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7 février 2018 3 07 /02 /février /2018 16:32
Lepetitfils : En France si la Gauche et la Droite arrivent à transcender l’opposition diamétrale, pour s’unir pour un idéal pour la France, pourquoi le PDCI de Félix Houphouët Boigny et le FPI de Laurent Gbagbo « dans son ensemble » ne peuvent pas s’unir pour sauver la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny ? Il est question de soulever sa tête pour dépasser son être pour la côte d’ivoire en péril déchirée en lambeaux.  La côte d’ivoire avec les armes comme mesure de valeur sociopolitique, s’acculture, se désocialise, se dénature, se déprave, se meurt sous les yeux de tous.

Lepetitfils : En France si la Gauche et la Droite arrivent à transcender l’opposition diamétrale, pour s’unir pour un idéal pour la France, pourquoi le PDCI de Félix Houphouët Boigny et le FPI de Laurent Gbagbo « dans son ensemble » ne peuvent pas s’unir pour sauver la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny ? Il est question de soulever sa tête pour dépasser son être pour la côte d’ivoire en péril déchirée en lambeaux. La côte d’ivoire avec les armes comme mesure de valeur sociopolitique, s’acculture, se désocialise, se dénature, se déprave, se meurt sous les yeux de tous.

*- Chronique la goutte d’eau. De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

 

*- Le risque pour un parti de gouvernement de crever statique a la Rive Mauritanie.

Dans la même logique que la tribune de la semaine dernière, « refonder l’humanisme si cher à Félix HOUPHOUET BOIGNY » il faut dire ici tout net que, nous sommes peinés, agacés, sinon attristés, de voir et d’entendre la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, cette expérience de consensus politique et intercommunautaire, de dialogue national et de paix sociale à l’Africaine. Cette culture de non-violence, d’harmonie sociocommunautaire et d’union nationale à toute épreuve. Cette expérience du respect des différences et de l’exaltation de la diversité solidaire et cette civilisation atavique cohérente ivoirienne. Cette politique sociale d’hospitalité à l’Africaine assise sur la reconnaissance de l’autre dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous. C’est à dire reconnaitre l’autre comme différent et l’admettre comme son égal en droit et devoir Initié et cultivé par FELIX HOUPHOUET BOIGNY en lambeau. Et d’entendre des politicards fanfaronner des chiffres farfelus de croissances économiques à travers le monde, et a toutes les tribunes internationales de représentations étatiques. Et hélas au surplus comme cela ne suffisait pas, on nous leurre en se disant deux partis politiques en Alliance idéologique et politique, dont l’un est socio-humaniste et l’autre est ultralibéral prédateur de jungle, les deux (2) convergeant vers la même terre promise dénommée les élections de 2020. D’où dans la même alliance dite idéologique et politique, les paroles données d’hier sont à rechercher dans la poubelle des trahisons nébuleuses, et dans cette alliance dite idéologique et politique, on substitue volontiers au débat d’idée fut-il rude au lynchage langagiers et propagandistes de ballons de Basket. D’où dans cette alliance dite idéologique et politique, aux confrontations contradictoires des arguments pour que la vérité germe, on préfère l’utilisation des poignards plantés dans le dos, dans l’anonymat des bas-fonds de cooptations de marionnettes chansonnières. D’où dans cette alliance dite idéologique et politique, plutôt que persuader par une rhétorique lisible et audible et de convaincre l’autre allié, on se saigne et on veut s’achever dans la fureur de l’hallali orchestré de façon mafieuse. D’où dans cette alliance dite idéologique et politique, on feint de se serrer les épaules et les coudes, de se tenir les mains côte-à-côte, alors qu’en réalité on investit toute son énergie dans de sadiques et insidieuses opérations destinées à se liquider mutuellement, au risque pour l’un, parti de gouvernement, porteur légitime de l’héritage de Félix Houphouët Boigny de crever statique a la Rive Mauritanie avec le nom de Félix Houphouët Boigny ou les Ould sont maitres absolus. « Côte d’ivoire is bach ? » La côte d’ivoire est de retour a-t-on entendu mais de retour en enfer désertique de l’austérité économique prochaine et du tout permis d’un monarque d’un néo-monarchisme débridé ou les armes sont la mesure de valeur sociopolitique et ou l’argent est Dieu le grand.

*- La dépravation des mœurs ataviques notre socle sociétal en lambeaux.

Aujourd’hui même entre député et magistrat, la courtoisie des civilités « monsieur le président, oui l’honorable député » ne suffissent plus, il faut un pugilat dans le temple de Thémis pour s’afficher plus « Digbat » et pour que Affaire soit régler. Grâce à la jungle instaurer par l’ultralibéralisme de jungle, l’ordre voulus par les lois est devenu un leurre. Dommage ! Que la nature protège le parti créer par/de FELIX HOUPHOUET BOIGNY, dont de nombreux militants et de nombreux sympathisants ont été des laissés pour compte, aux cours de ces dernières années, septembre 2002 à ce jour, notamment au Nord de la côte d’ivoire. Pour ne pas qu’ils se réveillent un de ces quatre (4) matins au cimetière politique vandalisé par un ultralibéralisme de jungle. Dans ce cas, c’est en réalité la paix sociopolitique Houphouêt-ienne, la réelle démocratie paisible ivoirienne, les libertés individuelles citoyennes, les droits fondamentaux de tout homme, la république républicaine et l’état de droit, qui prendront un sérieux coup en côte d’ivoire. Mais pour autant face à cette évidence indéniable de péril à l’horizon, certes il est question de se séparer de son contraire idéologique et politique ou tous opposent politiquement et idéologiquement, c’est-à-dire l’opposition diamétrale a l’Houphouëtisme, qui n’est autre chose que l’anti-Houphouêtisme sous couverture de l’Houphouêtisme. Et le faisant, il est question certes de se défaire de son contraire, mais aussi de prendre soins de ne jamais descendre dans la sale boue des combats politiques personnifiés, au détriment du combat politique systémique. Donc de s’efforcé au mépris des risques et des intérêts pécuniaires, d’œuvre pour l’intérêt général et s’oublier pour la côte d’ivoire, de dénoncer la dilution mafieuse de la politique étatique par l’interpénétration des affaires mafieuses dans la gestion des affaires publiques étatiques, la dislocation de la société commune par la division pour régner, la segmentation communautaire ou par affinité ethno-tribale pour entretenir la crise sociale à dessein avec des  petites brouilles politiciennes d’intérêts égoïstes, égocentriques et compromissoires a fin de préservé les intérêts indus. D’où les individus s’entre-déchirent autour des intérêts égoïstes égocentrique et mafieux. Des individus qui n’envisagent le combat politique et le débat démocratique, que sous la forme d'une guerre civile opposant deux armées rivales qui ne pensent qu’à s’exterminé mutuellement, a la guerre comme à la guerre. Alors qu’une grande querelle est le sujet d’intérêts public, qui se rapporte à la vie harmonieuse en société, à la vie de la nation et à l’avenir de la nation dans le concert des nations. Au bien commun et à la conduite de l’état à sa juste place dans le concert des nations civilisée. Et la dépravation des mœurs ataviques notre socle sociétal par la levée des interdits sociétaux « pas une seule goutte de sang versée par exemple». Donc s’inscrire dans la logique des grandes querelles qui engagent la vie de la nation toute entière et pour l’intérêt général de la totalité sociale ivoirienne. En France si la Gauche et la Droite arrivent à transcender l’opposition diamétrale, pour s’unir pour un idéal pour la France, pourquoi le PDCI de Félix Houphouët Boigny et le FPI de Laurent Gbagbo « dans son ensemble » ne peuvent pas s’unir pour sauver la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny ? Il est question de soulever sa tête pour dépasser son être pour la côte d’ivoire en péril déchirée en lambeaux.  La côte d’ivoire s’acculture, se désocialise, se dénature, se déprave, se meurt sous les yeux de tous.

*- La politique concerne alors les actions politiques d’équilibrages et de régulations.

En clair, apporté de droit et par devoir aux citoyens ivoiriens, apporté humblement à l’humanité par la culture de non-violence et par la culture de paix l’Houphouëtienne. Gouverné avec l’obéissance des citoyens gouvernés et servir désintéressement la société à laquelle nous sommes redevables. Et non se servir ostensiblement dans les caisses publiques étatiques, dans les deniers publics au nom de l’exercice du pouvoir d’état qui appartient par essence au peuple souverain. Dans une situation sociopolitique où on peut faire la politique en dénonçant les tares des gouvernants, en indiquant une autre voie politique salvatrice et aller dormir chez soi en toute quiétude. Le combat politique personnifié n’a rien à voir avec le noble art politique, dans laquelle le peuple souverain est le destinateur privilégié de tous les discours politiques, par ce que détenteur ultime du pouvoir d’état. En politique le citoyen qui veut le pouvoir du peuple doit parler au peuple. Et doit constamment à chaque occasion de crises faire la preuve de sa légitimité populaire devant le peuple souverain. C’est ça la démocratie, c’est ça gouverné avec le consentement du peuple souverain gouverné qui obéit par conviction. Ici, si nous essayons de prendre le mot politique, ce mot politique vient de la racine grecque « cité » d’où les citoyens sont maîtres de leur destin parce que détenteur ultime du pouvoir d’état. Et ce pouvoir s’exerce avec le consentement du peuple qui obéit par devoir et par conviction, sans contrainte armée, sans violence des hommes armés ou tout est consensuel et pacifique dans le respect des droits et des règles. D’où la légitimité appartient à la majorité absolue des citoyens, qui se jauge à l’aune des élections aux suffrages universels et au prisme d’un processus électoral transparent. Mais il est aussi vrai, que de nombreuses approches définissent la politique comme l’organisation du pouvoir dans l’état. Mais le lien entre politique et état n’est pas si évident, cette acception est relativement récente. La politique au sens plus large est donc la structure et le fonctionnement « méthodique, théorique et pratique » d’une communauté de destin, d’une société policée. Dès lors, la politique concerne alors les actions politiques de régulation systémique et d’équilibrage sociopolitique, le développement interne ou externe de cette société, ses rapportes internes entre sa propre composante sociale hétéroclite et ses rapports à d’autres ensembles sociaux universels. Donc servir humblement et honnêtement le peuple souverain au mépris des intérêts personnels ou lieu de se servir ostensiblement dans les biens publics. Donc en clair un peuple souverain se gouverne avec son consentement sans violences armées, avec son obéissance sans contrainte armée. En politique le peuple est donc le souverain absolu à servir et non a assujettir par la force des armes « fusils ».

*- La terreur des armes de l’ultralibéralisme prédateur de jungle.

Donc faire la politique c’est défendre un idéal pour qu’il acquière l’adhésion du peuple souverain. Faire la politique c’est servir le peuple et non le martyrisé  pour se servir. Faire la politique, c’est agir dans l’espace public, pour transformer son pays, conformément à son idéal sociétal accepté par le peuple souverain. Faire la politique c’est essayer de réaliser ses convictions politiques et idéologiques, pour enfin tenir ses engagements sociétaux face au peuple. Donc le travail des responsables politiques, c’est d’agir pour l’intérêt général de la nation jusqu’à la limite de l’humainement admissible en transcendant son être, son Moi, et ses intérêts personnels du moment, situé à l’opposé de l’intérêt de la totalité sociale. Ce n'est pas le rafistolage électoral pour préserver des intérêts claniques mafieux, ce n'est pas non plus de chercher des postes et titres à chaque occasion ou de céder à la panique de la perte du pouvoir d’état face à l’adversité. Le travail des responsables politiques n’est pas de remettre en cause la démocratie réelle pluraliste, dans un état démocratique et au sein-interne d’un parti démocratique, du fait de la défense de ses intérêts particulier, égoïste, égocentrique, clanique et mafieux. Le travail des responsables politiques est plutôt de dire les vérités des choses au peuple souverain, quand elles vont bien et quand elles vont moins bien, dans la gouvernance étatique et dans l’organisation sociopolitique. Pour un destin meilleur de la société commune, sans nuances, sans excès, ni dramatisation, mais avec franchise risquée et détermination soutenue. Le travail des responsables politiques est de démontrer par son action politique, qu'on apporte une valeur ajoutée à l'action publique de son pays, qui profite à la nation une et indivisible. Le travail des responsables politiques se mesure a l’aune de ses actions politiques capables d’anticiper l’avenir du peuple dans le temps et d’orienter le souverain peuple en véritable gyroscope sur les meilleures voies qui profitent a la totalité sociale. Et de  réguler la vie sociopolitique, l’action publique des gouvernants par des critiques légales et par des dénonciations légales et aussi d’orienter les mouvements sociaux de la vie sociale de son pays. Le travail des responsables politiques est surtout, de chercher a disposé, d’une capacité d’action politique à anticiper les perspectives d’avenir socio-économico-politique de la totalité sociale dans laquelle ils vivent ou excellent. Le travail des responsables politiques est donc de combattre l’arbitraire du pouvoir d’état jusqu'à ce qu’il se dévoile comme tel. Parce que, la société ivoirienne, le peuple ivoirien, la nation une et indivisible ivoirienne ne saurait se balkanisés sur la base du clanisme mafieux par la force armée et la terreur inouïes des armes de l’ultralibéralisme prédateur de jungle. Donc à vouloir confisquer le pouvoir d’état par des procédés arbitraires ou mafieux, ils ont juste le temps de se remplir les poches de deniers publics, avant que la catastrophe d’un soulèvement populaire ne les rattrape, pour les administré un sérieux coup de pied citoyen au cul. D’où il faut absolument se défaire d’une alliance avec son contraire politique, idéologique et doctrinaire pour rester sur sa voie salvatrice tracé par Félix Houphouët Boigny.

*- Nous vomissons les violences en politique.

 

Afin d’avoir une société ivoirienne de paix, une société ivoirienne de concorde civile, une société ivoirienne de reconnaissance mutuelle, une société ivoirienne d’exaltation de la diversité solidaire, pour une côte d’ivoire nouvelle, une nation une et indivisible garantissant droits, libertés, justice juridique et justice sociale pour tous. C’est ce que la savante vie politique de Félix Houphouët Boigny nous enseigne. Donc faire en sorte d’empêcher, que la situation sociopolitique désastreuse ne tourne à de nouvelles tragédies politico-sociales dans notre pays, la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY dans un avenir proche notamment en 2020. Puisque, hélas  nos dirigeants ultralibéraux prédateurs de jungle et conquérants pilotés par un dirigiste criminel, aveuglé par le pouvoir d’état et assis sur un clanisme comme support politique, jouent à la politique de l’autruche enfouir sa tête dans le trou noir et laisser sous les yeux des observateurs du monde son cul a l’air libre face au danger. Question d’avoir leurs esprits ailleurs, sinon dans leurs poches ou l’argent imbibé de sang citoyen est entassé, pour faire de quelques-uns d’un clan, d’une fratrie, des multimilliardaires. Eh bien, leur réveil serait brutal. Donc point nécessaire de danse endiablée dans la boue politicienne rependue à dessein devant les honnêtes citoyens par des politicards de l’ultralibéralisme de jungle, afin de portée aux crédits des autres les désastres qu’ils créent sciemment. En obstruant l’idéal qui veut, que la politique est principalement ce qui a trait au collectif, au général et au commun, à une somme d’individualités et/ou de multiplicités. Que toute personne qui ne s’intéresse pas qu’à lui-même, pratique donc de fait, la politique. Par ailleurs, dans un sens beaucoup plus restreint, le terme politique renvoie à des luttes pacifiques de pouvoirs, des actions d’équilibrage de la société commune et a la lutte de représentativité entre hommes et femmes de pouvoirs et les différents partis politiques qui les soutiennent, auxquels ils appartiennent. Contrairement aux pratiques de l’ultralibéralisme de jungle, ici rien n’est unilatéral, rien n’est personnel, rien n’est exclusif, rien n’est du moi ou rien. Il y a ni chasse-gardée, ni territoire conquis ou privé, ni privilège exclusif, ni diktat. Tout l’espace public de l’assiette territoriale nationale, appartient à tous les hommes politiques et tous les citoyens ont le même droit dans l’assiette territoriale nationale. Donc point de lynchage, d’un homme politique taxé de pro-X et de pro-Y pour ses prises de positions politiques, encore moins l’excommunication. C’est le lieu de dire une fois pour toute que : le PDCI et satellites + le FPI toute tendance et satellites = fin de crise et libération de tous les prisonniers politiques à commencer par Laurent Gbagbo, la souveraineté étatique est au-dessus du juridisme international, qu’elle tient absolument en l’état. C’est pourquoi le PDCI de Félix Houphouët Boigny et le FPI de Laurent Gbagbo « dans son ensemble » doivent pouvoir s’unir pour être le gyroscope du souverain et pour sauver la côte d’ivoire pendant cinq (5) ans. C’est notre vision de la politique et c’est pourquoi, nous vomissons les violences en politique et c’est pourquoi nous sommes Houphouétistes.

 

*- La grâce présidentielle schématisée dans des procès téléguidés n’est pas la solution.

 

Une coalisions de tous fondus dans une moule ivoire régulatrice pendant cinq (5) de transition pour la côte d’ivoire est la solution. Et c’est pourquoi nous ne cessons d’indiquer, la seule voie praticable vers la paix sociale sans succédané possible, la meilleure de toutes les voies pour y arrivée est une désintéressée Coalition de nouvelle alliance politico-électorale de tous ensembles, qui transcende tous les rigoristes faux clivages politiques, les appartenances d’intérêt particulier, les antagonismes artificiels et la division dissolvants, pour ne retenir que la côte d’ivoire et l’intérêt général de la totalité sociale. Et le processus d’une vraie réconciliation nationale pyramidale comme suit: 1)- Libéré les prisonniers politiques, 2)- Faire rentrer les exilés politiques, 3)- Ouvrir le dialogue social sincère 4)- Aller au pardon devant le peuple souverain avec LE POURQUOI DU PARDON, et le courage de dire la vérité, rien que la vérité 5)- Couronné le tout par une populaire Amnistie générale référendaire qui doit être votée à 80% de Oui au moins. Et ensuite que les appartenances légitimes s’affirment au terme de cinq (5) ans de transition politique régulatrice, au cours des compétitions électorales de 2025 dans l’ordre idéologique des partis politiques ou par appartenance politique. Toute autre solution politicienne à but électoraliste clanique est vouée à l’échec avons-nous toujours dit et répété. Une fois encore qu’on se le tient pour dit toute mesure de sortie de crise par la grâce présidentielle schématisée dans des procès téléguidés actuels ne conduira à la paix et à la réconciliation nationale, l’acteur ne peut pas être l’arbitre. Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Bopigny. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Une chronique la goutte d’eau. De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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