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14 mars 2020 6 14 /03 /mars /2020 18:31
Lepetitfils : Il nous faut faire de la côte d’ivoire un état de droit, y compris dans les urnes de 2020, si le cadre électoral s’y prête. Et cela librement, calmement, sans cri et sans brouhahas, sans moindre violence, en glissant un bulletin de vote citoyen dans une urne citoyenne et qui doit avoir pour conséquence de renvoyer automatiquement ce système des bouffe-tout aux garages, pour cinq (5) Ans, sans recours possible, 5 Ans à bouffer ce qu’ils ont volés ou la MACA pour les va-t-en-guerre.

Lepetitfils : Il nous faut faire de la côte d’ivoire un état de droit, y compris dans les urnes de 2020, si le cadre électoral s’y prête. Et cela librement, calmement, sans cri et sans brouhahas, sans moindre violence, en glissant un bulletin de vote citoyen dans une urne citoyenne et qui doit avoir pour conséquence de renvoyer automatiquement ce système des bouffe-tout aux garages, pour cinq (5) Ans, sans recours possible, 5 Ans à bouffer ce qu’ils ont volés ou la MACA pour les va-t-en-guerre.

(D’emblée à propos de, Acquittement et non-lieu, répétons ceci à la suite des dépositaires de la science judiciaire : 1*- L’acquittement est une décision judiciaire qui intervient à l’issue d’un procès  pénal, prononçant la mise hors de cause de la personne accusée par rapport aux faits qui lui étaient reprochés. Autrement dit : Les faits incriminés existent bel et bien, mais il n’y a aucune connexité certaine entre les faits criminels et l’accusé gratuitement. « Dans le langage ivoirien, on dit y a cadavre (à Duékoué ), mais c’est pas lui qui a tué. Ils ont menti sur lui. » 2-* Un non-lieu, est l'abandon d'une action judiciaire en cours de procédure par un juge chargé d’asseoir la véracité des accusations par des preuves irréfutables que le juge n’a pu trouver, d’où Un non-lieu. Autrement dit : le juge a trouvé que les faits ne sont pas constitués ou ne permettent pas d'identifier l'auteur. Donc qu’il n’a rien trouvé qui puisse conduire à un procès. « Dans le langage ivoirien, on dit, juge dit que y a pas procès, que tout c'est Wouya ! Que Dans affaire c’est mensonge seulement sinon y a rien »... EN UN MOT, ON NE PRONONCE PAS UN NON-LIEU AU TERME D’UN PROCÈS CONTRADICTOIRE, DANS UNE AFFAIRE OU LES PREUVES ALLÉGUÉES DÉFÉRÉES AUX MAGISTRATS « DE JUGEMENT » DE LA COUR CRIMINELLE ONT CONDUIT AU PROCÈS. ICI C’EST ACQUITTEMENT ET MISE EN LIBERTÉ IMMÉDIATE NONOBSTANT APPEL.) -Revenons à l’essentiel ci-dessous.

*- Ça commence.

*- Pour faire de la côte d’ivoire un état de droit réel, il faut revoir le système électoral. Oui, insistons-en ici: Au moment où notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, destinée à être un état de droit, est mal piloté par un monarchisme ploutocratique désormais failli, peine à remonter à la surface des profondeurs abyssales, d’une crise sociale aiguë, issue d’une guerre de conquête du pouvoir d’état par les armes impies « fusils ». Donc ; une crise de la totalité sociale souveraine : « crise de droit civil, crise politique, crise civique, crise morale, crise de confiance dans les gouvernants, crise de légitimité du pouvoir d’état, crise de vérité et pire crise identitaire ». Donc il faut des élections consensuelles ouvertes à tous « citoyens électeurs et citoyens candidats ». Pour pouvoir restaurer l’état de droit républicain qui a foutu le camp depuis 20 ans de la côte d’ivoire. Un état de droit ne tient qu’à la reconnaisse matérielle des droits fondamentaux de tous, dans leurs originalités absolues, à l’intérieur de l’égalité de tous en droit et en devoir, et la protection égale de tous de leurs personnes et de leurs biens. «Depuis 20 ans notre pays est scindé, fragmenté, par une pratique politique nombriliste qui dévalorise la représentation ».

*-Il faut le consensus national dans l’ordre du public et autour de la chose publique, au moment où, installés confortablement dans la bulle d’en haut, au plus haut sommet de l’état ivoirien dans les avantages très juteux et sucrés, mais indus, parce qu’acquis au terme d’un déni d’élection en 2011, couronné par une guerre qui a fait sept milles « 7000 » morts de citoyens zigouillés sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état par les armes, nos dirigeants monarchisme ploutocratique, nous afflige de travers politiques nébuleux de diversion, pour masquer la carence réelle de démocratie réelle participative et nous infortune de discours creux déconnectés de toute réalité sociopolitique, afin de manipulation mensongère du peuples souverain spolié de sa souveraineté, mais estampillé ultime détenteur du pouvoir. « Sans la gratuité de la carte d’identité, la souveraineté réelle manquera à 2020 ».

*- Il faut des élections largement ouvertes à tous, ou les vainqueurs seront acceptés par tous comme vainqueurs et ou les vaincus s’attèleront a préparer leurs revanches dans cinq « 5 » dans la reconnaissance des vainqueurs du moment. Cela au moment où nos ressources naturelles souveraines étatiques, très étroitement liées à l’état de droit réel et à la souveraineté nationale ont été systématiquement défenestrées et pillées par une ploutocratique truande et voleuse: Egrainons-en ; « Détournements dans les caisses publiques, dans les finances publiques, Brefs défenestrations de l’économie nationale, surendettement en outrance, copinage, concussion, bradage de terres et sous-sol minier de toutes sortes, Minerai de Fer, Diamant, Or, Bauxite, Nikel, alumine-aluminium, etc. Tous exploitées sauvagement afin d’enrichissement, et tout y passe à la trappe de cette course à l’enrichissement illicite d’une nouvelle ploutocratie éclose sous nos yeux, suite à la guerre de conquête du pouvoir d’état par les armes (fusils) afin de pillages de la côte d’ivoire ».Comme nous l’avons toujours dits et répété et nous y insistons.

*- Il faut une politique réelle de réconciliation nationale, dont les élections transparentes y contribueraient à la consolidation du tissus de la totalité sociale souveraine mis en lambeau, en ce  moment où les caisses publiques et les finances publiques de notre état voulu de droit par le père fondateur, souffrent et s’exsangue de fait, de ses sources de revenues caissières et financières elle-même, pour rendre quelques uns en mal de dynastie et de royauté des multimilliardaires, pour assouvir un dessein de domination économico-sociopolitique dans la société. Et pour faire du bien matériel, de l’argent un signe de représentativité et les armes la mesure de valeur sociale.

*- Il faut que les élections démocratiques restent la manifestation de la souveraineté étatique et populaire, en ce moment où le mot Etat de droit est largement chanté à occasion par nos gouvernants ploutocratiques, mais non pratiqué dans la réalité des faits de la gestion des affaires étatiques. Notre état qui s’identifie désormais a une seule personne qui décide de tous à volonté: « gouvernance par ordonnance présidentielle pour transcender les prérogatives du parlement. Amnistie par ordonnance présidentielle en lieu et place des procédures légales qu’exige le droit réel, (Référendaire ou législative) dont la validité ne tient qu’à la volonté consentante du peuple, maitre de son anéantissement par sa souveraineté populaire exprimée par referendum de contestation légale ».

*- Il faut du concret dans la gestion de l’état dédouané du manichéisme nombriliste des pratique passéistes nauséeux, en ce moment où l’état de droit républicain réel, qui soit perçu unanimement par les uns et par les autres, tous citoyens égaux en droit et devoir, comme un patrimoine commun a tous, sans différenciation aucune « régionale communautaire, ethnique ou religieuse », est devenue un objectif inatteignable pour la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, mal piloté par une ploutocratie absolutiste et monarchiste, qui s’est installés par la forces des armes, au termes d’une élection gagné par le mensonge internationale, avec des pratiques, qui portent en elles même les germes de toutes sortes de crises sociopolitique, « des coups d’ état, des rébellions, des sécessions, des guerres civiles et de la désobéissance civile etc. » Avec un terreau fertile à toutes les crises sociales devenues possibles en côte d’ivoire, avec cette conception erronée du pouvoir d’état et de l’état de droit réel.

*- Oui, c’est parce que la côte d’ivoire roule vers un précipice abyssal au terme des élections de 2020, qu’il faut un système électoral consensuel et accepté par tous, pour que les élus de 2020 soient incontestables, en ce moment où les élections démocratiques, qui sont des droits inaliénables des peuples souverains à disposer d’eux-mêmes. Et l’exaltation de la souveraineté populaire, qui exige toujours un processus électoral consensuel qui offre, des chances égales pour tous les participants, placés en rangs sur la même ligne de départ équidistante du pouvoir d’état, en conformité avec les normes de démocratie participative universelle sont devenues impossibles dans notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, dans un virage lamentablement amorcé vers l’état voyou.

 *- Il faut que le processus électoral réaffirme le peuple souverain comme l’ultime détenteur du pouvoir d’état, en ce moment où, pour des raisons lucratives et pécuniaires, un nombre très important de citoyens ne sont pas en mesure d’obtenir une carte d'identité nationale pour s’affirmé citoyens, ou d'un passeport, sinon de la possibilité de voter en 2020, ou tout simplement du monde, de jouir de tous les autres droits civils et politiques, qui dépendent de la reconnaissance de la nationalité, donc qui sont spolié d’un droit inaliénable pour des raisons affairistes fondée sur le gain absolue et l’argent à amasser, qui priment sur ce droit inaliénable. Oui, « pour des raisons de souveraineté et de l’état de droit, il convient aujourd’hui de revoir les dates des élections de 2020, pour pouvoir satisfaire aux exigences d’une élection réellement démocratique et participative qui serait l’expression de la souveraineté populaire : (gratuité des carte nationale d’identité dont le prix actuel est au-dessus de la bourse citoyenne, ensuite le système électoral complet. Cei, découpage électoral, modes et instruments de scrutins), etc.»

Donc, il convient  ici, de s’attarder un peu sur le concept et la notion de l’état de droit et ses rapports existentiels avec les citoyens, comme voulu par ses initiateurs entre le 16 e siècle et le 17 e siècle. Pour que la monarchie ploutocratique ivoirienne et d’aucuns sachent que l’état de droit se vit, se pratique, mais ne se chante pas. Et que c’est par l’abandon par chacun d’une partie de ses droits naturels au profit de la société commune, qui rend cet état de droit effectif. Le droit qui sied à un état de droit réel, a foutu le camp de notre état depuis 20 ans : l’esprit  initial  du concept créateur de l’état de droit ne tient qu’à l’ensemble des citoyens à égalité de droits, de chances. Disons donc de façon Litote que : L’idée de l’Etat de droit fait son apparition, pour la première fois, en Angleterre, au XVIIe siècle, dans le contexte des disputes entre Parlement et la monarchie, le premier essayant de limiter le pouvoir discrétionnaire du Roi et d’instituer la suprématie de la Loi dans toute l’activité de l’Etat. Les sources d’inspiration pour une telle conception se trouvent dans l’Antiquité grecque, dans la philosophie politique d’Aristote. Ce dernier considère que le mieux serait que « la loi gouverne, plutôt que n’importe lequel des citoyens », parce que la loi, en tant qu’expression de la liberté, de la justice et du bien général, se trouvera au-dessus des passions, intérêts et de la subjectivité des individus. C’est pourquoi la loi se doit d’être impersonnelle.

Or, les passions, les intérêts et la subjectivité des individus, triomphent lorsque « tout est décidé par le pouvoir d’étatt, non pas par la loi voulue par le peuple consentant ». Et quand « le gouvernement ne réside pas dans les lois voulues par le peuple souverain consentant, l’Etat devient despotique et n’est plus libre, car la loi voulue par le peuple consentant, devrait être au-dessus de tout ce qui est, et de tout ce qui doit être ». En considérant que la loi voulue par le peuple consentant, doit être le fondement de toutes les relations et de toutes actions publiques, les promoteurs de cette idée seront les initiateurs de la théorie de l’Etat de droit, laquelle deviendra une conception dominante des sociétés modernes. La première impulsion à cet égard viendra de la part des penseurs politiques éclaireurs, lesquels se rapporteront directement au conflit apparu vers le milieu du XVIIe siècle entre l’absolutisme monarchique et les tendances d’émancipation politiques des sujets de Sa Majesté, en Angleterre.

Oui, l’absolutisme monarchique opposé à l’émancipation politique, c’est de cela qu’il s’agit. C’est pourquoi nous avons soutenus et soutenons toujours fermement que, l’état, qui se trouve incapable de pourvoir aux frais d’établissement des pièces identificatrices nationales, à un très grand nombre incalculables de ses ressortissants nécessiteux. Est une déclaration en irresponsabilité, en inconscience, en incompétence, de cet état voulu de droit, une critique en  voyoucratie de ce état devenu incapable de pourvoir à une des raisons juridiques de son existence. Des raisons juridiques dont le socle est la manifestation de l’acte posé par l’ensemble consentant des citoyens de l’état, ou l’agissement synergique de la totalité sociale enfante l’état de droit souverain. Parce que la citoyenneté de cet état se trouve assujettie à autre chose qu’au droit inaliénable. Donc c’est un défaut manifeste du fonctionnement de l’état de droit que de ne pas pouvoir faire acte de la reconnaissance de ses ressortissants.

Oui, à la veille des élections générales de 2020, déjà querellées, nous vivons une pétaudière vulgarisée, dans un capharnaüm kafkaïen indescriptible. Avec un système politique de monarchisme ploutocratique affairiste, et idéalisé, arrivée au pouvoir en 2011 dans le feu et dans le sang, avec le soutien d’une mafia internationale. Qui s’est progressivement transformé, peu à peu, chemin faisant, en une dictature néo-monarchiste, unilatéraliste et absolutiste. En accaparant systémiquement avec son clan des bouffe-tout, le pouvoir d’état, les richesses de l’état et la souveraineté du peuple. Ce système anti-droit, anti-liberté devenu dès lors usine à gaz antidémocratique, qui connaît semble-t-il géré, calé, et bouclé le processus électoral pour en connaitre un vainqueur d’avance. il serait humainement inconcevable que ce système ne soit placardés au cimetière des systèmes politiques faillis.

Donc l’ivoirien doit œuvrer à, dé-géré, à décalé et à débouclé, le processus électoral, pour que les vainqueurs de 2020, soient les vainqueurs d’une compétition électorale, ou tous les participants partent sur la même ligne de départ équidistante du pouvoir d’état, en ayant en conscience qu’ils peuvent gagner, comme ils peuvent perdre. Et si une Main-de-Dieu intervenait en défaveur d’un compétiteur indépendamment de la volonté de l’arbitre reconnue impartial, que cela soit pris à sa juste réalité des aléas des jeux. Pour faire de la côte d’ivoire un état de droit, et aussi de tout changer, y compris et surtout les institutions républicaines démodées, vermoulues, les normes anomiques qui les soutiennent  et le système politique du monarchisme ploutocratiques, unilatéraliste et absolutiste faillis. Oui, pour faire de la côte d’ivoire un état de droit, y compris dans les urnes, si le cadre électoral s’y prête. Et cela librement, calmement, sans cri et sans brouhahas, sans moindre violence, en glissant un bulletin de vote citoyen dans une urne citoyenne et qui doit avoir pour conséquence de renvoyer automatiquement ce système des bouffe-tout aux garages, pour cinq (5) Ans, sans recours possible, 5 Ans à bouffer ce qu’ils ont volés.

Et ainsi, si par extraordinaire ceux, va-t’en guerres oseront être arrogants, outranciers, fulminatoires, méprisants, doivent connaitre la MACA, afin qu’ils puissent être camarades avec leurs camarades des lieux reclus. Pas de CPI, un état de droit n’extrade pas ses ressortissants, et sa capacité à dire le droit, fait partie de la souveraineté de l’état de droit. Pas d’Exil non plus, personne ne doit être contraint malgré elle à l’exil, fait partie intégrantes de l’état de droit. Donc, la MACA pour réaffirmer notre souveraineté étatique. Dans une côte d’ivoire redevenue d’espérance, de stabilité, de paix sociale et d’ordre social, avec son socle incassable de solidarité diverse, avec sa pratique Houphouët-ienne de démocratie participative moderne, d’état de droit réel universel, de liberté nouvelle assumer, surtout son triomphe de la tolérance humaine, qui enfantera une société stable et de paix, de l’héroïsme humanitaire droit-de-l’hommiste, de l’exemplarité caritative de la générosité ivoirienne réaffirmée.

Oui, ou le gouvernant politique d’état, ou l’intellectuel penseur aura pour devoir de rendre la société ivoirienne plus intelligible, plus compréhensible, plus cohérente et plus solidaire, conformément à l’idée initiale de l’Etat de droit. Il faut des élections consensuelles et unanimistes, avec un processus électoral accepté par tous en 2020, pour que les élus soient incontestables, et il faut l’obtenir cette manifestation de la souveraineté étatique et cette exigence de la souveraineté populaire, d’une manière ou d’une autre. Sinon les rêves d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociopolitique sans lesquels il y à point de développement, la volonté unanime d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement et d’une gouvernance conforme à la moralité internationale voulu par le père Felix Houphouët Boigny, demeureront, Hélas ! Mille fois Hélas ! Une illusion pour la Côte d’Ivoire, un objectif recherché, mais inatteignable pour notre pays. Oui, il faut des élections consensuelles conformes aux principes de la démocratie universelle. Pour faire de la côte d’ivoire, le pays d’Houphouët un état de droit. Ça commence maintenant. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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