Lepetitfils : Oui, aujourd’hui, ou bien on fait le choix tous ensemble, tous unis, pour agir de façon synergique pour la civilisation universelle avec toutes ses valeurs, et dans une fédération sans couleur politique derrière des hommes fédérateurs pour changer notre pays, ou bien nous demeurons dans la barbarie criminelle sous un monarchisme absolutiste.
Bravo ! Il n’est pas sain de s’afficher partisan d’un événement porteur de honte dans l’avenir, de haine pour l’autre et de régression sociale pour tout un peuple. Parce que les traces de la trahison d’un peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état ne s’effacent pas du jour au lendemain, son empreinte est indélébile et résiste au temps, dans le temps, de génération à génération. Donc on ne joue pas avec le sens de l’honneur et de la dignité d’un peuple souverain. Et rien ne vaut la préservation des chances de l’avenir d’un peuple souverain, surtout en période de tentation forte de courber l’échine face au monarque absolutiste devenu un renard libre et de procéder à des génuflexions pour avoir un poste, un titre, et sa place à la table des convives nocturnes de l’ultralibéralisme prédateur de jungle. Oui, « Face au dilemme de: Soit trahir ses convictions pour ainsi sauver un poste confortable ; soit rendre sa démission de ses fonctions et ainsi être capable de se regarder dans une glace ». Le choix ne pouvait être autre chose que celui d’un enfant qui a ouvert ses yeux sur l’indépendance acquise, donc d’un ivoirien, d’un Houphouëtiste et conforme à l’idéal sociétal Houphouëtien qui veut qu’ « aucun sacrifice n’est trop grand quand il s’agit de faire la paix pour son pays ». Logiquement, Aller présenter un papier de par le monde n’a pas besoin de démissionner d’un poste du système étatique bien structuré. Oui, si la décision est libre, personnelle, puisque les ambitions politiques sont légitimes et s’il n’y a pas d’anguille compromissoire ? Bravo ! Honorable.
Oui, si en côte d’ivoire, la vie publique, la vie sociale, la réconciliation nationale, la paix sociopolitique pérenne, l’harmonie communautaire et la démocratie réelle, doivent être vécue dans ce pays comme l’entend le pouvoir de, Alassane Ouattara, elles ne déboucheront pas sur la liberté. Or seule cette valeur universelle peut aider notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny à sortir de la situation de crise sempiternelle et à conduire au développement de notre pays sans surendettement éhonté, détruit par une guerre d’agression orchestrée par un carriérisme pathologique et par un arrivisme renégat. Nous avons souligné depuis 2012 que le pouvoir d’Alassane Ouattara est néo-monarchiste, qui vise la monarchie totale et intégrale. Le monarchisme est un système politique ou une forme de gouvernement dans laquelle une seule personne fonde l'autorité entière de l'État avec droit de soumission seigneuriale. Le mode de désignation de ce monarque n'est pas nécessairement héréditaire, il peut être élu, dans une démocratie de façade et dans un système électoral bâclé. Elle est totalitaire, liberticide et chaudronnier pour les droits et la société toute entière.
Et un pouvoir monarchiste est toujours peuplé des absolutistes, des ultras de toutes sortes et de tous ceux qui acceptent le mieux un pouvoir despotique. Et Les frères jumeaux du pouvoir monarchistes sont : La tyrannie, la dictature, le despotisme : Oui, *- La tyrannie est un régime politique, ou on appelle tyran tout homme politique qui, dans une cité, s'empare illégalement du pouvoir souvent par les armes et le conserve par la force de ses armes, au mépris des normes juridiques de la société commune. *- La dictature est un régime politique autoritaire, établi et maintenu par la violence, à caractère exceptionnel et illégitime. Elle surgit souvent dans des crises sociales très graves, il s'agit en général d'un régime très personnel ; mais l'armée ou le parti-état ou sectaire, peuvent servir de base à des dictatures institutionnelles. *- Le pouvoir despotique donne une marche de conduite à suivre, tel que le ferait un père envers ses enfants, ma position ou rien. Et cet ensemble constitue le contenu de la pochette anti-droit et anti-liberté du Monarchisme. « Rousseau dans son Contrat Social en disant que « le tyran peut n’être pas despote, mais le despote est toujours tyran illustre magnifiquement cette acception « dictateur, despote et tyran ». Bravo ! Soro, Si ?
Oui, Bien joué ! Parce qu’il est constant de par le monde qu’une machette mal tenue peut blesser grièvement celui qui l’utilise. L’outil du système étatique, tout comme l’outil politique et démocratique mal exploité peut tuer les droits inaliénables et les libertés individuelles. L’état de droit et la démocratie doivent être assis sur le droit et la liberté et c’est là que les ivoiriens de tous bords politiques se voient dévolus aujourd’hui un rôle primordial devant l’histoire, aider l’état de droit et la démocratie à aller à la vraie réconciliation nationale dans l’union de tous, à l’harmonie communautaire dans sa grande force sociale synergique et aux élections démocratiques réels. Donc à rebâtir les droits inaliénables, les libertés individuelles bafoués et la paix sociopolitique, par le biais de ses valeurs sociales universelles suscitées. Les combats légitimes de leaderships politiques, d’appartenance idéologique doivent pouvoir attendre l’après régulation juridico-sociopolitique en 2025. Oui, aujourd’hui, ou bien on fait le choix tous ensemble, tous unis, pour agir de façon synergique pour la civilisation universelle avec toutes ses valeurs, et dans une fédération sans couleur politique derrière des hommes fédérateurs pour changer notre pays, ou bien nous demeurons dans la barbarie criminelle sous un monarchisme absolutiste.
Donc, la décision de l’ivoirien aujourd’hui, doit être de conjuguer le devoir de résistance citoyenne synergique et l’appel à la mobilisation de toutes les forces citoyennes ivoiriennes et les nations démocratiques du monde en appoint. Pour sauver notre volonté de vivre un destin meilleur, que celui que veulent nous imposer nos politicards du monarchisme absolutistes, d’un système politique inhumain et dégradant, de l’ultralibéralisme de jungle et de dirigisme économique criminel et éhonté. Qui ne connaissent que la loi de la jungle dans les rapports humains et sociopolitiques. Le sens donc de la volonté citoyenne et politique de l’ivoirien aujourd’hui dans le combat à lui imposer par un monarchisme débridé, doit être à l’aune de son obéissance aux règles du droit universel, qui constituent le fondement d’une société paisible, d’une société libre et d’une société démocratique. Où nous pourrons tous ivoiriens, nous épanouir en tant que citoyens libres et égaux, en chance et en droit, situé sur la même ligne équidistante du pouvoir d’état dans les compétitions électorales. La paix sociopolitique nationale et partant la paix internationale est ce prix. Oui seule la démocratie réelle peut nous libérer des nouveaux maux qui rongent notre société autrefois paisible et qui inhibent toute perspective d’avenir meilleur et de la construction d’une communauté nationale réconciliée avec elle-même et avec le monde civilisé
Donc l’ivoirien s’oppose inéluctablement aujourd’hui au défi de refuser la propagande fausse exutoire, fantaisiste de diversion et de manipulation, qui tue toute ambition légitime en faisant croire, que le gouvernement clanique de l’ultralibéralisme de jungle prédateur piloté par un monarchisme absolutiste endurci est la panacée aux problèmes de notre société avec sa politique de différenciation, d’appartenance clanique sectaire et son système économique éhonté de surendettement en outrance. Donc le défi à l’Ivoirien de pouvoir innover de nous-mêmes ivoiriens pour forger notre propre destin national dans le concert des nations sans fermeture aucune. Pour faire notre propre progrès social, avec nos propres moyens économiques sans surendettement éhonté, avec nos propres politiques économiques sans interférences extérieur aucune d’une mafia internationale des grands usuriers internationaux, avec nos propres mots atavique, « dialogue-paix », nos propres expériences, sur la base de nos propres réalités sociopolitiques ivoiriennes. Et dans le respect scrupuleux, des aspirations légitimes du peuple à vivre dans une société de tolérance, de paix et en voie de démocratisation. Et, non dans une société de monarchie totalitaire, absolutiste, criminalisée, déshumanisée où les armes « fusils » sont la mesure de valeur sociopolitique, sous le règne d’un monarque devenu, renard libre. Où la rivalité s’organise autour des enjeux d’usurpation mafieuse du pouvoir d’état par la force armée et la violence inouïe. Bravo ! Soro, S’il n’y a pas d’anguille compromissoire ? Le « Bon-Petit» a pris la Grande Porte de sortie de la table des convives de sa propre couillonnade. « Premier-Gaou n’est pas Gaou, dit-t-on a chez pays ». Bravo ! Si ? Et C’est mérité… Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Bopigny. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.
Un soit-dit en passant : de Lepetitfils. D-C. Leader de la légitimité citoyenne. « Convention du 28 juillet 1951 ».