Nous ne comprenons pas, cela découle-t-il un manque de discernement ? Ou un manque de conseils approprié ? Puisqu’en côte d’ivoire il n’y a pas de VICTIMES DE GBAGBO, il n’y a que des VICTIMES DE GEURRE de 2002-2011 à ce jour. Oui nous doutons sérieusement de l’écologie mentale de ceux qui entre en transe face à l’idée de la libération judiciaire du président GBAGBO.
*- La côte d’ivoire a besoin de détente sociopolitique.
Nous voulons noter de façon litote ici concernant le procès pendant devant la cour pénale internationale « CPI », que dans un procès pénal, c’est la décision au fond gouvernée par le pur droit qui compte, « ACQUITTEMENT ». La mise en liberté provisoire ne tient qu’à l’intime conviction et au bon vouloir des juges, sans plus. Ceci est le principe des procédures pénales. « L’heure des décomptes n’est plus loin ACQUITTEMENT-1 et ACQUITTEMENT-1-2 ». Et tout le monde rentrera au pays. « A-chez-nous-pays » pour vivre libre et sous la protection de la loi. Aussi comme nous l’avons déjà dit à d’autres occasions les réseaux mafieux « du fait nous fait ivoirien » ne fonctionnent pas face à la rigueur du pur droit universel. Donc il n’y a aucune possibilité de connexion entre un ACQUITTEMENT fondé sur le pur droit et un APPEL dilatoire pour diversion politicienne. Cet APPEL tombe toujours inéluctablement sur un rigoriste répondeur automatique de pur droit, qui ressasse sans interruption ACQUITTEMENT de pur droit. Et comme tout le droit est linéaire, il n’y a pas d’autres lignes de déviations. Donc désolé pour la pauvre accusation de la CPI qui trouvera au bout de son APPEL le mot ACQUITTEMENT. Désolé ma belle…
Il faut noter aussi que depuis la légalisation de la rébellion ivoirienne « STATUT DE BELLIGÉRANT » par l’accord inter-belligérant de Linas Marcoussis, qui a consacré de droit la reconnaissance internationale des deux parties à la belligérance avec devoir, droit et responsabilité égaux, jusqu’au rajouts de 2011, nous avons toujours soutenue qu’aux yeux du droit international pénal New-yorkais, la responsabilité civile de l’état de côte d’ivoire est formellement engagée. Donc qu’il convenait dès lors de préconiser une voie sérieuse de dédommagement conséquent des VICTIMES DE GUERRE. Mais aujourd’hui nous ne comprenons pas les entrées en EXTASE face à l’idée de la libération du président Gbagbo, tant disque, au même moment l’autre belligérant de guerre Alassane Ouattara exerce le pouvoir d’état avec leurs obéissance supposée consentie.
Nous ne comprenons pas, cela découle-t-il d'un manque de discernement ? Ou d'un manque de conseils approprié ? Puisqu’en côte d’ivoire il n’y a pas de VICTIMES DE GBAGBO, il n’y a que des VICTIMES DE GUERRE de 2002-2011 à ce jour. Oui nous doutons sérieusement de l’écologie mentale de ceux qui entre en transe face à l’idée de la libération judiciaire du président GBAGBO. Surtout nous ne comprenons pas les politicards qui les incitent, ils doivent sûrement avoir ces politicards une forte dose de Gravier, de Sables mouvants ou de Boue « pôtô- pôtô » immuable dans leurs têtes. Puisque cette attitude est le terreau fertile a une nouvelle crise sociopolitique en côte d’ivoire, qui n’a plus besoin des comportements de chacun à son tour chez le coiffeur, mais de tous ensembles salvateurs. Il ne faut pas se leurrer la vérité sur les faits de la guerre en côte d’ivoire est connue de tous de par le monde.
Et retenons que la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny ne s’en sortira que dans l’union de tous. Ce qui signifie pour nous que, les ivoiriens de tout bord politique doivent pouvoir s’unir pour être le gyroscope du souverain « l’état » et pour sauver la côte d’ivoire. Il est question de soulever sa tête pour dépasser son être pour la côte d’ivoire en péril, déchirée en lambeaux. Il faut aux ivoiriens un tous ensemble, une coalisions de tous fondus dans une moule ivoire régulatrice pour la côte d’ivoire et c’est l’unique solution invariable. Oui une seule solution, la transition de 5 ans avec tous les partis politiques soucieux du devenir de la Côte d’Ivoire. Les combats légitimes de leaderships politiques, d’appartenance idéologique doivent pouvoir attendre l’après régulation juridico-sociopolitique en 2025. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Bopigny. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous. ENCORE MERCI !
Une mise au point circonstancielle de Lepetitfils. D-C. Leader de la légitimité citoyenne. « Convention du 28 juillet