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22 août 2021 7 22 /08 /août /2021 16:29
Lepetitfils: Bon ! Nous aurions fait dire au pouvoir Ouattara, que la côte d’ivoire a besoin de réconciliation vraie, de stabilité sociopolitique, que c’est pourquoi nous sommes-là, avec notre sale gueule puante de citoyen libre, sachant que ça peut tourner au délit de sale gueule. « Jacques Chirac nous en n’a enseigné des délits de sales gueules».

Lepetitfils: Bon ! Nous aurions fait dire au pouvoir Ouattara, que la côte d’ivoire a besoin de réconciliation vraie, de stabilité sociopolitique, que c’est pourquoi nous sommes-là, avec notre sale gueule puante de citoyen libre, sachant que ça peut tourner au délit de sale gueule. « Jacques Chirac nous en n’a enseigné des délits de sales gueules».

*- Chronique : La loupe de Lepetitils Da Candy.

«Soulignons d’emblée que le but visé par cette chronique ci-dessous est une modeste contribution à recherche inlassable parfois ingrate de la stabilité sociopolitique et de la paix pérenne dans notre pays la côte d’ivoire ».

Donc nous disons que: Si nous, on avait encore des portes voix, «puisque des malheureux et catastrophiques décès nous en n’ont privé», nous aurions fait dire au pouvoir Ouattara, qu’après dix «10 » d’absence de notre pays, que nous sommes de retour, en espérant de la paix et de la réconciliation, si nous avions une part à prendre dans ce processus le droit citoyen l’exige. Que mais, notre premier constat est amer, la côte d’ivoire n’arrive pas à résister à l’influence de la culture orientale, et asiatique, a l’image de toute notre Afrique Noire. La côte de Félix Houphouët Boigny s’affaisse et plie sous le poids de l’expansionnisme culturel nébuleux. La clarté ancestrale est désormais obéissante à l’obscurantisme des non-dits et des sous entendues. À Abidjan, on n’est plus à New-Dehli en Inde, qu’à Paris ou à New-York. Le vert des espaces publics, tout vert d’hier, à céder la place aux brumes et aux ocres des bétons entassés et condensés. Oui, notre première vue est effroyable, une société installée dans un grand désordre, dans la logique, du chacun pour soi et Dieu l’argent pour tous. «Ce qui est le propre de l’ultralibéralisme de jungle de par le monde».

Donc, oui nous aurions dit à notre portevoix, que nous avions fait le constat dégradant que ; La côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, «notre pays à nous», est désormais un étouffoir mental déshumanisé, un foutoir merdier d’obscurantistes, peu catholique a tout point de vue. Une clinique de formatage des esprits, au service d’une escroquerie morale et intellectuelle, afin de pouvoir arriver au lamentable bornage dans un enclos moutonnier, nécessaire à l’avènement d’une monarchie ploutocratique, soutenue par un système ultralibéral de profit. Qui veut que les citoyens puissent organiser leur propres défense, dans un abracadabrantesque poulailler étriqué, sans ouverture aucune, sans issue de secours en cas de danger de renard et de Loup «la raison du plus Riche est la règle, donc la question du comment est-on devenue riche n’a plus droit au chapitre. Les fanfaronnades d’éloges rémunérés disposent des expertises doctes. Le pouvoir judiciarisé de la camarilla belliciste et guerrière a tout son destin en main, sans aucun contrepouvoir ou contre poids. Dame ivoire a perdu son âme, séquestrée et semble résigne».

Oui, l’ordre politique en lui seul chanté et dansé, ne garantit jamais une réconciliation nationale et une paix durable dans une société en crise sempiternelle. La réconciliation nationale  doit commencer par la réinstauration de l’ordre de la sociabilité dans les relations Humaines du bas, transporté par les dirigeants bien élus vers le haut, par l’ordre public, par l’ordre dans totalité sociale, et par la primauté accorder a l’intérêt général, avec  la paix sociale devenue une  fixation absolue. Oui, nous avons déjà dit que, c’est en cultivant les vertus du dialogue social, de la tolérance mutuelle et de la solidarité diverse, «hélas ! Où l'emportent trop souvent la violence inouïe des diktats, l'intolérance face aux différences quelles qu’elles soient, et l'égoïsme égocentrique», qu’on arrive à la stabilité sociopolitique, par le biais d’une Vraie réconciliation réussie et à la paix. Donc il n’y a d’autre solution durable à la crise ivoirienne, que celle consensuelle issue du pardon, de la repentance, de la contrition des acteurs sociopolitiques de la crise, au terme d’un dialogue sincère. Et couronné par une Amnistie générale référendaire, voté par le peuple souverain, qui se situe au-dessus de tous les hommes politiques, quels qu’ils soient et de tous les pouvoirs politiques, quels qu’ils soient, elle résiste aux stratégies politiciennes et au temps de roublardises loufoques de bassesses politiques.

Bon ! Nous aurions fait dire au pouvoir Ouattara, que la côte d’ivoire a besoin de réconciliation vraie, de stabilité sociopolitique, que c’est pourquoi nous sommes-là, avec notre sale gueule puante de citoyen libre, sachant que ça peut tourner au délit de sale gueule. « Jacques Chirac nous en n’a enseigné des délits de sales gueules». Mais Rien à faire, c’est notre métier d’utilité citoyenne, notre sacerdoce d’intérêt public. Oui, depuis 10 Ans, rien n’a pu contrarier le système ultralibéral prédateur de jungle, à l’opposé du monde vivable, «genre Donald Trump-iste et Sarkozy-en». Oui, aucune action politique, n’a pu ébranler le système de gouvernance judiciarisé ultralibéral de pétaudière assise sur une société ivoirienne acculturé, dénaturé, aux mœurs désormais dépravée. Oui, l’importé a annihilé le local Atavique au couleur ivoire, le transplanté a submergé le naturel ancestral, une société moutonnière aux conduites panurgismes, est manifestement à craindre, parce qu’en ébauche visiblement dans la société ivoire.

Une vie sociale de sectarisme nébuleux, est née sous nos tropiques, une réelle crise identitaire sociologique pointe à l’horizon et son nuage est trop épais. «Oui, celui qui prend ça pour le développement se leurre. Là où, Est devenue la règle le mélange, y compris des genres, dire une chose pour faire comprendre son contraire, faire une chose au nom de son contraire, la parole a perdu son sens. Le rigorisme du respect du lien social à céder à l’extrême légèreté dans les rapports sociaux, des actes proscrits et prescrits sont vulgarisés et à la vogue, et le tout permis est exaltant. D’où tout fait rire et tout fait dansé, la sado-perversité semble désormais admise, la légèreté et l’inconscience ont atteint le summum». Surtout, avec des relations humaines devenue un véritable capharnaüm kafkaïen, sous la coupe d’une politique vacillante et oscillante, d’un dirigiste économique aveugle sur l’avenir, tout  juste à la limite de la criminelle, avec un développement sous la totale mainmise des grands usuriers internationaux, qui laisse la grande majorité citoyen au Bord de la Route du progrès social. Et pire, la dette flambe, flambe et flambe, la masse salariale risque d’être taxée de pléthorique. Un dégraissage des charges de l’état s’imposerait-il un Jour ?

Oui, un nouveau paternalisme sociétal a pris son envol en côte d’ivoire «la civilité courtoise de, Madame, Monsieur est supplanté par la vulgarité Papa, Maman, le républicanisme social perd du terrain face à son grand rival de toujours». Oui, l’Houphouët-isme ne vit plus que de Non, sur la terre de Felix Houphouët Boigny. La modestie Houphouët-enne et sa sagesse, ont désertées la sphère sociopolitique pour faire de la place à la grossièreté et au hautain. Un grand Bazar s’est installé dans la société comme règle de vie, la grande foire aux larrons s’est ouverte sous nos yeux sur la terre de nos ancêtres. Le lavage de cerveaux a pris pied, pour n’installer que Dieu l’argent, balayant l’humanisme Houphouët-tien, «ou tout homme est Homme indépendamment de sa caste», soutenu par l’esprit novateur de la philosophie Houphouët-ienne, éternellement habité par la place centrale que l’homme devrait occuper dans tout processus de développement de la société ivoirienne. «Pas une seule goutte de sangs versée» « et le progrès pour tous et partagé est au placard» «La mesure de valeur sociopolitique est désormais logé dans les poches et pendues sur les épaules des porteurs uniformes». Oui, Humanisme Houphouët-ien, est en congé forcé, l’état de droit a sauté par la fenêtre et a pris la tangente sous les yeux des brigades d’acclamations perverses qui se marrent, et l’inconscience rend invisible l’orage à l’horizon. L’état de droit, réellement républicain se trouve lamentablement supplanté par des magouilles aux cœurs des relations Humaines sociétales et politiques. Tout le monde se tape la poitrine avec l’incantation ostensible de son appartenance socio-politico-communautaire. Là où la courtoisie, l’harmonie, la modestie et la solidarité agissante devaient être de règle pour une société cohérente et paisible.

Surtout, là où on devait logiquement, construire une société solidaire, dont non plus l’état tout puissant, fort du bien public, piloté par une politique prédatrice ultralibéral de jungle, ou Dieu l’argent règne en maitre absolu, en catégorisant à souhait et à volonté notre nation, parce qu’elle est celle de Felix Houphouët BoIgny, en Riche  ou en Pauvre. Il y a un fossé grandissant de jour en jour qui sépare lesdits Riches et lesdits pauvres. La côte d’ivoire a besoin de réconciliation nationale régulatrice. La vraie réconciliation nationale et l’autocritique qu’elle sous-tend, la contrition qu’elle impose, au-delà des théâtres d’ombres politiciennes, lubrifie les interactions sociopolitiques afin qu’elles ne tournent ou ne dégénèrent en conflit ouvert ou latent. C’est ainsi qu’on arrive de par le monde, a forgé un état de droit et à réussir à bâtir une stabilité sociopolitique et à obtenir une paix durable. «La paix celle qui ne naitra pas que de la paix conclue après une bataille, mais de la paix débattue sans bataille et érigée en victoire définitive de l’idée sur le sabre». La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny a Besoin de cette paix.

Donc en définitive, nous aurions fait dire au pouvoir Ouattara, que la côte d’ivoire a besoin de régulation sociopolitique consensuelle, surtout paisible, stable, cohérente, harmonieuse. Que la côte d’ivoire a besoin de la construction d’une communauté nationale solidaire réconciliée avec elle-même. Oui, que la côte d’ivoire se doit d’être une société Humaniste, à l’image de Félix Houphouët Boigny, ou l’homme incarnerait la centralité de toute action économico-socio-politique, surtout, ou le citoyen se doit être le cœur de toute action développementale, un développement qui cadre à la perfection avec nos réalités sociales, pour une vie libre, débarrassée de toutes anxiété créancière qui présage une accalmie avant l’orage. Un développement ou tous les citoyens seront sous la protection exclusive de la loi, dans une nation solidaire dont la gouvernance ne serait plus judiciarisé, et ne serait plus de copinage ou de la concussion, mais une nation stable, paisible et démocratique, ou tous risques de crises sociopolitiques, ou de conflits serait obvier a jamais. Oui, hélas !  Nous aurions fait dire ceci ci-dessus au pouvoir Ouattara, mais encore milles fois hélas !  Des décès nous ont privés de portes voix. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne «de retour après 10 Ans sur la terre de nos ancêtres

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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