les actions et discours de repentances.
Donc ici, citoyen ! Terminons ce Kouma «Chronique» par les mots que nous avons déjà ressassé ou dit et répéter depuis 2012. La seule voie praticable vers une vraie réconciliation nationale et vers la paix sociopolitique en côte d’ivoire, qui n’ a pas de succédané possible, qu’est un processus pyramidale ou tout est inextricablement lié, comme suit: 1)- Libéré les prisonniers politiques, 2)- Faire rentrer les exilés politiques par la bonne porte, « pour que la maison ivoire pleine de toutes ses filles et de tous ses fils, décident consensuelle-ment, coude-à-coude et main dans la main, tous ensembles de tourner une page plus que sombre de notre pays, par la seule voie possible, celle consensuelle ». 3)- Ouvrir le dialogue politique républicain et social, sincère et largement inclusif 4)- Aller au pardon devant le peuple souverain avec LE POURQUOI DU PARDON, et le courage de dire la vérité, rien que la vérité 5)- Couronné le tout par une populaire Amnistie générale référendaire qui doit être votée à 80% de «Oui» au moins.
*- Non ! Le UNHCR ne doit retirer le statut juridique a des refugiés ivoiriens sur la base des allégations mensongères.
« Concernant les exilés, il faut noter formellement ici, que la délibérée guerre ivoirienne postélectoral-2010-2011, a contraint trois « 3 » catégorie de citoyens ivoiriens à prendre la route de l’inconnu, qu’est l’exil: La première catégorie, la plus nombreuse est ceux qui ont craint d’être tué gratuitement au terme de la guerre. La deuxième catégorie, la moins nombreuse, est ceux dont leurs appartenances qui sont de plusieurs ordres leurs prédisposaient aux tueries, aux persécutions et aux représailles armées. La troisième catégorie, minoritaire est ceux qui sont ciblés pour ce qu’ils ont été, pour ce qu’ils sont, et pour ce qu’ils ont légalement fait pour que la crise postélectorale soit soldé conformément aux normes de régulations sociopolitiques et aux lois préétablies et dont l’acceptation par tous a permis ladite élections, qui a aboutie a la crise querellée. Et disons-le, aujourd’hui encore, il y a plus de trente milles « 30.000 » ivoiriens en exil de par le monde, dont les un tiers n’émarge pas au UNHCR et souvent non-déclaré au UNHCR. Donc il serait honteux pour les Nations Unies « 0NU » et très malheureux pour l’esprit qui a enfanté le UNHCR, qu’une tractation politique avec le pays d’origine de ces réfugiés, qu’on appelle volontiers (changement fondamentaux et durables. SIC), et uniquement appuyé sur la base des institutions coquilles vident, dont l’existence n’a eu aucun impact sur les causes qui ont conduit ces citoyens ivoiriens en exil, deviennent une cause qui les retire le droit des droits, codifié par l’humanité comme tel. Non ! Le UNHCR ne doit retirer le statut juridique a des refugiés ivoiriens sur la base des allégations mensongères de leurs pays d’origines, dont ils ne revendiquent pas la protection, d’où refugiés. Et surtout, sur présentations des institutions vermoulues devenues paravent justificatives pour des dirigeants acteurs de la crise querellée du pays d’origine des refugiés. Non ! Non ! Et Non ! Le bon sens humanitaire exige, qu’il faut d’abord aider, la côte d’ivoire à respecter les droits inaliénables, les libertés individuelles et à bâtir la paix sociale, pour que la vie sociopolitique soit assurée de la paix intérieure. Il faut d’abord aider, la côte d’ivoire, à sortir de la situation de crise sempiternelle, ne l’oublions pas, la dernière élection présidentielle de 2020 a fait plus de 150 morts et de nouveaux réfugiés. Oui, par le rigorisme du droit international et l’intransigeance des institutions onusiennes, il faut d’abord aider, la côte d’ivoire à obvier les crises sociales qui peuvent entrainer des bains de sangs. Et l’imposition sans maquignonnage de la réconciliation nationale par les institutions internationales politiques et humanitaire est une voie pour se faire ». La réconciliation nationale de la totalité sociale ivoirienne et la paix sociopolitique nationale et internationale sont à ce prix pour la côte d’ivoire. Avec l’homme comme centralité.
Parce qu’il est constant de par le monde, que c’est à partir des personnes que se construit l’avenir, que c’est à partir de la solidarité de la totalité sociale souveraine que se bâtit la nation forte et s’améliore la réalité quotidienne de chaque citoyen, que c’est à partir de l’harmonie sociocommunautaire que s’exerce de fait une prise de pouvoir à travers des actions harmonieuses, concrètes, concertés, synergiques, avec la progressive unification des différentes expériences de combats sectoriels pour la Vie, pour l’homme, pour les droits inaliénables et pour la liberté dans la dignité. Oui, il est constant de par le monde qu’en politique, qu’en démocratie, et dans l’ordre du public, ou il s’agit de la chose publique, qui décide de la vie de la nation, de la vie tous et de la vie de chacun, ou de l’intérêt général, de la société que tout doit être consensuel, et le referendum est le meilleur outil d’expression de la souveraineté populaire. D’où, le peuple souverain agit alors dans sa souveraineté pleine et entière autrement que par procuration politique élective ou d’adhésion politico-idéologique. Donc au terme d’un vrai dialogue sociopolitique national, donnons la parole au peuple ivoirien, allons chercher la vérité ou elle se trouve dans le peuple souverain, allons chercher le bon remède ou il se trouve dans le peuple souverain et la vérité germera ou émergera en flèche, et la côte d’ivoire sera guérie une fois pour toute. N’oublions pas les crimes contre l’humanité sont imprescriptibles cette Humaniste politique n’a de limite que dans le peuple souverain, consentant au pardon pour arriver à l’ordre et paix.
*- si la côte d’ivoire doit aller à la vraie réconciliation, ces victimes doivent être dédommagées à toutes les échelles
Donc, de droit et pour le droit, il convient ici de rappeler que, la crise ivoirienne de 2002 à 2012 et suivants a fait près de 7000 morts. Donc, ce dialogue doit prévoir un mécanisme institutionnel de dédommagent aussi pour que la réconciliation soit total et solidifier sur des soles de droit universel. Donc, il faut dédommager les victimes de guerres en tenant compte, que vouloir dédommager des victimes de guerres, oblige d’avoir une lecture claire des faits de guerre, de sortes que cette lecture puisse être un support de droit, même en l’absence de justice judiciaire internationale ou nationale. Mais il faut noter que cette lecture claire ou pas, cela n’entrave en rien, et en aucun cas les droits acquis des victimes de guerres aux dédommagements. Puisque son support de droit qu’est le principes de la responsabilité civile étatique pour des faits d’ordre des dirigeants d’état et sur ordres du supérieur dans la chaine de commandement, est de s’assurer que la responsabilité pénale des personnes dirigeants étatiques, tout au long de la chaîne de commandement, ayant directement ou indirectement contribué à la violation des règles du droit international, est suffisamment engagée, avant de parler de dommage à réparer. «Pour ce cas précis, il faut noter entre guillemet que les deux parties de la guerre ivoirienne ont acquis le statuts de belligérant à Linas Marcoussis».
Donc, disons formellement qu’au terme de cette crise ivoirienne « guerre-interne» conflit national, c’est du statut de belligérance acquit à Linas Marcoussis, que découle la responsabilité civile de l’état «de côte d’ivoire» pour les préjudices subi par des tiers pendant la crise dans l’ensemble, «carence de l’état en matière de prévention de risques de conflit». Donc si la côte d’ivoire doit aller à la vraie réconciliation, ces victimes doivent être dédommagées à toutes les échelles « économiques, sociales, et même morale » pour les dégâts causés par l’antagonisme des deux (2) belligérances ressortissants de l’Accord de Linas Marcoussis. Et c’est une constance qu’en l’espèce pour permettre aux victimes d’obtenir réparation il y a au moins deux voies de droits distincts : 1- La voie administrative : qui équivaut à obtenir réparation auprès de l’Etat en faisant appel à des institutions légales ou des lois légiférant en la matière, 2- La voie judiciaire : qui consiste à obtenir réparation par recours aux tribunaux « ou justice traditionnelle ». Ce processus de dédommagement nécessite un substrat légal. Donc une structure d’identification des victimes et de dédommagement «commission ou autre» qui doit impérativement pouvoir s’appuyer sur tous les moyens légaux, pour établir les réalités des faits et situer les responsabilités sans parti-pris en toute indépendance impartiale.
Puisqu’en la matière, pour que, la responsabilité de l’état soient formellement engagée, il faut l’identification des actes réels et des auteurs réels, légalement reconnus ou identifiés, auteurs des carences ou des insuffisances des actions qui entre en conflit, avec des droits réels détenus par des tiers, ainsi en droit même la simple carence de l’état en matière de prévention des risques de conflit, entraîne la responsabilité civile étatique vis-à-vis de ces ressortissants, «l’obligation de savoir et le devoir absolu de s’informer ». Ce principe de droit irréfragable, de la responsabilité du supérieur hiérarchique, tire son origine de la responsabilité pénale individuelle «chef hiérarchique», tel qu’appliqué par les juridictions de Nuremberg et de Tokyo et ultérieurement codifié par le statut du tribunal Pénal International pour le Rwanda à l’article 6, il est irréfragable en droit international pénal. Donc, si l’ivoirien veut aller à la vraie réconciliation nationale via un dialogue sociopolitique sincère largement inclusif, non-sélectif, «qui proscrit la Bouffe » il faut réellement dédommager les victimes dans un processus qui réaffirme les droits, qui proscrit l’esprit de donation gratuite étatique. Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et sociale pour tous.
*- UN KOUMA « chronique » routinière de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.