Lepetitfils : Si la côte d’ivoire doit être au rendez-vous de la démocratie moderne du 21e siècle, qui banni à jamais l’usage des armes dans l’arène politique, certains comportements anti-démocratiques sont à bannir avec ses supports qui sont des hommes politique absolutistes. Et il faut que, le fondement de cette démocratie soit impérativement le droit dans toute sa rigueur, dans toute sa rigidité légale. Avec des citoyens qui respectent les règles de la convivialité, sources d’harmonies sociales, de paix nationale et de paix internationale
(Dans une crise sociopolitique sempiternelle entretenue sciemment, on ne se tait pas puis s’en sortir par la bonne porte. Et la litote, le succinct, la brièveté, ne solutionnent pas. La solution se trouve dans le large détail des: Qu’est-ce qu’il y a ? Comment ? Pourquoi ? Et après ? Pourquoi ce merdier ? Et la totalité sociale dans tout ça ? ) Oui, La Nature se marre des peuples qui se plaignent des conséquences de leurs souffrances alors qu’ils en chérissent les causes. Voilà pourquoi l’homme politique doit continuer de parler, parler, toujours parler aux citoyens)
*- Kouma ou Chronique: Il y a trop d’Apories et de Diversions dans mon pays.
Donc nous disons que, la politique est avant tout la gestion des hommes, les CV «Curriculum Vitae» ont peu d’importance en politique. Docteur en ceci, Expert en cela, Spécialistes de notoriété, savant international en tout genre, etc. Tous ceci ne valent que pour leurs sujets scientifiques, que la gestion de hommes transcende pour n’obéir qu’à la parfaite connaissance de la société humaine composite a dirigé, qui sont l’une différente de autre. C’est pourquoi, la politique n’est ni UFR, ni Science-Po, ni Normal-Sup. Elle est une science exacte, un art noble, qui admet sans faux fuyant, les différences sociopolitiques. Et la politique est un concours de représentativité au terme duquel se joue le destin de la nation, le destin de tous et le destin de chacun. Dès qu’on ne maîtrise pas ceci, il faut s’abstenir de faire la politique, au risque de créer des monstres dans la société. Surtout contre le peuple souverain, qui n’aspire qu’à vivre en paix. La politique n’est certes pas l’UFR, ni la Fac, ni Normal-Sup, ni Science-Po, mais elle est un noble art, qui s’exerce dans le respect des droits et des règles, ou les meilleurs pour la gestion sociétale ne sont pas souvent les vainqueurs majoritaires, encore moins les plus grands lettrés, «puisqu’on nait intellectuel, et prédisposé a la gestion des hommes». Tous les grands magiciens politiques vous diront que l’exercice de ce noble art est inné.
Et surtout il faut retenir ici que, paradoxalement, ce sont les plus grands malhonnêtes et affairistes mafieux, qui réussissent en politiques Africaines. Ceux qui sont capables de volé le bien public et d’en distribuer à volonté. Donc, nous disons que la politique, n’est pas la bataille entre scientifiques, « docteurs, experts, et spécialistes ». La politique, n’est pas non plus, la guerre entre groupes armés, ni la bagarre entre grands lettrés ou des règlements de comptes entre grands savants, Non ! Rappeur, comédiens, paysans, ouvriers, artisans, commerçants, transporteurs, autodidactes, agriculteurs et analphabètes « qui connaissent à la perfection la société dans laquelle il vivent », s’y excellent avec réussite. Donc la politique est un concours national de représentativité nationale, qui s’exerce dans le respect des droits, des règles et des libertés inaliénables. Et qui se gagne avec l’adhésion libre du peuple souverain, qui demeure le seul socle de pouvoir légitime. Et il est de notoriété universelle, que les plus grands meilleurs gouvernants de par le monde, lettrés ou analphabètes, sont ceux qui connaissent à la perfection la société dans laquelle ils vivent. (Doit-t-on saluer ici Karl Rove, l’architecte de la stratégie gagnante de campagne des Bush père et fils «de gouverneurs à présidents ?» Sa parfaite connaissance de sa société est son unique atout de faiseur de gouvernants.). Pas de stratégies politiques vainqueurs, sans la parfaite connaissance de son objet ou sujet, qu’est la société a gouvernée. Il est ainsi aisé de savoir pourquoi les pouvoir par les Armes impies échouent sur toute la ligne sociopolitique en Afrique. La politique est un combat permanent entre ceux qui veulent le bonheur du peuple devenu maitre de son destin, de son émancipation, de son épanouissement, de sa liberté, de son droit à réaliser son désir d’avenir et ceux qui à l’opposée n’ont d’autre vision du monde que l’enrichissement perpétuel au détriment du peuple et le pouvoir d’oppression au service de DIEU l’argent. Ou la cause d’intérêt public n’est toujours gagnante.
Oui, depuis que le monde est monde, les grands dirigeants d‘état qui ont gouvernés dans la durée, ne sont pas les plus grands hommes savant et avertis de la société qu’ils gouvernent, en matière scientifiques, et des rafistolages économico-financières. Les plus grands Lettrés « puisqu’on nait intellectuel de façon héréditaire » réussissent rarement dans l’arène politique, qui obéit a d’autre critère souverain, leur intégrité rigoriste se retourne contre eux comme contre-productif. « Nous saluons Chapeau à la main, les présidents Pascal Lissouba du Congo et Nicéphore Soglo du Benin. Le rigorisme scientifique et intellectuel ne marche pas souvent en politique ». Et réussissent encore moins, les plus grands jongleurs alpiniste, qui cabriolent a toutes les destinations du Monde. Mais les plus grands dirigeants solides, sont ceux qui sont en phase avec la légitime aspiration profonde de leurs peuples souverains consentants. Une aspiration qui s’oppose souvent à la réalité du moment et aux analyses scientifiques et expertises, doctes et esthètes. Ces dirigeants porteurs d’aspiration, qui se plaisent à transporter la voix et la volonté générale de leurs peuples souverains, pourvu qu’elle soit électoralement payante. Le droit inaliénable des peuples a disposé d’eux même le prescrit ainsi, au mépris souvent des irréfragables connaissances scientifiques. Dès lors tant pis, si le gouvernant est Planteur, paysan, Cow-Boy cinéaste, Footballeur, boxeur, comédien, rappeur, musicien-chanteur et/ou enfant de riche ou de pauvre. Le seul validant reste le peuple souverain ultime détenteur du pouvoir
*- La politique, c'est l'art de rendre possible ce qui est une nécessité sociétale réelle.
Le peuple souverain, ultime détenteur du pouvoir d’état, qui choisit librement son représentant en fonction de ses critères majoritaires de représentations nationales et de valeurs sociétales. Au terme des élections qui se doivent d’être conforme aux normes internationales. «C’est ça qui est la vérité !». La vérité qui exige aussi, que les règles de l’organisme électoral chargé du déroulement du processus électoral, doivent être consensuelles et universelles, et doivent être mis à l'abri de toute ingérence de la part des pouvoirs d'États. Principalement du pouvoir Exécutif, et l’organisme électoral chargé du déroulement du processus électoral, doit faire preuve de neutralité et d’impartialité totale, qui rassurent tous les participants aux élections. Pour ainsi veiller au respect scrupuleux des règles de droits universels, des valeurs juridique et des principes démocratiques universels. Toujours affirmés et réaffirmer par les instruments nationaux de régulations sociopolitiques conformes aux normes internationales, qui régissent de façon clair la matière des élections démocratiques, pluralistes, multipartites de par le monde. Parce que dans une élection démocratique pluraliste et multipartite, il n’y a pas de parti au pouvoir détenteur du pouvoir absolu de tous décider.
Mais, Hélas ! Malgré tout ceci, la politique ivoirienne offre un dialogue de spectacle stupéfiant, dans un processus de réconciliation nationale époustouflant, de par son caractère voulu de simple formalité exutoire à remplir. « On parle de dialogue et de réconciliation, on se quitte en fanfare, point ». Or, en politique, la vraie politique, le dialogue politique, la paix sociopolitique par une vraie réconciliation à ses exigences d’intérêt général, qui proscrivent le Moi-ou-Rien. Et oblige les politiques d’agir jusqu’à la limite de l’humainement admissible pour l’intérêt général. D’où faire la politique n’a rien de mafieux, n’a rien d’unilatéral, n’a rien de personnel, n’a rien d’exclusif, n’a rien du moi ou rien. Oui, ici, il n’y a ni chasse-gardée, ni territoire conquis ou privé, ni privilège exclusif dans toute l’assiette territoriale nationale, ni tabou dans toute la sphère publique nationale. Ici les politiques s’inscrivent dans la logique rigoriste du respect des droits, du respect des libertés, du respect des règles démocrates, et d’une société de paix pérenne. En politique, la vraie politique, le rôle assigné aux hommes politiques en période de turbulence sociétale est de rendre la société plus intelligible, plus compréhensible. Ce premier rôle d’éclaireur de la totalité sociale les revient. Ils doivent œuvrer à la proclamation des idéaux politiques intransigeants, l’expression forte des convictions idéologiques, philosophiques et doctrinaires «Ni gonflement-dégonflement, ni extase, ni transe, ni casse, ni saccage, ni brulure, ni armes fusils». Donc, toute la primauté est accordée à l’intérêt général de la totalité sociale souveraine.
Ici nous parlons des politiques, qui croient en une idéologie, et ont l’intime conviction qu’elle servirait au bien de la société dans laquelle ils vivent, et au bien de l’humanité toute entière. Et c’est cela faire la politique et exercice du noble art politique. Oui c’est cela faire la politique, conformément aux règles universelles admises de par le monde. Oui, tout comme la boxe, la politique est un noble art loyal, l’arène politique loin d’être le théâtre des grossiers mensonges, et des fanfaronnades insensées, est le noble lieu du consensus désintéressé, de la recherche de la paix pour la totalité sociale, lieu des débats d’idées, des confrontations d’arguments, des combats loyaux. Ou le politique doit s’inscrire réellement dans une démarche d’éveil de la conscience politique de la totalité sociale. Un politique digne de ce Nom, doit tout simplement pouvoir dire non à la politique de l'autruche et savoir lire entre les lignes. Un politique doit s’efforcer de connaître avec certitude la réalité scientifique des choses et se montrer juste dans l'appréciation des justes réalités des choses. En se comportant avec exactitude dans l’action politique et en agissant à la limite d’humainement admissible. Donc la politique, c'est l'art de rendre possible ce qui est une nécessité réelle.
*- En politique bien comprise, il n’y a pas de parti présidentiel qui impose tout.
Donc, la politique est la juste appréciation des réalités en s’oubliant soi-même et ses intérêts personnels, au terme de ses prises de positions politiques et sociétales, qui doivent bannir tout comportement clanique assis sur des clubs de soutien ou de brigades d’acclamations à but de confiscation du pouvoir d’état. Répétons-le, ici, le lien social est éminemment politique. C’est pourquoi le lien de rattachement social atavique, le lien de rattachement territorial ancestral, les liens de rattachement Moraux et de mœurs, les liens de rafistolages des fibres intercommunautaires immémoriales des dirigeants politiques avec les peuples qu’ils gouvernent ou prétendent vouloir gouverner, doivent être extrêmement très solides. Ce qui est un gage de la reconnaissance de tous dans leurs originalités absolues à l’intérieure de l’égalité de tous. Cela au-delà des diplômes et spécialités scientifiques. Sinon les crises sociopolitiques sempiternelles, deviennent la règle de gouvernance dans la société. Oui, le sentiment d’appartenance sociale atavique annihile les instincts de violences et de barbaries des plus forts à l’égard des plus faibles dans une société. Et amène les plus forts de la totalité sociale à organiser la solidarité envers les plus faibles dans la société solidaire.
Oui répétons-le, la compétition politique qui s’exerce dans le respect des règles universelles démocratiques, n’est ni Normal -Sup, ni UFR, ni Science-po. C’est un concours de représentativité au terme duquel se joue le destin de la nation, le destin de tous et le destin de chacun. Donc, pour un meilleur destin de notre patrie la côte d’ivoire, pour un meilleur destin de tous, et pour un meilleur destin de chacun. Il est temps pour chaque citoyen de se poser la question de savoir que, jusque-là: « Ais-je fais, bien fais pour mon pays ce que le dois ». Oui, le dialogue politiques est un désir de rendre la condition de vie meilleur dans la totalité sociale souveraine, une lassitude des conflits sociaux intempestifs, des crises sociopolitiques répétitives, la crainte des mauvais évènements sociopolitiques funestes et mortifères. Il est la recherche inlassable de la renonciation au désir de vengeance par l’acceptation de l’abandon des blessures du passé. « D’où la charité bien comprise commence par soi-même, le faiseur de miracle doit pouvoir faire des miracles chez lui-même ». Oui, faire la politique noble art, c’est dissuader et convaincre, c’est persuader, et persévérer, à toute épreuve dans les mêmes positions et discours, c’est persister dans la pire des situations au risque de sa vie. Mais hélas ! Mille fois hélas ! On parle de dialogue politique ivoirien alors que chaque homme politique ivoirien est prêt à liquider son voisin de table au dialogue politique, dans des hallalis des pièges roublards qui volent en escadrilles dans les baffons du dialogue de diversions. Ils opèrent comme des cowboys Américano-mexicain. Tout en épargnant leurs applaudimètres et leurs brigades d’acclamation. Bon ! Une véritable menace pour la société et les citoyens, quoi ! Leurs l’Animosité intolérante, et leurs haines de l’autre, au sein d’une meute de bouffes-tout, sauteurs, arides, soudards, exhibitionnistes, et une horde de cooptés politiques, devenue une clownesque et lamentable cantonade clanique, qui ne songent qu’à japper aux mollets des politiques récalcitrants, rend périlleux la vie dans la société. Leur credo compromissoires de cooptations monnayables, portent en eux-mêmes les germes de toutes les crises sociopolitique, comme les muées portent inexorablement l’orage.
Oui, retenons-le, le travail du gouvernant, est un métier de gestionnaire des biens publics, de sauvegarde saine des ressources naturelles souveraines, qui exige l’anticipation des perspectives d’avenir de la totalité sociale souveraine dans le temps, et d’obvie les crises sociopolitiques et la course dénaturante effrénée à une vitesse incontrôlée, acculturant, désocialisant, vers un but de développement désordonné. «L’Afrique de l’ouest à ses pratiques politiques exemplaires et à ses bonnes marches de gestions sociopolitiques qui progresse sûrement et a dent de scie, gradué et graduel, «au Ghana et sinon même au Sénégal». Oui, des pratiques et des marches qui proscrivent les dettes astronomiques dépossédant, véritable fardeau social, qui tend vers la systémique dénationalisation économique des réalisations infrastructurelles». Oui, à l’aune des pratiques universelles, et à regarder à la lampe des lumières que projette le prisme des règles universellement admises de par le monde, dans une élection démocratique pluraliste et multipartite, il n’y a pas de parti présidentiel qui impose tout. Il ne doit pas y avoir un groupement politiques « qui exerce le pouvoir d’état momentanément jusqu’à l’échéance électoral prescrite », qui doit décider du processus électoral unilatéralement. Oui, il n’y a que des potentiels candidats aux élections démocratiques, et des citoyens électeurs libres de tout engagement, ou de la société civile, des partis politiques ou mouvements politiques, qui décident consensuelle-ment tous ensembles unis du processus électoral.
*- Si la côte d’ivoire doit être au rendez-vous de la démocratie du 21e siècle il faut bannir à jamais l’usage des armes.
Oui, en politique, il est illusoire de vouloir installer un Etat républicain de droit démocrate, là où derrière une république de façade, se cache un système politique absolutiste. D’où l’inutilité d’espérer d’un dialogue politique sincère, d’une vraie réconciliation et d’une paix sociale. Dans ce cas, s’il n’y a pas de régulation de la totalité sociale, c’est une politique politicienne de démocratie de façade qui s’installe en maitre absolue de la totalité sociale.
A –* démocratie de façade parce que, l’arène politique nationale serait fragilisée à l’extrême par l’élément clanique, partisan, tribal, ethnique, régional, religieux et autres intérêts spéciaux mafieux, nationaux ou internationaux.
-* Démocratie de façades parce que, la complaisance politique intéressée serait toujours présent lors du choix des gouvernants chargé de la gestion des affaires publiques de la totalité sociale et de la gestion des deniers publics.
–* Démocratie de façade parce que, la corruption à grande échelle « ou la me-gestion généralisée » serait toujours au rendez –vous dans les différents sphères de l’Etat dirigé par l’absolutisme qui veut tout le pouvoir sans retenue.
-* Démocratie de façade parce que le magistrat suprême « président de la république et chef de l’état », lié à telle ou telle puissance extérieur auprès desquelles et en contre partie du soutien effectif ou promis, il reçoit directive mots d’ordres et consignes, et avec lesquels il partage les bons procédés de gouvernances par ordonnances Monarchistes et la politique politicienne d’attrape-tout, pomperont à souhait, à volonté le bien public, les ressources naturelles.
-* Démocratie de façade, parce que, le combat politique loyal pour le développement intégral de l’homme sans exception, et de tout citoyen demeurerait un simple slogan ventiler par les dirigeants absolutistes et dirigistes, pour arriver à leurs fins de vols, de pillages, de défenestration économique, de concussions, de copinages et corruption.
-* -Démocratie de façade enfin parce que, les libertés individuelles et les droits fondamentaux élémentaires du citoyen et de toute personne humaine seront toujours loin d’être garantis dans les faits dans notre pays martyrisé.
*- Démocratie de façade, parce que, la sphère politique, l’espace public, encore moins le pourvoir d’Etat, ne sont pas des plantations d’une meute aride, de ballons de Basket, « BLÄ BLÄ BLÄ», d’une camarilla d’affairistes et dirigiste.
B- Donc il faut avoir le courage politique de réclamer et revendiquer ce qu’est de droit citoyen, de droit républicain
1-) Il faut que les actions politiques qui gardent des hommes politiques inférieurs face aux supérieurs détenteurs du pouvoir d’état, soit complètement et pour toujours discréditées et abandonnées par ses initiateurs au pouvoir.
2-) Il faut que toute politique qui crée des citoyens complets et des sous-citoyens dans notre pays la Côte d’Ivoires soit bannie à jamais de la sphère publique, de l’arène politique et des conceptions et mentalités politiques.
3-) Il faut que la couleur politique de quelqu’un n’est plus de signification que la couleur de ses idées novatrices.
4-) Il faut que les droits humains basiques inaliénables soient garantie d’une manière égale pour tous, sans attacher d’importance à la couleur politique et à l’idéal sociétale défendu, sans différenciation aucune « ethnique, tribale, communautaire, régionale, « nord-sud et est-ouest, je suis X, je vais le montrer X, il ne connaît pas X, est un volcan».
5-) Il faut que ces valeurs deviennent une réalité incontournable dans notre pays la Côte d’Ivoire, sinon les rêves d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociale sans lesquels il y a point de développement, d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement et d’une gouvernance conforme à la moralité internationale voulu par Félix Houphouët Boigny, demeureront une illusion pour la Côte d’Ivoire, un objectif recherché mais inatteignable.
6-) Il faut que les citoyens ivoiriens aient le courage de parler dans l’arène politique, comme les citoyens libres et égaux en droit civil et politique de nos dirigeant ivoirien, dirigeants, qui doivent accepter par conséquent la contradiction d’idées, et la confrontation des arguments autour de la chose public et l’opposition philosophique et idéologique. Tant qu’il n’en sera pas ainsi dans notre pays, la Côte d’Ivoire ne connaîtra jamais la paix sociale pérene
7-) Il faut que la pluralité des conceptions politiques et sociétales, les positions idéologiques et morales soient une réalité manifeste et soient considérer comme un enrichissement de la diversité solidaire, au cas contraire les crises sociopolitiques et civiles continueront à peuplé le présent et l’histoire de notre pays la Côte d’Ivoire d’Houphouët.
8-) Il faut que la tolérance réciproque et le respect des différences politiques, ethniques, communautaires, tribales, et régionales « sans ouest-est et nord-sud » d’autrui, soient accepter par tous comme règle de la vie en commun et baliser par des normes de régulations sociales acceptées par tous, qui nous éviteront les crises et de morts à l’avenir
9-) Il faut que la politique ivoirienne ait pour substrat le respect des règles démocratiques, des libertés et du droit universel, pour permettre d’obvier d’autres crises sociopolitiques latentes et des crimes plus graves dans l’avenir.
10-) Il faut que les partis politiques ivoiriens soient des outils citoyens d’intelligences collectives, pour transformer l’expérience concrète de chacun en une stratégie nationale commune d’ensemble. Le tout évoluant dans un espace national civilisé dans lequel espace national policé se reconnaissent et se battent démocratiquement à la loyal ceux qui n’envisagent pas le débat politique loyal et le combat démocratique à essence contradictoire, sous la forme d’une guerre civile opposant deux armés rivales et ennemis juré qui ne pensent qu’a exterminés mutuellement.
11-) Il faut que, si la côte d’ivoire doit être au rendez-vous de la démocratie moderne du 21e siècle qui banni à jamais l’usage des armes dans l’arène politique, certains comportements anti-démocratiques sont à bannir avec ses supports qui sont des hommes politique absolutistes qui ne reculent jamais, qui se nourrissent de l’obscurantisme.
12-) Et il faut que, le fondement de cette démocratie soit impérativement le droit dans toute sa rigueur, dans toute sa rigidité légale. Avec des citoyens qui respectent les règles de la convivialité, sources d’harmonies sociales, de paix nationale et de paix internationale. Sur ceux citoyen ! Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et sociale pour tous.
*- UN KOUMA « chronique » de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.
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