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17 juin 2018 7 17 /06 /juin /2018 13:45
Lepetitfils : Aujourd’hui il existe une grande partie de la population ivoirienne, pour laquelle le progrès social chanté par Alassane Ouattara et ses suiveurs ne s’appliquent pas. Or une bonne politique gouvernemental, une sérieuse politique économique, doit être capable d’offrir les mêmes possibilités économico-sociopolitique de s’en sortir dans la vie quotidienne à tout homme, à tous les citoyens. Ou que l’on soit dans l’assiette territoriale de ce pays, cela devrait être garanti pour tous par les gouvernants, si gouverner doit rester de servir le peuple.

Lepetitfils : Aujourd’hui il existe une grande partie de la population ivoirienne, pour laquelle le progrès social chanté par Alassane Ouattara et ses suiveurs ne s’appliquent pas. Or une bonne politique gouvernemental, une sérieuse politique économique, doit être capable d’offrir les mêmes possibilités économico-sociopolitique de s’en sortir dans la vie quotidienne à tout homme, à tous les citoyens. Ou que l’on soit dans l’assiette territoriale de ce pays, cela devrait être garanti pour tous par les gouvernants, si gouverner doit rester de servir le peuple.

La goutte d’eaux : Une chronique de Lepetitfils Da Candy. Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

Les élections de 2020 ne doivent pas se faire au bon vouloir d’un candidat ou d’un parti politique détenteur du pouvoir d’état soit-il, Non ! Il va falloir arrêter de gré ou de force synergique, la dynamique démoniaque du diable des intempestifs passages en forces électoraux d’Alassane Ouattara depuis 2010 jusqu’à ce jour. Advienne alors que pourra. Ici Disons-le tout net, l’enjeu essentiel des élections de 2020, c’est son cadre d’organisation et les normes juridiques qui vont la régir, si ceux-ci ne sont pas revêtus du consensus social après un dialogue politique, elles ne seront que bâclées et truquées.  Et l’enjeu aussi c’est de maitrisé les armes qui sont aujourd’hui d’un clan guérilléros mafieux et d’un parti politique attrape-tout, ainsi de retiré les armes de l’arène politique ivoirienne en la rendant neutre et impartiale, donc une armée républicaine. Cela au terme d’une vraie réconciliation nationale couronnée par une Amnistie générale référendaire, qui rendra à coup sûr l’humanité et la communauté internationale témoins et cautions de la nécessité d’aller a des élections pluralistes libres, propres, transparentes, équitables et justes. Et ainsi l’humanité et la communauté internationale soutiendront toute réaction souveraine postélectorale de 2020 du peuple souverain ivoirien.

 Et L’étape du consensus social et du dialogue politique inclusif suscité, si elle est sincère doit pouvoir absolument opéré indispensablement des régulations du système politico-électoral ; 1)-  La restructuration du conseil constitutionnel pour extirper les mis en missions de Alassane Ouattara en 2015 après sa version fiable (Professeur Francis Wodié) afin d’obtenir une architecture pyramidale ordonnée par la compétence, une des meilleures y siège déjà. 2)- La reforme totale de la commission électorale indépendante (CEI) pour supprimé les représentations des pouvoirs « exécutif, législatif, judiciaire » et de trouver une méthode de composition Apolitique pour qu’elle soit indépendante des diables de 2010, donc neutre sans couleur politique, impartiale dans l’exercice de ses fonctions et respectueuse du serment de son devoir violé en 2010. 3)- Et de façon consensuelle, revoir les normes juridiques qui doivent régir les élections de 2020 pour qu’elles soient techniques et d’application mécanique surtout aux décisions sans aucun recours possible pour les candidats pour quelques raisons que ce soient et de quelques manières que ce soient. Sous réserve de la souveraineté populaire. Des candidats qui seront partis sur la même ligne de départ à équidistance du pouvoir d’état et vers la conquête du pouvoir d’état.

Donc nous disons que, les élections de 2020 ne doit pas se faire à la tête des candidats ou d’un parti politique comme en 2010 et 2015, détenteur du pouvoir d’état soit-il. Donc les élections de 2020 restent totalement dépendantes de la situation sociopolitique du pays et du cadre organisationnel desdites élections qui décideront de la transparence et des résultats des élections en 2020. Au cas contraire les résultats des élections de 2020 seront décidé par une mafia politique soutenue par les armes des fantassins assurés de l’impunité totale et sous l’ordre du pseudo-monarque devenu le Roi renard libre dans le poulailler libre. Un pseudo-monarque qui n’est au contact du réel vital et de cette dimension du réel sociétal qu’est la position de la totalité sociale et l’avis du peuple souverain qu’à travers les fanfaronnades de griots suiveurs et de médias aplatis pratiquement à sa solde et sa  botte. Des griots suiveurs qui se contentent de relayer ses éloges et de flatter son aveuglément politique, qu’ils cachent derrière leurs ventres de suiveurs. Eh bien oui ! Quoi de plus normal quand, au lieu d’une troupe de pédagogues avertis, honnêtes, réalistes, lucides et d’analystes politiques objectifs qui peuvent détectés et anticiper les germes de crises sociales et qui peuvent convaincre les réticences citoyennes, on retrouve le pseudo-monarque uniquement entouré des suiveurs manipulateurs et mafieux, des griots flatteurs ventrocrates, malhonnêtes jusqu’à la corde. Et des hommes armés prêt à faire feu à volonté sur injonction du pseudo-monarque devenu le Roi renard libre dans le poulailler ivoire libre et le Roi renard hallucinant dans le poulailler ivoire halluciné.

Donc aujourd’hui pour les élections générales de 2020 en Côte d’Ivoire, au-delà de la question individuelle du dictat d’un pouvoir unilatéraliste et arbitraire, ce sont des questions plus générales d’ordre universelles qui se posent à nous ivoiriens, dans la recherche de la paix sociopolitique, des droits, des libertés, de la démocratie et  de la réconciliation. Oui ! Comment rétablir le respect de la supériorité des droits du peuple souverain, et des citoyens sur les institutions démodés, vermoulues dites républicaines, et sur le système démocratique ? Quelles sont les limites à mettre à notre culture de la non-violence et à notre tolérance de l’arbitraire dans la recherche de cohésion sociale, de l’harmonie communautaire, de la paix pérenne et de la démocratie confisqués ? Quelles sont les limites à mettre à notre aspiration légale et légitime à la nécessité de consensus politique face à un pouvoir unilatéraliste aveugle devenu rigide et inflexible, qui se dit et se dédit, à souhait et à volonté, dans la recherche de la paix sociale pérenne? Jusqu’à quelle limite nous resterons derrière  un faux dialogue sélectif truqué, non inclusif de ce pouvoir unilatéraliste ? Dialogue sincère et consensus politique qui pourtant sont la seule solution aux problèmes politiques quels qu’ils soient ? Si le pouvoir en place celui d’Alassane Ouattara et compagnie dans une logique de confiscation du pouvoir d’état dans le temps et devenu aveugle, rigide, inflexible ne stoppent pas d’eux-mêmes ces micmacs et ces zigzags, pour des intempestifs passages en forces électoraux au mépris des droits et des règles.

Une seule réponse possible, il faut absolument désarticulée la côte d’ivoire du train d’enfer et de damnation d’un pseudo-monarque de l’ostracisme versatile, fulminatoire et outrancier, avec une Gestapo ivoirienne à sa disposition et à sa solde qui se plait à parader allégrement avec une meute aride de fantassins armés, près à guerroyer en tous lieux ou en tout temps. Ou avec une escouade de soudards exhibitionnistes autour des escortes ubuesques de potentats en quête de brigade d’acclamation, pour dire toujours au fichu peuple ivoirien ou à la piétaille de citoyens, tu ne me vois pas hein ! Je suis le président de tous les ivoiriens ! Oui, la réponse à ces questions susmentionnées reste le meilleur rempart contre les crises sociopolitiques et la barbarie légalisée dans des normes juridiques de régulations sociales partisanes et controuvées, des opportunistes criminels. Et ainsi une fois ces droits restaurés, la démocratie obtenue, la libre expression ouvertes, les citoyens doivent donc s’efforcer en transcendant les intérêts particuliers d’aller à la réconciliation nationale afin de soigner les plaies sociales béantes et puante pour avoir sa société de paix, de concorde, de reconnaissance mutuelle, d’exaltation de la diversité solidaire pour une côte d’ivoire nouvelle, une et indivisible. Afin de donner à notre nation ivoirienne sa vocation étatique souveraine, régulatrice de la société commune et protectrice des hommes et des biens, en rassemblant toute sa composante sociale dans le droit et autour du droit, des libertés, de la justice sociale et juridique. Voici ce qui doit être les préoccupations du moment du peuple ivoirien martyrisé par un pouvoir unilatéraliste mafieux qui entretien sciemment les crises sociales par intérêt. Tout en ventilant de monstrueux mensonges sur le développement social et le progrès humais pour soutenir sa politique de confiscation du pouvoir d’état et de ses passages en forces électoraux répétitifs au mépris du peuple souverain.

Or tout progrès social et toute politique de développement économique qui ne commence pas par l’homme, par le citoyen, par l’être Humain, n’est que régression de l’humanité et assujettissement sociale de l’homme, avons-nous toujours dit et répéter. L’émergence chantée aujourd’hui en côte d’ivoire se réduit à masquer la misère sociale de 95% d’ivoiriens que forme la piétaille des moins nantis, dans une situation de vie extrêmement chère. Oui, malgré la vie très chère et la totale dégénérescence sociale, on nous parle d’un développement socio-économique qui biffe le citoyen ivoirien du cœur de la politique développementale, et qui laisse l’homme au bord de la route du progrès social. Oui, Il existe aujourd’hui une grande partie de la population ivoirienne, pour laquelle le progrès social chanté à tout bout de champ par Alassane Ouattara et ses suiveurs ne s’appliquent pas. Or une bonne politique gouvernemental, une sérieuse politique économique, doit être capable d’offrir les mêmes possibilités économico-sociopolitique de s’en sortir dans la vie quotidienne à tout homme, à tous les citoyens. Ou que l’on soit dans l’assiette territoriale de ce pays, cela devrait être garanti pour tous en côte d’ivoire par les gouvernants, si gouverner doit rester de servir le peuple ou servir la nation et non se servir du bien public et dans le bien public. Si l’on ne prend garde face à cette politique de domination monarchiste et de ploutocratie naissante, d’un ultralibéralisme prédateur de jungle, ce triomphe de la loi de la jungle, de la loi du plus fort, de la loi du plus riche et soutenue par le dirigisme économique criminel et mafieux, cette négation du droit, des libertés et source d'oppression, de déshumanité et qui écrase les petits moins nantis aux pieds des grands intérêts mafieux continuera au-delà des élections de 2020, si les élections seront régis par sa constitution unilatérale et organisées par ses organisations de gestions électorales. Le vrai danger réside-là. Et sa solution réside dans le peuple souverain et nul autre par ailleurs. Il n’y a pas non plus de solution linéaire et continue, mais une solution à fracture systémique, pour instaurer un nouvel Dramatis personæ ressortissante d’une décomposition/recomposition politique salvatrice.

Oui, si elles se déroulent dans un cadre sain et réellement démocratique, au terme des élections de 2020 les minorités s’avèreront minoritaires et les majorités s’avéreront majoritaires. Et la côte d’ivoire y gagnera… Donc il y a une seule voie pour arriver à la paix sociopolitique, la vérité crue et nue au terme d’une vraie réconciliation nationale pyramidale :  1)- Libéré les prisonniers politiques, 2)- Faire rentrer les exilés politiques, pour que la maison ivoire pleine de toutes ses filles et de tous ses fils, décident consensuelle-ment, coude-à-coude et main dans la main, tous ensembles de tourner une page plus que sombre de notre pays, par la seule voie possible, celle consensuelle. 3)- Ouvrir le dialogue social sincère et inclusif, peuplés des discussions franches sans tabou pour pansé les plaies sociales, avec des désaccords politiques maîtrisés par le respect de l’intérêt général, des compromis sociopolitiques réalistes d’intérêts nationaux et la coopération de tous entre tous. 4)- Aller au pardon devant le peuple souverain avec LE POURQUOI DU PARDON, et le courage de dire la vérité, rien que la vérité, parce que LE MENSONGE EST LA PIRE DES RUINES POUR L’HUMANITÉ. Si la réconciliation doit être la renonciation au désir de vengeance par l’acceptation du pardon, donc de l’abandon des blessures du passé ? Cela passe par la vérité obligatoirement. 5)- Couronné le tout par une populaire Amnistie générale référendaire qui doit être votée à 80% de Oui au moins. L’ordre social est à ce prix, la stabilité sociopolitique est à ce prix, l’Harmonie communautaire est à ce prix, la paix sociopolitique Houphouët-ienne est à ce prix. Ceci débouchera sur une voie légale de conquête du pouvoir d’état. Dans le respect des droits, dans le respect des libertés, dans le respect des règles démocrates et dans une société de paix pérenne, qui admette l’hétérogénéité des sous cultures nationales. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- La goutte d’eaux : Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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