La Légitimité Citoyenne, « Citoyen et républicain social «LC-CRS», mouvement d’utilité citoyenne, «doublement centriste», né à partir d’un besoin d’utilité citoyenne « stabilité et paix sociopolitique », face à l’ébauche d’une crise en 1994, après avoir existé sous diverses dénominations «d’association de jeunesses-H» à partir de 1983. Nous abhorrons le rigorisme inflexibles des clivages politiques, notre éclectisme impassible s’accommode peu avec la défense des appartenances d’intérêt particulier, l’antagonisme de la division dissolvants. « Légitimité Citoyenne LC-CRS ».
*- Chronique «Kouma» : On veut plus de juridisme qui trouble l’ordre social.
(Bon ! Que dire d’emblée, sauf que la côte d’ivoire, depuis le 24 décembre 1999, est le creuset des : Constituions alibi et paravent justificatif, est le lieu de Forum de réconciliation foiré, et des accords politiques inter-ivoiriens de toute sortes, et de tout cadres, « accord de Lomé, accord de Linas- Marcoussis, accord de Pretoria, accord d’Accra, accord de Ouaga », et toujours transcrits dans les registres validant, de l’ONU, de l’UA et de la CEDEAO, en emportant ainsi, droits et statuts d’accords internationaux. Au surplus des évènements sensé conduire à la paix, «Flamme de la paix à Bouaké les 30 et 31 juillet 2007, Commission Dialogue Vérité et Réconciliation (CDVR) ». Mais non ! Demain sent toujours la poudre de la fracture sociopolitique. Oui, la côte d’ivoire est dans la nasse, notre pays est dans le pétrin d’un merdier conflictuel, la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, peine à monter à la surface d’une abyssale crise sociopolitique voulue, par un manichéisme sociopolitique, qui a atteint le summum de la sado-perversité. Oui, cette crise n’a été possible, n’a pu se concevoir et se faire, que dans la seule hypothèse, ou notre pays est devenu l’ombre de lui-même, par la faute des politiques carriéristes, primaires, cyniques, et obscurantistes. Oui, les difficultés que les diverses communautés nationales éprouvent à vivre pacifiquement ensemble, sont souvent dues aux multiples tensions attisés par les hommes politiques faute de dialogue inclusif. Or, c’est ce qui risque d’être fatale pour la côte d’ivoire et pour le citoyen ivoirien, s’il doit exister par la côte d’ivoire souveraine dans le concert des nations. Bon !)
*- Un communiqué qui confine les citoyens dans l’appréhension, que l’accalmie précède l’orage et la tempête.
Bon ! Nous ne sommes que dans l’après-Midi de l’élection présidentielle d’octobre 2020, qui est le lendemain de celles de 2010-2O11 et nous, nous interrogeons sur celles de demain. Donc, nous ne sommes pas contre le dialogue politique et la réconciliation nationale, mais nous sommes pour la paix sociopolitique, garantie dans le temps. Donc, pour arriver au terme d’une recherche inlassable parfois ingrate à cette paix sociopolitique, il faut inexorablement dialoguer dans l’ordre du public autour de la chose sociale. Qui ne doit pas être considérer comme une plantation privée de quelque composante sociétale quelle qu’elle soit. Et dans l’ordre du public, autour de la chose sociopolitique, qu’est l’espace de droits pour tous, le consensus doit être de rigueur. Dans l’élaboration des normes de régulations sociopolitiques et d’aller ensuite a de bonnes élections réellement démocratiques, qui sont de notoriété publique source de paix sociopolitique. Avec l’acceptation réciproque sans exclusive des ambitions milles fois légitimes de candidatures aux différentes élections post-réconciliation nationale. Et pour se faire, pour y arriver, il s’impose à chaque camp de combattre les extrêmes qui se cristallisent à son sein et qui pourrissent la vie sociopolitique. Quand bien même, il ne serait peut-être pas possible, de transformer par un coup de baguette magique, des aveugles absolutistes délinquants en démocrates loyaux, ou en républicains respectueux des valeurs conventionnelles. Mais, ici, les positions intéressées des extrêmes, de certains clans politicards, peuplé de ripoux rafistolés à des intérêts pécuniaires, égoïstes, égocentriques, devenus sourds, peuvent empêcher chemin faisant, le dialogue sincère inclusif, de tous ensembles unies, vers une réconciliation, pour un exercice honnête du noble art politico-démocratique sans violence armée. Oui, un exercice plein et entier qui exprime la souveraineté du peuple.
Le peuple qui recouvrera ainsi sa souveraineté totale, qu’il confiera à qui, il veut au terme de ces élections devenues ainsi véritablement pluraliste et démocratiques, respectueuses des droits inaliénables et règles démocratiques. Oui en convenons-en, le consensus national qui conduit aux élections démocratiques, transparentes, équitables, libres et justes, avec les valeurs de solidarité sociale et d’harmonie communautaire, que cela sous-tend inculqué au peuple souverain, par une écoute sérieuse des politiques, peuvent constituer la sève nourricière de la construction d’une nation ivoirienne redevenue paisible, harmonieuse, dans un monde en perpétuel mouvement. Il est constant et irréfragable de par le monde qu’une machette mal tenue peut blesser grièvement celui qui l’utilise. C’est la même chose pour l’outil démocratique, qui mal exploité peut tuer les droits inaliénables, les libertés individuelles et peut conduire au bain de sang humain. Donc la démocratie doit être assise sur le droit et sur la liberté. C’est là que le tout ivoirien, se voit dévolus un rôle essentiel, primordial, existentiel, devant l’histoire et devant le monde entier, aider la démocratie ivoirienne à obvier les crises sociales qui peuvent entrainer des bains de sangs, aider la totalité sociale souveraine, à bâtir les droits inaliénables, les libertés individuelles, la paix sociopolitique pérenne Houphouët-ienne
*- Prenons conscience que la crise ivoirienne est une honte pour la philosophie politique de Félix Houphouët Boigny.
Donc disons-le net, il est constant de par le monde que, la grandeur politique ou électorale d’un homme ou d’un partis politiques, n’est pas dans la foule qu’il peut drainer dans ses meetings politique, soutenus par des brigades d’acclamations, mobilisées par des frais tirés dans les caisses publiques de l’état et au cours de ses campagnes. Ou même dans sa capacité a entrainé tous les politicards, renégats, nihilistes, iconoclastes, ripoux politiques du pays dans son sillage. Mais la grandeur électorale d’un homme politique, est dans la confiance dans ses actions politiques d’intérêt général exprimé dans les urnes électorales par le peuple souverain. Et dans sa capacité d’orienter le peuple souverain, dans la cohésion sociale, dans l’harmonie communautaire et dans la paix sociale pérenne, sans violences aucune quelle qu’elle soit. Avec l’anticipation dans le temps des perspectives d’un avenir meilleur, paisible, commun et partagé. La grandeur d’un homme politique ou des partis politiques est toujours matérialisée par un vote massif d’adhésion, au cours des élections démocratiques, « 50% de l’électorat total au moins», sans aucune saugrenuité.
Ainsi, le peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état, valide le processus par un taux de participations largement majoritaire a plus de 50% de l’électorat total inscrit sur la liste électorale. Et par un pourcentage obtenu dans ce taux de participation par l’homme politique ou les partis politiques au terme d’une élection démocratique, transparente, juste, équitable et pluraliste. Donc, la grandeur d’un homme politique ou des partis politiques se trouvent là et pas ailleurs. Donc tous ensembles unis, optons pour le dialogue largement inclusif, pour obtenir une vraie réconciliation nationale, gage des élections crédibles. Au cas contraire les mêmes chaos sociaux sempiternels continueront dans notre pays, au moment où une clique de ripoux politicards se sucre sur le dos du peuple. Oui, prenons conscience cette crise est une honte pour la philosophie politique de Félix Houphouët Boigny. Donc, méfions-nous tous ensembles « ivoiriens » d’une conversion de notre société autrefois paisible, et d’harmonie inter- communautaires, de cohésion sociale et de paix sociopolitique pérenne héritée de Félix Houphouët Boigny, en un clanisme mafieux, politicard, renégat, nihiliste, iconoclaste, de ripoux politiques, a la recherche éperdue d’intérêt particulier, de petits terrains partisans, sectaires, obscurantiste, communautaire, régional, religieux, tribal, ethnique à des fins d’ambitions politiques. Sinon de conquête ou de confiscation du pouvoir d’état dans la durée temporelle.
*- Dans une nation en crise sempiternelle, le redressement des griefs sociétaux annihile le désir de vengeance.
Oui, allons au dialogue sincère non-politicien, pouvant aboutir sur une vraie réconciliation nationale, dédouanée de scorie passéiste, de tapis politicien glauque et visqueux, et de boues rependues. Et boucler le tout par une Amnistie générale référendaire unificatrice et fédératrice. Parce qu’il est constant en politique que, la souveraineté nationale, la dignité humaine, le progrès social, le développement économique de la nation et de chaque citoyen, la défense de la nation, de la république, et la réciprocité étatique, rien de tout ceci, n’a de sens et d’importance, si les diverses communautés nationales et toute la classe politique nationale diverse dans son entièreté, ne se reconnaissent pas chacune fièrement et ostensiblement dans une appartenance nationale commune et unique. Oui, si entre les diverses communautés nationales et la nation souveraine, il n’y a plus rien d’autres que, la loi du plus fort. Si entre la nation souveraine et le monde universel, il n’y a plus rien d’autres que l’interpénétration des affaires mafieuses d’une mafia internationale des grands usuriers internationaux dans la politique nationale sensée édicté des décisions souveraines pour la vie de la nation, qui est supposé être sans interférence étrangère et de souveraineté.
Donc méfions-nous de ce clanisme hyper Ambitieux, il n’y a aucune paix possible avec son socle systémique qu’est le mercantilisme ambiant. Il n’y a aucune route avec ces gens-là, d’un Rassemblement vampirique d’affairistes, qui ne reculent devant aucune catastrophe sociopolitique, pour assouvir leur dessein. Ce qui est l'affirmation en acte de la volonté d’un clan, d'infléchir, de corrompre, le destin de la nation et du peuple, pour le réduire à leur seule exigence politique. D’où leur credo politique compromissoire sans projets, de cadenas-sage au tour du système des élections démocratiques est l'expression la plus antagonique du droit à la stabilité sociopolitique, à l’harmonie sociale et intercommunautaire, à la paix nationale et internationale. Oui, leur crédo est connu, ne pas résoudre les crises, mais les aggraver à dessein, qui dénote non seulement le ridicule politique, mais aussi la bassesse d’ambitions politiques perverses, en ce sens que ces agissements sont porteurs de périls pour leurs auteurs, artisans d’entretien sciemment d’une situation sociopolitique abracadabrantesque. Et ouvriers notoires d’une versatilité effrénée et saccadée, dans l’action politique salvatrice de régulation sociale. Surtout ce agissement est porteur de péril pour la totalité sociale souveraine. Oui, ici, leur pitance est la priorité absolue et le reste on verra bien. Or il est d’une absolue constance indéniable, qu'en politique, c’est en permettant à chacun de poursuivre sans violence le redressement de ses griefs sociétaux, qu’on arrive aisément à désarme la violence. Par conséquence, on arrive à investir le pouvoir politique d’état, d'une force morale immense. Ce qui rend toute entreprise factieuse impossible. Répétons : Ce qui rend toute entreprise factieuse impossible, dispense de recourir à la force en politique. Le redressement de ces griefs sociétaux annihile le désir de vengeance au terme d’une réconciliation nationale post-crise sociopolitique, ou post-guerre.
*- Les ivoiriens de tout bord politique doivent pouvoir s’unir, pour sauver la côte d’ivoire d’Houphouët Boigny.
Oui, au terme d’une crise sociopolitique, permettre à chacun sans violence de voir le redressement de ses griefs sociétaux, signifie pour nous, dédommager les victimes, aller tous unis, au pardon, a l’autocritique, à la contrition et à la repentance. Et de conclure le tout par une Amnistie générale référendaire, qui repose sur le droit international coutumier, «le droit des droits ». Qui tient en l’état, le droit d’application sans frontière, qu’est le droit international des droits de l’homme, avec sa politique humaniste de l’imprescriptibilité des crimes contre l’humanité. Depuis que le monde est monde ça toujours été comme cela. Nul par au monde, l’humanité n’est allé contre la volonté exprimée d’un peuple souverain. Même en 1933, avec l’élection Adolf Hitler, elle s’est contentée de souligner, qu’il ne convient pas d’aller à l’encontre de la volonté d’un peuple souverain. « Aussi, il faut retenir formellement, que la politique humaniste de l’imprescriptibilité des crimes contre l’humanité, est l’apanage des défenseurs des droits de l’homme, qui veille dans le respect strict des exceptions, sur les valeurs prescrites que toute l’humanité s’est donné».
Donc, une Amnistie générale référendaire, s’impose à tous. Sauf à vouloir troubler l’ordre social, par une ingérence dans les affaires souveraines d’un autre état devenu paisible. Une paix instaurée souverainement, consensuelle-ment, et unanimement par la totalité sociale de ce état souverain, au terme d’une Amnistie générale référendaire, voté par un peuple souverain. Oui, elle s’impose à tous, sauf à vouloir voir de très près, les couleurs des murs de la MACA nationale, dans l’attente d’une prise de conscience, de la souveraineté absolue d’un peuple sur les affaires intérieurs de sa nation libre et souveraine. Puisqu’il est d’une constance indéniable, de par le monde que : Quand la clémence qui résulte d’une Amnistie générale référendaire consentie par un peuple libre, peut ramener à l’amour, à l’harmonie communautaire, à la stabilité sociopolitique, à l’ordre sociopolitique, à la paix sociale pérenne, et au respect des lois prescrites, ceux qu’une inflexible sévérité politico-judiciaire tiendrait armée contre la totalité sociale, l’Amnistie générale référendaire, est recommandée par la grande loi du bien public, fin essentielle de tout gouvernement, qui ne peut exister que dans l’ordre social, dans la stabilité sociale et dans la paix nationale et internationale, tout est inextricablement liée. C’est pourquoi tous les grandes nations ont eu recours à cette valeur.
Les ivoiriens unis, solidaires, en mettant en commun volontés, idées, pensées, actions, peuvent réussir l’impossible.
Donc, pour nous, «a la légitimité citoyenne», un dialogue se doit d’être peuplé de discussions franches sans tabous, de soins et pansements des plaies sociales béantes et puantes, de rafistolages du tissus sociocommunautaires, de désaccords politiques maîtrisés, du respect de l’intérêt général de la totalité sociale, de compromis sociopolitiques réalistes d’intérêts nationaux et de coopérations de tous entre tous, pour que chacun soit restaurer dans ses droits inaliénables. Et aussi pour nous, «échanger dans la vérité sur les points de vue de toutes les grandes questions de la nation», cela inclus la sécurité nationale, au moment où les criminalités transfrontalières sous couverture religieuse, volent en escadrille dans la sous-région Ouest Africaine. La lutte contre le trafic de drogue «des tonnes de cocaïne», constamment dans nos cités, en passe de devenir une vraie passoire, cela pour que la vie sociale ne soit pas droguée à la cocaïne des narcotrafiquants. Et le trafic d’être humain, comme les 8 jeunes filles mineures, convoyées de leurs Nigeria natal pour la côte d’ivoire, destinées à une activité de mœurs dépravée, et interpellées dans le nord ivoirien, cela pour ne pas que, comme d’autres l’ont déjà dit que « les seins et fesses n’aient plus de valeurs que l’intellect dans notre pays », notre pays qui ne peut s’accommoder avec la moutonnerie du proxénétisme ambiant, immoral et amoral. Et aussi «échanger dans la vérité sur les points de vues de toutes les grandes questions de la nation», suppose de se pencher sur des mesures capables de restaurer la cohésion social et intercommunautaire, de restaurer la confiance et la solidarité agissante entre ivoirien et dans tout le système de l’organisation sociale, et un processus électoral, qui rassurent tout le monde. Et ensuite de s’inscrire tous résolument dans la logique de la seule voie praticable vers une vraie réconciliation nationale, vers la stabilité et la paix sociopolitique en côte d’ivoire.
Une solution principale, pyramidale qui n’a pas de succédané et un tout inextricablement lié convergent vers la stabilité politique. comme suit: 1)- Libéré les prisonniers politiques, 2)- Faire rentrer les exilés politiques, 3)- Ouvrir le dialogue social sincère 4)- Aller au pardon devant le peuple souverain avec LE POURQUOI DU PARDON, et le courage de dire la vérité, rien que la vérité, 5)- élaborer un vrai système de dédommagement de toutes les victimes de la crise querellée de 2002 à 2011 jusqu’à ce jour. 6)- Couronné le tout par une Amnistie générale référendaire, qui doit être votée à 80% de Oui au moins, et a plus de 70% de l’électorat total inscrit sur une liste électorale devenue fiable. Mais hélas ! Pour nous, le frottement des 3 grandes montagnes de la politiques ivoiriennes, à contribuer au terme d’un communiqué laconique de maintenir les craintes, mêmes sur les accessoires, «équilibrage du découpage électoral, brossage et restructuration du conseil constitutionnel, commission électorale, liste électorale, d’un pays de 30.000.000 d’habitants et 7.397.413 électeurs seulement sur un fichier électoral, manifestation du dégout citoyen ».
Un communiqué expéditif et lapidaire qui maintien la question de savoir, qui décide, qui a l’initiative, à quel niveau ça va ou ça doit se décider, de qui ça dépend et de quoi ça dépend, etc. Malgré un système institutionnel de gestions électorales confligène et un cadre organisationnel opaque des élections, qui ne rassure personne et qui exige solution et urge remède. Oui à défaut d’un acte concret inscrit dans une dynamique de paix sociopolitique, qui pouvait solutionner la crise, les citoyens sont restés dans l’appréhension, sachant avec conscience et fort des antécédents que, les sociétés humaines progressent non pas de façon linéaire, mais par fracture aussi imprévisible que le tremblement de terre. Que ceci est valable pour sa société ivoirienne qui peine à monter à la surface d’une crise *- Retenons-le, la crise n’est pas derrière nous. La crise demeure dans la société a nos côté et chaque jour elle est un peu plus visible, parce que logé dans des bicoques de l’injustice juridico-judiciaire et de l’injustice sociale et politique, nourris a la haine de l’autre et dans une organisation sociopolitique, qui abhorre les différences sociopolitiques, pour n’adorer que le clanisme des appartenances affairistes, de copinages, de concussions, etc.
Donc c’est parce que, nous vivons une accalmie qui précède l’orage et la tempête, et que nous tendons vers une nouvelle crise sociopolitique certaine et le pire des périls sociétal guette la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, qu’il y a urgence à remédier au mal sociétal. Oui, si nous voulons obvier d’autres crises sociales plus graves, une vraie réconciliation nationale couronnée par une Amnistie générale référendaire est la seule voie possible de droit. Oui, il est constant de par le monde, qu’en politique, qu’en démocratie, et dans l’ordre du public, ou il s’agit de la chose publique ou de l’intérêt général, tout doit être consensuel, et le referendum est le meilleur outil d’expression de la souveraineté populaire. Ou le peuple souverain agit alors dans sa souveraineté pleine et entière, autrement que par procuration politique élective, ou d’adhésion politico-idéologique. Donc au terme d’une vraie réconciliation nationale, donnons la parole au peuple ivoirien, allons chercher la vérité ou elle se trouve dans le peuple souverain, allons chercher le bon remède ou il se trouve et la vérité germera ou émergera, et la côte d’ivoire sera guérie une fois pour toute. N’oublions pas, les crimes contre l’humanité sont imprescriptibles, cette politique n’a de limite que dans les peuples souverains. Oui, aussi ne l’oublions pas que notre crise est une crise du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect du droit par une meute de politicards, incapables de s’adapter à l’art du vivre en commun dans le respect des droits inaliénables des peuples souverains à disposer d’eux-mêmes. Oui, les ivoiriens réunis tous ensemble solidaire, en mettant en commun volonté, discussions, idées, pensées et actions peuvent réussir l’impossible, l’impensable, n’importe quel miracle et peuvent relever n’importe quel défi sociopolitique. La crise ivoirienne qui perdure depuis 22 ans pleins, avec des violences armées cycliques, «24 décembre 1999, 18-19 septembre 2002, 2011 et 2020» situe désormais sa solution au stade d’urgence absolue et de l’immédiateté d’intérêt public. C’est de cela qu’il s’agit, ici et maintenant pour la côte d’ivoire qui peine à sortir dans une honteuse crise.
«La paix n'est pas un vain mot, mais un comportement», a dissuadé nos petits tendons qui n’aspiraient qu’à GNAGA.
Oui, la côte d’ivoire ne s’en sortira jamais par la voie judiciaire, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par le régulation intercommunautaire et sociopolitique, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par l’ordre social restaurer, qui proscrit la loi de la jungle, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par la stabilité sociopolitique, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par l’harmonie intercommunautaire, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par la paix Houphouët-ienne, d’où l’injustice judiciaire est préféré au désordre sociopolitique, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par une Amnistie générale référendaire des faits querellés de 1994 à la date du vote référendaire de cette Amnistie générale consensuelle. Ce qui signifie pour nous, (à la Légitimité Citoyenne, Citoyen et républicain social «LC-CRS,», doublement centriste, mouvement d’utilité citoyenne né à partir d’un besoin d’utilité citoyenne, stabilité-paix, face à l’ébauche d’une crise en 1994, après avoir existé sous diverses dénominations «d’association de jeunesses-H» à partir de 1983. Nous abhorrons le rigorisme inflexibles des clivages politiques, notre éclectisme impassible s’accommode peu avec la défense des appartenances d’intérêt particulier, l’antagonisme de la division dissolvants. Et surtout, fortement attaché aussi à la légitimité citoyenne et aux droits et libertés des citoyens, nous revendiquons ainsi souvent le droit ponctuellement d’aller en enfer pour nos opinions politiques et de déplaire à certains hommes politiques. Nous n’œuvrons pas dans l’exhibitionnisme visuel et la propagande orale, nous inscrirons nos actions sur le registre de l’efficacité, du durable et du concret. Mais nous sommes disciples d’une philosophie politique de paix et partisane des politiques de paix sociales, quelles qu’elles soient), donc Amnistie générale consensuelle disons-nous, signifie pour nous que, les ivoiriens de tout bord politique doivent pouvoir s’unir pour être le gyroscope du souverain «l’état républicain de droit», et pour sauver ou orienter, la côte d’ivoire d’Houphouët Boigny, vers sa mœurs atavique.
Il est question pour chaque ivoirien de soulever sa tête pour dépasser son être pour la patrie déchirée en péril. Oui, tous fondus dans une moule ivoire régulatrice, est l’unique solution invariable. Le combat de leaderships politiques, d’appartenance idéologique doivent pouvoir attendre l’après régulation juridico-sociopolitique. Le peuple ivoirien, ne veut plus de juridisme intempestif cyclique et effréné, qui trouble l’ordre de la totalité social souveraine. Donc, disons-nous que, dialogue politique-réconciliation ou pas. La côte d’ivoire a besoin de stabilité sociopolitique et de paix «Houphouët-enne» d’abord. La conquête du pouvoir d’état, ou la recherche de s’éternisé au pouvoir d’état, ou même la personnalisation de fait ou de force, du pouvoir d’état, ne doit pas se faire au mépris de la volonté de la totalité sociale souveraine et en dépit de l’impérieuse nécessité d’y ’aller à la paix sociopolitique. Qui ne doit pas se faire dans une politique, de dévalorisation du reste de la composante sociétale étatique et de la totalité sociale souveraine diverse, en se privant ainsi de l’expérience des autres différences et appartenances ou de l’idéal sociétal commun. Donc nous, nous répétons, la vie démocratique est l’apprentissage des limites, avec selfs contrôle, jusqu’à la limite de l’humainement admissible conformément aux règles et aux droit universel. Et l’exercice politique exige l’autocontrôle, l’autocritique, la contrition la repentance. Et qu’à chaque crise, que les dirigeants obéissent aux règles universelles de refaire la réelle preuve de leurs légitimité et de leurs légalité qui en ressort ou qui en dépend.
L’exercice politique exige ainsi le respect de la diversité politique, la pluralité d’opinion, le consensus sociopolitique à toute épreuve, au tour des règles loyales, qui régissent la vie en commun, tout en admettant l’autre comme son égal en droit et devoir. La détention du pouvoir d’état doit obéir aux respects des droits et des règles préétablies. Oui la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, rabaisser et souffrante, a besoin de stabilité sociopolitique et de paix d’abord. Ce qui exhibe un grand défi politique de recherche de la cohésion sociale, de l’harmonie communautaire, et de la paix sociopolitique. Ici ce qui doit être recherche inlassablement, c’est la Paix, la Paix, et la Paix. (*- La paix ne naîtra que de la paix: non point de la paix conclue après une bataille, mais de la paix débattue sans bataille et érigée en victoire définitive de l'idée sur le sabre. *- La tolérance est mère de la paix. *- La paix n'est pas un don de Dieu à ses créatures, c'est un don que nous nous faisons les uns aux autres.*- La paix n'est pas un vain mot, mais un comportement, etc.) «Sur ceux, nous avons Kouma »… Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.
*- UN KOUMA « chronique » de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.