Lepetitfils : Nous comprenons certains hommes politiques ou certains partis politiques sous l’emprise du fonctionnement de la mafia politique du régime totalitaire. En effet pour ligoter psychologiquement un homme politique quel que soit sa carrure politique ou un parti politique. Il suffit de l’entraîner dans des mensonges, dans des compromissions électorales mafieuses, qui le rendront lié au processus et feront de lui le complice du processus malhonnête et corrompu. Mais Il est question maintenant d’avoir le courage de ses positions politiques légales.
La Goutte d’eau : une Chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).
Pauvre côte d’ivoire ! Il en va de la médecine comme de la politique il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. La côte d’ivoire offre aujourd’hui le visage d’une société à la dérive, une société qui ne présente rien qui soit porteur de lendemain meilleur qui chantent, pas même pour les ennemis des ivoiriens. Une société ou en lieu et place de « pas une seule goutte de sang humain versée sur le sol ivoirien », et en quête de pouvoir ou d’argent, on décapite les enfants, on vide les enfants de leurs sangs, et leurs attribues naturelle servent les rituels. Donc il nous faut ivoiriens, faire à tout prix bouger la côte d’ivoire, au prix que cela mérite, d’où aucun sacrifice n’est trop grand, puisque nos enfants et petits-enfants sont désormais destinés aux sacrifices rituels. Oui, de par nos divisions internes passéistes, sources de l’inertie de nos forces dans le combat sociopolitique, et notre passivité dans les actions régulatrices synergiques, chaque jour nous défaisons un nouveau pas de ce que construisirent nos devanciers, qui pendant quarante (40) ans n’ont eu pour quelques raisons que ce soient recours aux armes « fusils » en politique et on proscrit avec la dernière énergie le sang humain versé dans la société ivoirienne.
Oui, La côte d’ivoire ne s’en sortira de cet engrenage qu’au terme d’une coalition politico-électorale forte. C’est-à-dire la fédération de toutes les forces régulatrices pour le changement dans notre pays la côte d’ivoire, pour l’alternance en 2020 suivi d’une gouvernance transitoire de cinq (5) ans au moins. Oui, il nous faut absolument unir la nation ivoirienne contre ce qui veulent la diviser pour mieux la déchirer, a fin de régner comme Charlemagne. Donc ou bien nous serions capables des alliances régulatrices sans état d’âme tous ensemble, ou bien nous demeurons tous dans la misère en côte d’ivoire et dans la barbarie sociopolitique qui nourrit l’obscurantisme et avec les armes « fusils » comme mesure de valeur sociopolitique. Donc il nous faut ivoirien, absolument pour une fois taire nos querelles personnelles, arrêter nos divisions internes, placarder nos brouilles de leadership, pour montrer notre capacité à faire bouger les lignes sociopolitiques dans notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny.
Si nous « ivoiriens » tenons à la paix sociopolitique, à un ordre sociopolitique nouveau dans notre pays, où on pourrait faire la politique et aller dormir chez soi en toute quiétude, nous devons commencer par nous lever dès maintenant pour s’inscrire dans une coalition politico-électorale forte régulatrice et intégrateur, et de prendre un certain nombre de mesure nécessaires et indispensable à la cohésion sociale, à l’harmonie communautaire et pour l’alternance en 2020 suivi d’une gouvernance transitoire de cinq (5) ans au moins. Des mesures qui prise ensemble concourraient à remplacer la mauvaise conception actuelle du pouvoir d’État par une vision tout à fait nouvelle, qui mettront une fois pour toute notre pays sur les rails de la démocratie, du droit universel, de la stabilité politique, de la paix sociale pérenne et de la reconnaissance absolu de tous. Qu’on le veuille ou non, qu’on ose ou non, c’est la seule solution, il n’y a pas deux (2) postulats.
Oui, la fonction primaire d’une telle coalition politico-électorale forte est régulatrice et intégrateur, une telle coalition politico-électorale forte sert à atténuer les éléments potentiels de conflit et à lubrifier le mécanisme des rapports sociopolitique afin de garantir la paix sociale. Parce que c’est seulement avec l’adhésion de la totalité sociale, de la totalité politique à un système régulateur, que le système des interactions sociales peut fonctionner sans dégénérer en conflits ouverts ou latents. La lutte individuelle pour le pouvoir, ne doit pas altéré les exigences citoyennes de défense de la nation, de la totalité sociale souveraine, de l’intérêt général, de combat démocratique, de vérité, de lucidité, d’objectivité dans la lutte et de courage dans l’action politique d’intérêt public dans notre pays la côte d’ivoire de FÉLIX HOUPHOUET BOIGNY. Donc pour une fois n’entrainons pas le peuple souverain de côte d’ivoire sur des terrains colorés de chasses des intérêts particuliers. La lutte dans une ligue politique synergique de sauvetage de la nation, action qui consiste à refuser un état de fait, à s’opposer à une autorité de fait et à dire non, à une situation de non droit, imposé par un pouvoir au mépris de la souveraineté du peuple et des droits des citoyens est légitime, légale, de droit universellement reconnu comme étant un droit inaliénable à l’autodétermination et à disposer de soi-même.
Oui, notre soif de droit, de liberté, de justice, d’égalité et de démocratie, ne doit pas s’accommoder, avec les entorses répétées aux droits inaliénables du peuple souverain, aux libertés fondamentales, aux principes démocratiques. Il ne doit pas s’accommoder non plus, avec le mépris hautin pour un consensus politique, pour le dialogue républicain dans l’ordre du public. Il est temps de dire avec une coalition politico-électorale forte, Non ! Que ça suffit ! Que s’est trop indécent pour l’image de la côte d’ivoire. Une côte d’ivoire chanté dans des bouches mielleuses des imposteurs et des politicards de ventre comme, « côte d’ivoire nouvelle » mais au couleur du sang humain, au rythme de la misère, de la désolation, qui poussent des milliers de jeunes ivoiriens sur les chemins tortueux de la quête du bonheur. Une côte d’ivoire ou le pseudo-Monarque appelle au dialogue tout en refusant le consensus qui résulte du dialogue politique autour de la chose publique et dans l’ordre du public. Il est temps de dire que ça suffit ! Que c’est trop indigne pour la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny.
Il faut dire que ça suffit ! Que le peuple souverain de côte d’ivoire doit rester maitre de son destin. Parce que, le monde n’est plus en un temps où les peuples, illettrés, privés de savoir et soumis aux rudes épreuves d’une dictature sanguinaire, reconnaissaient volontiers leurs insuffisances intellectuelles, leurs incompétences organisationnelles et acceptaient d’être dirigé par une dictature sanguinaires ou par les puissants de ce monde. En ce 21e siècle c’est tout le contraire, là où la société d’antan se fondait sur l’obéissance moutonnière et le panurgisme de vache qui ne demande qu’à manger, celle d’aujourd’hui privilégie la persuasion discursive, l’obéissance volontaire, le dialogue pour convaincre les réticences, la concertation pour harmoniser les points de vues, le consensus pour arriver à la vie commune paisible, l’autonomie individuelle pour le respect du libre arbitre de chacun et le consentement fondé sur l’acceptation des valeurs d’intérêt général, des idées et des actions publiques. D’où les gouvernants sont obligés de persuader et de convaincre les gouvernés consentants. Mais hélas, de par la force des armes impies des carriéristes et arrivistes renégats, le peuple ivoirien assujettis à la force aveugle des fusils est engrené depuis 2010 dans un panurgisme de suiviste d’élection moutonnier, dégrevé de toute essence démocratique et pluraliste, pour que règne l’anti-Houphouëtisme sous couverture de l’Houphouëtisme réduit à la Bâtardise. C’est pourquoi la côte d’ivoire ira encore à une élection sénatoriale vide de sens institutionnel et démocratique pour se doter d’un automate sénat-garage de récompense et de copinage qui émargera sur le budget alimenté par les pauvres contribuables ivoiriens.
*- Oui ! 2020 serait incontestablement 2010 le décor est manifestement planté.
Il est question maintenant d’avoir le courage de ses positions politiques légales. Oui, en politique quand on se leurre, on se réveil brutalement en pleine nuit de façon cauchemardesque. Oui, malgré l’arrêt de la cour Africaine des droits de l’homme qui remet en cause la crédibilité de la commission électorale dite indépendante, qui discrédite toutes les élections organisées sous sa monture actuelle. Malgré l’opposition de tous les partis politiques, alliés du pouvoir compris au découpage électoral actuel cela jusqu’aux dépôts résigné de leurs candidatures. Malgré la sécession manifeste de toute la classe politique ivoirienne a l’idée de l’organisation des élections sénatoriales régit par un décret farfelu, illégale, anticonstitutionnelle, anti-droit, imposé à la place d’une loi organique qui obéit a une autre procédure, élections sénatoriale qui est ainsi manifestement exclusive de par son mode de scrutin qui désigne des électeurs uniquement des partis au pouvoir en lieu et place du suffrage universel direct participative a la réconciliation nationale. Malgré les appels répétés au dialogue et au consensus de la société civile au tour des élections sénatoriales pour éviter les entorses répétées au droit du peuple souverain. Oui, malgré tout ceux-ci de droit irréfragable, le pouvoir d’Alassane Ouattara n’a pas fléchit face aux droits que ceux-ci sous-tendent. Les élections sénatoriales bâcles aux procédures viciées auront belle et bien lieu aux conditions d’Alassane Ouattara. Qui ne sait que faire de l’arrêt sans appel de la cour Africaine des droits de l’homme qui décide de la réforme de la Cei pour la rendre conforme aux instruments internationaux et surtout comme tout monarque, qui ne sait faire la différence entre un décret du ressort du pouvoir exécutif et son obligatoire conformité à la constitution décidé par le conseil constitutionnel et une loi organique exclusivement du ressort du pouvoir législative, elle aussi soumise au contrôle de constitutionnalité. Oui, le ver est dans le fruit depuis avril 2011 et les dégâts sont énormes. Il n’y pas meilleur présage pour 2020 que se fait prémonitoire. A ce rythme 2020 serait incontestablement 2010 le décor est manifestement planté, sauf à vouloir se leurrer.
Par exemple, si on doit être logique ou faire du concret la logique politique exige que si par extraordinaire, il doit y avoir une unification des partis politiques se disant Houphouetistes, ce parti unifié des partis Houphouëtistes doit impérativement s’appeler PDCI-RDA de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Nous comprenons certains hommes politiques ou certains partis politiques sous l’emprise du fonctionnement de la mafia politique ou du régime totalitaire. En effet pour ligoter psychologiquement un homme politique quel que soit sa carrure politique ou un dirigeant de parti politique quel que soit le poste qu’il occupe ou le titre qu’il détient. Il suffit de l’entraîner dans des mensonges qui deviennent communs, dans des compromissions électorales mafieuses, dans la manipulation mercantiliste, qui le rendront lié au processus et feront de lui le complice du processus malhonnête et corrompu, dont il restera complice par la parole donnée ou pour avoir trempé dans la casserole ou même par intérêt. C’est la base même du fonctionnement de ce genre de mafia politique ou des régimes totalitaires du genre du pouvoir de, Alassane Ouattara. Et ce genre de pouvoir mafieux et totalitaire s’arrange toujours pour porter au crédit des autres, l’opposition en général, les désastres qu’ils déclenchent dans la société commune. Afin de se poser en sauveurs et de préserver leurs intérêts mafieux. Mais il est question de pouvoir se défaire de l’engrenage qui peut être fatal. Le pouvoir d’Alassane Ouattara ne tiendra aucune promesse mise à part la confiscation du pouvoir dans la durée, pour lui et ses princes nébuleusement désigné. Oui, Il est temps et grand temps, que les citoyens de tout bord et les partis politiques de tout bord se rejoignent maintenant et pour toujours autour de l’essentiel sociétal mise en jeu. Le mal est là, le danger est là, sauf miracle le volcan dort désormais sur la terre de nos ancêtres, un peuple ne dort pas à vie.
Oui, pour la côte d’ivoire, il nous faut un rassemblement ou un front commun pour l’intérêt général de tous les ivoiriens soucieux de la stabilité sociopolitique et de la paix sociale. Une fédération salvatrice balisée d’intérêt public, des hommes politiques désireux de la stabilité politique et de la paix sociale de tous les bords idéologico-politiques autour de la Côte d’Ivoire en quelque sorte. Pour ainsi mettre fin au chaos sociopolitique sempiternel. La valeur de solidarité sociale et d’harmonie sociale que ce genre d’alliance régulatrice du dépassement de soi et d’intérêt général inculque au peuple, peut constituer la sève nourricière à la reconstruction d’une nation ivoirienne redevenue souveraine, réconcilier et paisible. Voilà toute la nécessité pour les ivoiriens du : côtes-à-côtes et coudes-à-coudes, dans un tous ensemble régulateur, une nécessité qui tient à l’évidence que : c’est à partir des personnes que se construit l’avenir, c’est à partir de la solidarité des personnes que se bâtit la nation forte et la réalité quotidienne de chacun, c’est à partir de la société civile harmonieuse que s’exerce de fait une prise de pouvoir à travers des actions concrètes, concertés, synergiques, par la progressive unification des différents combats sectoriels pour la Vie, pour l’homme, pour les droits inaliénables et pour la liberté dans la dignité. Donc retenons formellement ici que, de par nos divisions antagonistes nous allons réarmés l’arbitraire de l’obscurantisme politique et l’unilatéralisme dictatorial contre la totalité sociale en 2020, si une alliance de régulation sociopolitique et de sauvetage nationale s’avérait impossible. Il ne faut pas se leurrer, sinon le réveil serait brutal et cauchemardesque, aucun parti politique significatif avec ses satellites en lui seul n’arrêtera cette dynamique démoniaque en 2020. C’est un avertissement.
Donc répétons-nous ici encore et toujours par nécessité absolue question de prévenir, il faut un système de régulation, des alliances de régulations sociopolitiques qui exigent que les partis politiques ivoiriens en quêtent de paix sociopolitique, s’inscrivent résolument tous ensemble dans un processus de vraie réconciliation nationale pyramidale que nous ne cessons de répéter : 1)- Libéré les prisonniers politiques, 2)- Faire rentrer les exilés politiques, pour que la maison ivoire pleine de toutes ses filles et de tous ses fils, décident consensuelle-ment, coude-à-coude et main dans la main, tous ensembles de tourner une page plus que sombre de notre pays, par la seule voie possible, celle consensuelle. 3)- Ouvrir le dialogue social sincère et inclusif 4)- Aller au pardon devant le peuple souverain avec LE POURQUOI DU PARDON, et le courage de dire la vérité, rien que la vérité 5)- Couronné le tout par une populaire Amnistie générale référendaire qui doit être votée à 80% de Oui au moins. La réconciliation nationale et la paix sociopolitique sont à ce prix pour la côte d’ivoire. Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Bopigny. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.
La Goutte d’eau : une Chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).