Le charnier de Yopougon est partie intégrante de la crise ivoirienne enclenché le 24 décembre 1999 par un coup d’état initié par les mêmes petits-malins carriéristes pathologiques et arrivistes renégats..
*- Montage, ce langage est le summum du cynisme.
*- 1- Oui, il faut noter d’Emblée ici, que l’homme n’est plus rien en côte d’ivoire sous le pouvoir d’Alassane Ouattara. Oui, « Le déplacement des cadavres par les criminels dans un lieu centralisé n’enlève pas la qualité de Charnier qui est par définition juridique, un « Lieu où l'on dépose les ossements des morts. * Lieu où sont entassés des cadavres. » Même si l’être humain a perdu de la valeur inhérente à la personne humaine en côte d’ivoire sous le pouvoir de Alassane Ouattara, le charnier de Yopougon est un Charnier, dans le sens humain et juridique, loin de tous ce qu’on peut nommer montage. Apres la protestation populaire dans la rue en 2000 face à la tentation de certains proches du Général Robert Geui d’inversé le résultat de l’élection présidentielle d’Octobre 2000, certain petit-malins avaient suscité une manifestation BISS, en revendiquant la reprise de cette élection. Appuyer dans cette position par des puissances obscures qui se sont déclarés prêts à travailler avec le nouveau président ivoirien Laurent Gbagbo, tout en souhaitant la tenue de nouvelles élections présidentielles, d’où des débordements et des morts dans plusieurs lieux de manifestations, notamment aux abords du Palais présidentielle du plateau coté lagune. Donc le charnier de Yopougon est partie intégrante de la crise ivoirienne enclenché le 24 décembre 1999 par un coup d’état initié par les mêmes petits-malins carriéristes pathologiques et arrivistes renégats..
*- Le pouvoir d’Alassane Ouattara a déjà rependu volontiers la boue dans l’arène sociopolitique ivoirienne.
* 2- Oui, on n’est éclairer sur le sort réserver à l’élection présidentielle de 2020 quand on attend Alassane Ouattara dire que : « C’est très clair. Je peux me représenter si je le souhaite. C’est une nouvelle Constitution qui a touché non seulement à l’exécutif, avec un poste de vice-président, qui a touché au législatif avec la création d’un Sénat, qui a touché au judiciaire, avec la création de nombreuses cours plutôt que des chambres. C’est une toute nouvelle Constitution. Et tous les avis juridiques que j’ai consultés me confirment que si je veux être candidat en 2020, je peux l’être. Et ce serait conforme à la Constitution». Bon ! On ne peut pas admettre sa constitution unilatérale voté par 15% de l’électoral total comme norme juridique suprême de régulation sociale puis dénié a Alassane Ouattara la réalisation des desseins de cette constitution controuvée. Les lois ne sont pas rétroactives, c’est du droit international coutumier « le droit des droits » donc vieux comme le monde, duquel la côte d’ivoire ne peut vivre en marge. Mais la question ici est de savoir de quelle loi s’agit. Parce que l’élaboration d’une nouvelle constitution obéit aussi à des droits irréfragables ressortissants eux aussi du droit international coutumier « le droit des droits ». Tout le problème est là. L’élaboration d’une nouvelle constitution qui est l’aspiration profonde du peuple souverain passe par la constituante avec l’adhésion de tous, pour pouvoir rencontrer l’agrément du peuple initiateur et l’adhésion à son vote référendaire populaire pour se voir obliger devant cette constitution. Et cela protège la société des désagrégations graves. Oui, notre niveau intellectuel hérité des détenteurs de savoir et notre culture politique ne nous permet pas d’être partisans d’une constitution aux procédures d’élaboration unilatérale imposée par un pouvoir d’état et viciée sur toute la ligne de la science qui régit sa matière. Alassane Ouattara ne peut pas être candidat aux yeux de la seule vraie constitution ivoirienne, celle de 2000. Allons-y seulement c’est demain, c’est devant.
Au surplus la maladie de mensonge et la mythomanie ce sont manifesté à Addis-Abeba, en Éthiopie.
* 3- « Alassane Ouattara sur RFI- question : il n’y a pas eu des liens très forts entre le premier procureur de la CPI, Luis Moreno-Ocampo, Nicolas Sarkozy et vous-même et que cela a abouti à l’inculpation de Laurent Gbagbo ? Réponse Je ne le connaissais pratiquement pas. Je l’ai eu au téléphone une ou deux fois. RFI- Moreno Ocampo ? Oui, Moreno Ocampo. Je me suis même fâché une fois avec lui. » Eh bien voilà ! Si le mensonge pathologique est à la base de la fiction fantasmatique du récit du mythomane ? Alors la mythomanie a gagné le sommet de l’état ivoirien. La maladie du mensonge s’est installée au cœur de la république de côte d’ivoire, avec des bonimenteurs aux commandes du navire ivoire. Ça ment, ça ne cesse de mentir, comme des arracheurs de dents. Comment et dans quelle condition un prisonnier au Golf-Hôtel peut-il se fâcher avec un procureur de la cour pénale internationale « CPI » qui ne parle qu’avec les détenteurs du pouvoir d’état qu’ils soient criminels ou non. Sauf s’il y avait un plan stratégique commun qui a précédé le kidnapping avec les armes impies d’une mafia internationale des grands usuriers internationaux. Non ! La barre n’est pas redresser, elle est plus penchée sous le poids de la maladie du mensonge et de la mythomanie qui sont comme le sable mouvant plus le menteur mythomane bouge, plus il s’enfonce d’avantage. La prescription du docteur Macron pour soins intensif est trop en Gillet-jaune pour pouvoir redresser une barre presque à terre. La maladie de mensonge et la mythomanie son incurable. Donc pour la cote d’ivoire, le docteur Macron doit songer plutôt à prescrire le duo thérapeutique vaccinal « démission et s’abstenir de toute candidature en 2020» à la maladie de mensonge et à la mythomanie.
*- Oui, Il est de notoriété publique que de par son fondement juridique statutaire la cour pénale internationale « CPI » reçois les déporté à la demande des états partis a son statut dit de Rome. Au cas contraire point d’extradition. « Ce sont les états eux-mêmes qui nous envoi leurs ressortissant s’en défend à occasion la CPi». Alassane Ouattara à côtoyer et ré-côtoyer, discuter et rediscuter avec luis Moreno Ocampo dans un cadre amical pour fricoter et rafistoler ensemble les conditions de la déportation du président Gbagbo, condition qui se devait non seulement d’être conforme à la volonté de Alassane Ouattara et aussi légale aux yeux du statut de Rome de la CPI que représentait le procureur luis Moreno Ocampo. Une fameuse phrase d’un sage est même intervenue « A PEINE QUE TU L’AS ARRETÉ ? » mais qui n’a pas pu atténuer la volonté des deux amis de voir le président Gbagbo déporté. Bon ! Quoi de plus normal, « quand l’ombre du pygmée grandit c’est que le soleil va se coucher » la côte d’ivoire de FÉLIX HOUPHOUET BOIGNY vit sous leurs règne. Quand les vérités historiques sont bafouées ce sont les libertés individuelles et publiques qui sont en danger. De toute façon : Il y a des gens s’ils font cadavres dans trente « 30 » ans ou dans cinquante « 50 » ans, pas besoin de chercher une cause c’est la maladie de mensonge incurable et la mythomanie schizophrénique qui les l’auraient tué. Oui, pas besoin d’autopsie la maladie de mensonge et la mythomanie ait la cause.
*- Mais redisons-le tout net ici encore, le pouvoir d’Alassane Ouattara a déjà rependu volontiers la boue dans l’arène sociopolitique ivoirienne avec un rassemblement de ripoux politiques, en prélude des élections de 2020. Et sauf miracle, tout le monde politique, tous les honnêtes citoyens et tous les hommes politiques seraient obliger à y patauger dans cette boue en 2020 et ensuite pour s’entendre dire d’une voix sournoise insistante, à l’endroit de tout cet ensemble sali, regardez les, ces gens-là, comment ils sont sales, allez crever en enfer fichus sales mecs. Donc il faut résister, résister et résister en tenant compte qu’aucune victoire d’un pouvoir d’état sur un peuple souverain déterminé à la face du monde de rentrer dans ses droits, n’est possible en ce 21e siècle. Ou seul le peuple souverain est l’ultime détenteur du pouvoir d’état qui décide de son destin dans le concert des nations. il faut résister, résister et résister dans une lutte synergique, tous ensembles dans le respect des différences, pour sortir du trou notre pays la côte d’ivoire, nous avons besoin d’un tous ensemble paisible derrière un homme ou des hommes fédérateur quel qu’il soit, dans une désintéressée Coalition de nouvelle alliance politico-électorale dans un processus de fédération de toutes les forces régulatrices pour être le GYROSCOPE DU SOUVERAIN, POUR CHANGER notre pays la côte d’ivoire au terme d’une irréversible alternance en 2020 suivi d’une gouvernance transitoire de cinq (5) ans au moins dans une plate-forme avec tous les partis politiques soucieux du devenir de la Côte d’Ivoire.
*- Oui, comme toujours dit et répéter : La côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, qui a perdu ses repères sociétaux a besoin de sauvetage national, de réglage consensuel synergique et de régulation sociopolitique désintéressée d’intérêt public, tous ensembles. Hormis les mange-crates, dans un Rassemblement des détourneurs des deniers publics, véritables sangsues branché a la mamelle de la pauvre côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny qui s’exsangue. Il nous faut mener une lutte synergique, tous ensembles dans le respect des différences. L’union de tous dans les actions synergiques citoyennes qu’exigent ce changement, pourra permettre à notre pays, de retrouver les repères d’un état de droit, d’une république véritablement républicaine et d’une démocratie moderne, qui cadre bien avec la vie politique et avec la vie publique du 21ème siècle. Donc pour sortir du trou notre pays la côte d’ivoire, nous avons besoin d’un tous ensemble paisible derrière un homme ou des hommes fédérateur quel qu’il soit, dans une désintéressée Coalition de nouvelle alliance politico-électorale dans un processus de fédération de toutes les forces régulatrices pour être le GYROSCOPE DU SOUVERAIN POUR CHANGER notre pays la côte d’ivoire au terme d’une irréversible alternance en 2020 suivi d’une gouvernance transitoire de cinq (5) ans au moins dans une plate-forme avec tous les partis politiques soucieux du devenir de la Côte d’Ivoire. Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Bopigny. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.
Un soit-dit en passant : de Lepetitfils. D-C. Leader de la légitimité citoyenne. « Convention du 28 juillet 1951 ».