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28 mai 2018 1 28 /05 /mai /2018 13:26
Lepetitfils : La côte d’ivoire devenue état policier institutionnalisé, confisqué entre les mains de vulgaires politicards criminels,  va en enfer, à l’image de la vache qui ne demande qu’à manger, et qui suit la calebasse vide que le boucher tend pour l’attraper. Elle roule vers un précipice abyssal. Quoi de plus normal dans une nation assujettis au grands intérêts mafieux support par excellence des dictatures pures et dures qui naissent la plupart des temps avec la complicité d'une partie obscurantiste des peuples et sous l’aval d’une démocratie de façade.

Lepetitfils : La côte d’ivoire devenue état policier institutionnalisé, confisqué entre les mains de vulgaires politicards criminels, va en enfer, à l’image de la vache qui ne demande qu’à manger, et qui suit la calebasse vide que le boucher tend pour l’attraper. Elle roule vers un précipice abyssal. Quoi de plus normal dans une nation assujettis au grands intérêts mafieux support par excellence des dictatures pures et dures qui naissent la plupart des temps avec la complicité d'une partie obscurantiste des peuples et sous l’aval d’une démocratie de façade.

La Goutte d’eau : une Chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

 

*- Un homme d’état exige des valeurs  qui imposent qu’il  puisse agir à la limite de l’humainement admissible.

 

Aujourd’hui tous les gens qui œuvrent de bonne foi au sein des organisations ou individuellement dans la recherche d’une solution durable à la crise ivoirienne sont dans leurs rôles. Les ONG de défense des droits humains qui réclament une porte de sortie judiciaire sont conformes à la ligne de la politique de l’imprescriptibilité des crimes contre l’humanité c’est leurs droits. Les hommes politiques ivoiriens qui revendiquent un Grand pardon sont dans la ligne politique de l’état souverain face au péril de son existence et de sa cohésion, donc dans la trajectoire non seulement de l’homme politique, mais aussi sous la contrainte qui s’oppose à tout homme d’état. Surtout ne pas confondre un dirigeant politique imposer à la tête d’un l’état soucieux de satisfaire aux engagements pris avec l’extérieur après duquel il prend consigne et injonction ou un homme qui trône sur un état soucieux de son enrichissement personnel, de son clan de soutien, avec être homme d’état roder aux arcanes du système étatique et aux politiques publiques étatiques. La différence est très grande tout le monde peut devenir dirigeant d’état et souvent par des moyens contournés. Il y a trop de marionnettes  et de comédiens d’état aujourd’hui, qui assujettissent, asservissent, appauvrissent, desservent et martyrisent les peuples. Pour lesquels marionnettes  et comédiens d’état, je peux faire tuer impunément est la seule valeur de dirigeants et d’hommes politique.

 

Et pourtant être un homme d’état exige des valeurs cardinales qui imposent qu’un politique face à l’intérêt de la totalité sociale, puisse se défaire malgré lui des importantes objections morales et juridiques et de se comporter et d’agir à la limite de humainement admissible. C’est leurs sacerdoces « monstrueux » au service de l’ordre social, de l’intérêt public. Et c’est leurs missions de dinosaure gardien du bien commun de la totalité sociale et de la paix sociale pérenne. Oui, « Malgré l’exécution arbitraire de Boga Doudou et l’extermination des Gendarmes gardien de la paix et leurs familles à Bouaké en 2002 par la rébellion armée, Gbagbo a consenti dans cet ordre a une Amnistie législative en 2007 qui n’a pu empêcher la guerre en 2010. Donc l’homme d’état doit s’efforcer de connaître avec certitude la réalité scientifique des choses et se montrer juste dans l'appréciation des justes réalités des choses, même contre son gré et ses intérêts politique du moment. Et de faire appel au besoin au peuple souverain par referendum populaire. C’est pourquoi souvent malgré des nombreux morts des crises sociopolitiques ils sont prompts à appeler au grand pardon afin de faciliter la paix, la stabilité et la réconciliation nationale au détriment du juridisme positif et légal pour sauver la totalité sociale en danger.

 

Averti et conscient que l’homme d’état est celui-là même qui dès lors que, quand la clémence qui résulte du grand pardon « Amnistie générale référendaire » peut ramener à l’amour fraternel, à l’harmonie communautaire, à la stabilité sociopolitique, à l’ordre dans la totalité sociale commune et à la paix sociale pérenne et au respect des lois, celles qui protègent la dignité et la liberté de chacun d’entre nous, être humain, ceux qu’une inflexible sévérité judiciaire tiendrait armée contre la totalité sociale, il « homme d’état digne de ce Nom » opte pour le grand pardon « l’Amnistie générale référendaire » qui ainsi commandée par la grande loi du bien public, fin essentielle de tout gouvernement qui ne peut exister que dans l’ordre social. Voilà l’homme d’état sur son piédestal qui n’est pas donné au commun des mortels, conscient qu’il est que la politique étatique c'est l'art de rendre possible ce qui est nécessaire et là où on fait attention aux effets secondaires ou collatéraux de ses positions politiques et les conséquences de ses dires. Et que c’est la juste appréciation des réalités du moment en s’oubliant soi-même et ses intérêts personnels, au terme de ses prises de positions politiques et sociétales, qui doivent bannir tout comportement d’intérêt personnel, égoïste, égocentrique, ou de club de soutien ou de brigades d’acclamation qui conduit à la cohésion social. Oui les discours de dirigeants politiques aveuglés par le pouvoir d’état, et devenus fanatiques, déraisonnés aux yeux bandés sont contre-productifs en période de sortie de crise sociale et conduisent lamentablement dans un précipice abyssal, tout comme l’orgueil mène dans le mur, d’où le danger pour la cote d’ivoire d’Houphouët.

 

Souvenons-nous qu’Alassane Ouattara en octobre 2010 promettait au peuple ivoirien le progrès social et le développement économique sous une pluie torrentielle de milliards et la paix pérenne « accordez-moi 5 ans pour redresser la Côte d’Ivoire. On est fatigué des promesses sans lendemain et des projets qui n’ont jamais été réalisés en 10 ans. Je viens vous dire que Alassane Ouattara fera ce qu’il promet » ventilait-il. Sept (7) après, Aujourd’hui en 2018, après que plus de 4000 citoyens ont été zigouillés sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état, la montagne de neige à laisser la place à un renard libre. La côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY est devenue une basse-cour ou règne le sourire d’un renard libre. Son festin macabre a la table nocturne des convives garnie des moins nantis sacrifiés sur l’autel des grands intérêts mafieux est annoncé pour 2020. Et on constate que Toutes les crises sociales sont maintenant présentes en côte d’ivoire, des crises armées mutineries et attaques armées par les ex-fantassins lésés de la rébellion armée, aux crises sociopolitiques peuplées de tueries et jalonnée d’affrontement communautaire inhabituelle pour la côte d’ivoire. La société ivoirienne a changé de mesure de valeur sociale qui est désormais les fusils et surtout dieu l’argent. Que les pauvres aux droits bafoués et piétinés laissent les riches passer sur leurs droits, sur leurs libertés, sur leurs vies physiques, pour les sacrifices les moutons et les bœufs ne suffissent plus il faut des humains, gardons bien nos enfants ils sont-là les nouveaux riches de l’ultralibéralisme prédateur de jungle. Mais retenons que leurs opulences, leurs assurances, leurs orgueils, leurs courages, et leurs mépris, sont ressortissants du défaitisme, de la mésentente, du fatalisme, de la résignation, des divisions internes passéistes par des appartenances artificielles, et de la démission du peuple souverain ivoirien, qui perd lamentablement son existence dans la sphère publique, auquel la démocratie, les droits inaliénables et les libertés publiques échappent désormais. Et Ça toujours été ainsi depuis que le monde est monde, avec la complicité d’une petite partie intéressée d’un peuple souverain martyrisé par des politicards arrivistes renégats et des carriéristes pathologiques.

 

Oui ! la côte d’ivoire vie des crises de violations graves des droits du peuple et des citoyens « refus catégorique de dialogue et de consensus autour de la chose publique », le tout couronné par la vie très chère, le surendettement éhonté en est la cause, des dettes que l’ivoirien payera sur plusieurs générations, « bâtisseur et bosseur dit-on ? Par les griots des temps nouveaux, des mange-mils saisonniers en quêtent d’abondance, des abonnés au poste lucratif. La côte d’ivoire en crise sempiternelle n’a plus besoin de griot mercantiliste big-bang, mais d’action direct  désintéressés et d’intérêt général de la totalité sociale». Oui, on observe surtout çà et là des contradictions très choquantes entre la réalité sociopolitique ivoirienne, les principes universels démocratiques, les discours officiels de gouvernances des tenants du pouvoir d’état, les pratiques et les actes sociopolitiques des hommes politiques qui gouvernent la côte d’ivoire. Le plus ostensible et manifeste de ces contradictions consiste à refuser habillement d’aller à la réconciliation nationale, pour avoir des élections démocratiques équitables et libres à compétition pleine, entière et loyale et on s’évertue de cadenassée hermétiquement les élections dans son organisation, dans ses instruments. Pour se faire on décide unilatéralement de l’organisme de gestions électorales (CEI) et des instruments électoraux (listes, cartes, découpages), pour le trucage d’un panurgisme d’élection moutonnière, dégrevé de toute essence démocratique et  pluraliste en 2020. Et tout en faisant tout, pour faire croire au monde entier qu’on veut y aller à des élections démocratiques, pour au finish se réclamé l’élu du peuple, pour pouvoir imposé tous leurs travers politiques et de gouvernances au peuple martyrs de côte d’ivoire. Et aussi on fait l’apologie d’un développement qui ne tient pas compte de l’homme et du progrès pour tous les citoyens. Le peuple ivoirien est devenu à 90% misérable, il est déguerpi de son lieu d’habitation comme des malpropres et la pauvreté occasionnée par la vie chère en est la cause. Il ne reste plus au peuple que de jouer son match inévitable à lui. Donc bloquer la dynamique démoniaque mortifère et décomposé ce système pervers, criminel dirigiste, obscurantiste et communautariste de, Alassane. Afin de replacer l’être humain au centre du débat économico-sociopolitique, le citoyen au cœur de toute politique développementale.

 

Oui, les clameurs de complaintes soutenues qui s’élèvent de la totalité sociale sont considérées par le pouvoir de Alassane Ouattara, comme des cris de citoyens moribonds ; pour le moins, de gens qui s’estiment lésés dans le partage de gâteaux et promis à une mort prochaine. C’est ainsi qu’aujourd’hui inévitablement à défaut de perspective révolutionnaire de changement économico-sociopolitique, à travers la convergence des luttes d’un tous ensemble solidaire dans des salvatrices actions sociopolitiques concrètes, concertés, synergiques, soutenue par la progressive unification des différents combats sectoriels pour la Survie, pour la Vie, pour l’Homme, pour les droits inaliénables, pour la liberté et pour la dignité, oui à défaut de ceci, les bouleversements catastrophiques actuels déboucheront sur quelque chose d’infiniment plus grave pour la société ivoirienne: les débuts d’une crise de désocialisation, d’acculturation, de dénaturation, de dépravation des mœurs sociétales, qui peut conduire à l’état voyou, à l’état paria, à l’état policier institutionnalisé, confisqué entre les mains de vulgaires politicards bandits mafieux et criminels. Oui, la côte d’ivoire va en enfer, à l’image de la vache qui ne demande qu’à manger, et qui suit la calebasse de sel que le boucher tend pour l’attraper. La côte d’ivoire roule vers un précipice abyssal. Quoi de plus normal dans une côte d’ivoire manipulée, assujettis au grands intérêts mafieux support par excellence des dictatures pures et dures qui naissent souvent la plupart des temps avec la complicité d'une petite partie obscurantiste des peuples et sous l’aval d’une démocratie de façade. Le fatalisme et la résignation du peuple font la force du dictateur et son dictat rigide et inflexible. Ma condition ou rien. Le Moi c’est Moi. Moi ou rien. Moi ou la terre brulée en côte d’ivoire. Le « je » orgueilleux et jamais le « Nous » consensuel et unificateur, Encore moins le peuple souverain ou l’État. Une concrétion méprisante hautaine du Moi et jamais la convergence harmonieuse vers les autres. Donc point de dialogue sincère, point de consensus autour de la chose publique, point d’harmonie communautaires et le tout pour la force des armes matérielles des « fusils ».

 

Conséquence au-delà des discours économiques d’autosatisfaction puérile d’un pouvoir devenu sourd et aveugle, celui de, Alassane Ouattara, l’avenir de la chère patrie, la Côte d’Ivoire de Felix Houphouët Boigny prise en otage, est maintenant réellement menacée, par d’autres crises plus graves que les précédentes. Parce que nous avons des hommes politiques mafieux dédouanés de la carapace indispensable d’homme d’état qui œuvrent dans l’arène politique, en dépit du droit et au mépris de toutes les règles démocratiques. Et diantre ! Qui n’aiment pas admettre s’être trompés, en faisant fausse route à la tête du navire ivoire. Dans tous les cas le mal est là, le danger est là, dans une côte d’ivoire Hallucinée par un pouvoir prédateur Hallucinant. Et avec la plus que possible confiscation du pouvoir d’état par un clan et avec les armes impies de quelques politiques ripoux en 2020. Eh bien oui ! Désormais le volcan dort sur la terre de nos ancêtres. Et disons bravo ! Parce que seul le libéralisme prédateur de jungle, ce triomphe de la loi de la jungle, de la loi du plus fort, de la loi du plus riche et le dirigisme économique criminel, cette négation du droit, des libertés et source d'oppression pouvaient réussir un tel exploit déviationniste de déshumanité. Oui, parti du contrat social de principe « accordez-moi 5 ans pour redresser la Côte d’Ivoire » on se retrouver devant un précipice abyssal volcanique en 7 ans d’exercice du pouvoir. Oui, le libéralisme prédateur de jungle et le dirigisme économique criminel Alassanéen sont passés par là. Qui dit Mieux ! Hein ??? Peut-être, Adolf Hitler en 1933 qui dans sa déclaration politique gouvernementale du 1er février 1933, promettait au peuple allemand l’amélioration de la situation des travailleurs, des paysans et le maintien et la consolidation de la paix. « Donnez-moi quatre ans, et vous ne reconnaîtrez plus l’Allemagne », prophétisait-il. Quatre ans (4) plus tard, les acquis sociaux étaient détruits et les libertés fondamentales étaient bafouées. L’Allemagne, effectivement, était méconnaissable. Et pire la suite peuplée de l’inacceptable et l’injustifiable est connue du monde. Peut-être aussi les armes « fusils » étant devenues l’unique mesure de valeur sociopolitique soutenue par Dieu l’argent, dans les années à venir la côte d’ivoire aura mieux, pour ne rien envié a la Syrie d’aujourd’hui, si le peuple souverain ivoirien reste inerte et se contente d’observer. Mais pour l’instant Chapeau messieurs de l’ultralibéralisme prédateur de jungle avant que d’autres n’arrivent à dire plus mieux comme Adolf Hitler, cette fois pour la suprématie des riches mêmes imbibés de sangs et de l’armes. Oui, Bravo ! Pour ne pas dire Agbô !!!

 

Aujourd’hui une seule voie possible pour éviter d’en arriver là, s’inscrire résolument tous ensemble dans un processus agencé de vraie réconciliation nationale pyramidale au prix que cela peut coûter: 1)- Libéré les prisonniers politiques, 2)- Faire rentrer les exilés politiques, pour que la maison ivoire pleine de toutes ses filles et de tous ses fils, décident consensuelle-ment, coude-à-coude et main dans la main, tous ensembles de tourner une page plus que sombre de notre pays, par la seule voie possible, celle consensuelle. 3)- Ouvrir le dialogue social sincère et inclusif, peuplés des discussions franches sans tabou pour pansé les plaies sociales, avec des désaccords politiques maîtrisés par le respect de l’intérêt général, des compromis sociopolitiques réalistes d’intérêts nationaux et la coopération de tous entre tous. 4)- Aller au pardon devant le peuple souverain avec LE POURQUOI DU PARDON, et le courage de dire la vérité, rien que la vérité 5)- Couronné le tout par une populaire Amnistie générale référendaire qui doit être votée à 80% de Oui au moins. Et ensuite que les appartenances légitimes s’affirment au terme de ces cinq (5) ans de transition politique régulatrice, au cours des compétitions électorales de 2025 dans l’ordre idéologique des partis politiques ou par appartenance politique. Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Bopigny. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

La Goutte d’eau : une Chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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