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1 avril 2017 6 01 /04 /avril /2017 14:22
Lepetitfils : Il ne faut pas se tromper, il ne faut  pas se leurrer, sans une Amnistie générale référendaire consensuelle acceptée par tous, Alassane Ouattara et sa suite finiront par la prison d’une manière ou d’une autre et un jour ou l’autre. « Au trou comme des Rats quoi ! ». La vraie réconciliation se fera dans toute l’entièreté de l’assiette territoriale du pays, par les enfants du peuple porte-voix délégué auprès du peuple souverain de côte d’ivoire. Cette réconciliation après s’être regarder dans un miroir se fera un jour, avec ou sans le pouvoir actuelle d’aujourd’hui visiblement fort de ses armes « fusils ».

Lepetitfils : Il ne faut pas se tromper, il ne faut pas se leurrer, sans une Amnistie générale référendaire consensuelle acceptée par tous, Alassane Ouattara et sa suite finiront par la prison d’une manière ou d’une autre et un jour ou l’autre. « Au trou comme des Rats quoi ! ». La vraie réconciliation se fera dans toute l’entièreté de l’assiette territoriale du pays, par les enfants du peuple porte-voix délégué auprès du peuple souverain de côte d’ivoire. Cette réconciliation après s’être regarder dans un miroir se fera un jour, avec ou sans le pouvoir actuelle d’aujourd’hui visiblement fort de ses armes « fusils ».

*- SOIT-DIT EN PASSANT: De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

 

*- Un système juridico-judiciaire doit servir avant tout à atténuer les éléments potentiels de conflits sociaux.

 

Les ivoiriens soucieux de la stabilité sociopolitique et de la paix social, surtout a la recherche inlassable parfois ingrate d’une sortie de crise et d’une solution durable à la crise, doivent se ressaisir, ne pas se tromper, ne pas se leurrer. On ne peut pas faire l’apologie de la justice internationale, au moment ou un théâtre d’ombre de sorcellerie judiciaire se tient à la cour pénale internationale (CPI) sur les crimes postélectorale, en l’absence des vrais bourreaux auteurs de ces crimes de guerres des 29 et 30 mars 2011 à Duékoué ouest de la Côte d’Ivoire chemin faisant vers le siège du pouvoir Gbagbo au sud ivoirien. Notamment les forces armées rebelles d’Alassane Ouattara, sous l’ordre express donné par Alassane Ouattara, de conquérir le pouvoir d’état par les armes au sud de la côte d’ivoire siège du pouvoir Gbagbo. D’où en 24 heures, au moins un demi-million de citoyens ont été zigouillés selon l’ONUCI du sud-coréen Young-jin CHOI (de Ban Ki-moon). Huit cent milles à un millions selon le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) ? Un million deux cent milles à un million sept cent milles selon les ONG et les observateurs neutres. Plus de deux millions selon le petit restant des habitants de l’espace sinistré du génocide. Des monstrueux crimes contre l’humanité commis chemin faisant vers le pouvoir d’état, avec un commanditaire précis, irréfragable connu qu’est Alassane Ouattara agissant depuis le Golf-Hôtel d’Abidjan, des exécutants notoirement identifiés, les forces armées rebelles d’Alassane Ouattara, parti du nord et de Bouaké sous l’ordre express de leurs commandant en chef Alassane Ouattara, pour conquérir le sud ivoirien siège du pouvoir Gbagbo avec les armes. Malgré ces faits criminels indéniables que personnes n’ose regarder en face, d’autres entrent en transe pour un acquittement sage manifestement de grandeur d’âme et bien mérité de droit et en droit. Parce que l’accusation a manifestement succombé sous l’intransigeance de la défense à réclamer des acteurs de la crise comme des témoins, ce qui était très gênant, parce que ces témoins méritent exonération judiciaire aux yeux du pouvoir d’Abidjan, en lieu et place de l’éclairage de l’honorable cour d’Assise d’Abidjan, qui n’a pu les cités en interventions forcées devant elle. Et les jurés en quête de réconciliation chez eux dans leurs pays, en ont tenu compte. Toute cette transe victimaire, parce que c’est l’autre dans sa différence idéologico-politique non-acceptée et qui ne doit être qu’un criminel pour obvier la recherche des vrais criminels dans sa propre appartenance idéologico-politique.

 

*- Les violations des normes juridiques 2002-2011 qui ont rendu la guerre possible sont les causes à prendre en compte.

 

Donc si un très sage acquittement judiciaire bien mérité, que nous saluons la grandeur d’âme, peut provoquer l’extase victimaires des passions politiques et un appel myope et aliéné à la justice politique sélective de la cour pénale internationale (CPI) qui n’est d’ordre qu’en côte d’ivoire, dont les sinistres décombres sont peuplés de boulon-sangsues, de charognards, d’hyènes et de chacals. Oui ! Depuis les 18-19 septembre 2002 les renards libres, les chacals, les hyènes, et les charognards ne font que divaguer dans les sinistres décombres de la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny au nom des pseudo-droits et des pseudo-justices. Alors qu’un système juridico-judiciaire doit servir avant tout à atténuer les éléments potentiels de conflits sociopolitiques et à lubrifier le mécanisme des rapports sociaux et communautaires, afin de garantir la stabilité sociopolitique, l’harmonie communautaires et la paix sociale pérenne. Et aussi certes, les crimes de guerres et les crimes contre l’humanité choquent la conscience humaine collective, mais tout être humain doit retenir que, les éléments déclencheurs de la guerre « violation des normes de régulations sociales, non-respect des lois » sans lesquels il ne pouvait y avoir de guerre en sont toujours les causes à prendre en premier lieu en compte dans la résolution des crises post-guerre, qui n’est pas astreinte a l’unique solution judiciaire dans un état souverain. Oui ! Aujourd’hui, en s’inscrivant ostensiblement dans la posture de victimisations « chacaliste », de la crise ivoirienne de 2002-2011, quel sort appelle-t-on ou quel sort réserve-t-on pour les autres criminels notoirement connus de la même guerre de 2002 et postélectorale de 2011 sérieusement documentée par divers moyens légaux? Oui ! Ça ne sert à rien à vouloir maintenir ou créer le désordre sociopolitique dans son propre pays, en exécution d’une politique édictée et instruite de l’extérieur du pays. Ou par divagation « chacal-isme » de venir troubler l’ordre social dans une nation paisible, avec son peuple en quête de réconciliation avec lui-même. (La Lybie a su s’en protéger, pour qu’aujourd’hui Islam Kadhafi soit libre et de s’afficher comme incontournable pour la stabilité sociopolitique et pour la paix sociale en Lybie et surtout dans la reconquête du pouvoir d’état en Lybie. Et Hosni Moubarak est désormais libre en Egypte, la Roue de l’histoire à tourner par-là). Et elle tournera en côte d’ivoire un jour.

 

*- Si nous restons dans la logique judiciaire myope et Aliéné, demain aura ses accusés par la force du droit.

 

Oui ! Aujourd’hui, en restant dans la logique judiciaire de myopie et d’Aliéné, quelle peine la chaine de criminels de ces monstrueux crimes « 2000 » deux milles morts, des 29 et 30 mars 2011 à Duékoué ouest de la Côte d’Ivoire commis chemin faisant vers le pouvoir d’état au sud méritent-ils ? La perpétuité ? NON ! Ce serait insignifiant face à la mémoire indulgente des procédures judiciaires pénitentiaires dans le temps. Donc la peine de mort : exécutions par fusillade d’un Peloton conventionnel ? Ou par injection létale ? Par la chaise électrique ? Ou par la guillotine ? Bon ! Ici la coutumière pendaison avec chute, qui sied aux vulgaires grands-Bandits depuis la nuit des temps serait mieux aux sens humains, pour l’expiation de ces monstrueux crimes des 29 et 30 mars 2011 à Duékoué, si nous restons dans la logique judiciaire myope et Aliéné. En attendant, que les abolitionnistes revoient bien leur copie. Mais pour le moment, Hélas ! Mille fois Hélas ! Les investigations dans cette zone exterminée de ses habitants qui ne demandaient qu’à vivre en paix n’intéressent pas les juridictions chargées de la répression de ces crimes de guerres. Parce que les auteurs de ces crimes Alassane Ouattara et consorts sont détenteurs du pouvoir d’état et détenteurs des armes « Fusils ». Mais si nous restons dans la logique judiciaire myope et Aliéné, demain elles s’intéresseront par la force du droit imprescriptible avec le changement du pouvoir d’état. D’ici là que l’on prend soins de ne pas trop tiré sur les nerfs des ivoiriens épris de paix, avec la dénomination cour pénale internationale (CPI). En convenons-en l’ivoirien en devient allergique. Trop allergique même et se pose la question de savoir, de quel droit tire-t-on à la cour pénale internationale (CPI) et de par ses poursuites sélectives, l’exonération de poursuites judiciaires de Alassane Ouattara et consorts reconnus et avérés grand criminels de guerres pendant la crise ivoirienne en générale « coup d’état manqué des 18-19 décembre 2002 transformé en rébellion » et la guerre postélectorale en particulier déclenchée unilatéralement par Alassane Ouattara et bien documentée ? La procédure de répression d’une même et unique guerre est un tout judiciaire in-détachable au terme duquel un procès simultané commun à tous les supposés criminels s’impose comme droit si la justice doit obéir a sa religion doctrinale « la vérité, rien que la vérité ». Ici, notamment concernant la guerre de 2002 et postélectorale de 2011, on n’a pas affaire à des criminels Nazis éparpillés de par le monde ou cachés dans le temps. Mais nous sommes face à des criminels nommément identifiés et géographiquement localisés en côte d’ivoire et qui sont détenteurs du pouvoir d’état en côte d’ivoire. Tant que la Cour pénale internationale « CPI » ne poursuivra pas Alassane Ouattara et consorts et se bornerait à continuer de s’acharné sur le président GBAGBO, et consorts qui avaient la légalité constitutionnelle avec eux au moment du déclenchement unilatérale de la guerre postélectorale par Alassane Ouattara, au mépris des norme constitutionnelles qui ont régis les élections et en dépit des négociations politiques qui évoluaient vers un recomptages, elle « CPI » aura perdu toute sa crédibilité de juridiction internationale pénale, appliquant du droit international pénal. Crédibilité déjà très sérieusement entamée aux yeux du monde des juristes.

 

*- La cour pénale internationale « CPI » est plus politique que juridique, plus Business que judiciaire.

 

La Cour pénale internationale (CPI), de par sa pratique des poursuites judiciaires qui contredit la théorie du droit international pénal et du droit international des droits de l’homme, s’est avérée comme une juridiction politique dépendante des états vainqueurs des conflits armés nationales et des conflits armés internationales. En clair tant que, un criminel de guerre n’est pas vaincu de guerre, il n’ira jamais à la cour pénale internationale « CPI ». Donc Vive les vainqueurs de guerres et Malheur aux vaincus de guerre. De par son statut juridique fondateur même, qui le subordonne à la volonté des gouvernants des états partis a son statut, avec adhésion facultative et privilège de juridiction, fait de la cour pénale internationale, une justice politique sélective des vainqueurs de guerres. Par conséquent, il est aujourd’hui incontestable que la cour pénale internationale (CPI) n’a pu résoudre le sérieux problème du principe d’une juridiction pénale internationale permanente, autonome, et totalement indépendante qui se pose à l’humanité depuis 1945. Ce principe d'une juridiction universelle indépendante, autonome s'est toujours heurté à la structure même de la société internationale, fondée sur la souveraineté étatique, des états extrêmement jaloux réciproquement de leurs souverainetés étatiques. C’est pourquoi le statut de Rome est contraire à son but. Or quand le support et le substrat juridique d’une entreprise humaine est illégal, toute l’architecture systémique de cette entreprise devient illégale. Tout comme l’ivraie ne peut produire le vrai. Donc que les uns et les autres font l’effort de ne pas agacés les ivoiriens qui veulent aller à la réconciliation nationale et refusent de vivre dans les décombres sinistré de da la côte d’ivoire comme des charognards affamés, avec les formulaires d’apologie de la cour pénale internationale « CPI » qui est plus politique que juridique, plus Business que judiciaire, plus de la subtilité diplomatique que du rigorisme intransigeant judiciaire. Si la Cour Pénale Internationale (CPI), trouve la Côte d’Ivoire dans l’obligation de remettre Mme EHIVET Simone Gbagbo à la CPI malgré son acquittement par la justice ivoirienne, c’est bien dit. Mais qu’elle « CPI » va chercher d’abord Islam Kadhafi en Lybie, sans risque de prison pour l’envoyé de la grande CPI. Ou qu’elle va chercher les soudanais Omar Al-Bachir et Abdelrahim Mohammad Hussein sans risque. Et donner de bonne nouvelle au monde du président kenyan Uhuru Kenyatta. Bon ! Manifestement la différence entre ces états Lybie, soudan, et Kenya et la côte d’ivoire, est que ces états souverain tiennent à leurs souveraineté, sur laquelle on ne marche dans les plates-bandes sur leurs territoires impunément, souveraineté étatique oblige, qu’une guerre ou une crise n’assujettit pas. La souveraineté du peuple est d’agir sur son destin à lui au mépris de toute autre considération extérieure. Et le peuple ivoirien martyr se veut souverain et doit le prouvé.

 

*- Une seule solution durable à la crise ivoirienne, qu’est une Amnistie générale référendaire acceptée par tous.

 

C’est pourquoi pour notre part, nous avons toujours dit et répété depuis 2011, qu’il n’y a qu’une seule solution durable à la crise ivoirienne, une seule porte honorable de sortie légale et légitime à la crise ivoirienne, qu’est une Amnistie générale référendaire consensuelle, acceptée par tous. C’est le seul postulat, sans palliatif, ni succédané, à prendre pour la paix sociopolitique ou à laisser pour le désordre social continu et le chaos sociopolitique sempiternel. Aucune Amnistie a fondement législatif, aucune grâce présidentielle de, Alassane Ouattara comme solution ne résisteront au temps. Donc sans Amnistie générale référendaire consensuelle acceptée par tous, qui est la manifestation régalienne de la souveraineté étatique dans le concert des nations, donc de l’état de droit et conforme aux statuts juridiques des états souverains, Alassane Ouattara et sa suite finiront par la prison d’une manière ou d’une autre et un jour ou l’autre. La vraie réconciliation se fera dans toute l’entièreté de l’assiette territoriale du pays, par les enfants du peuple porte-voix délégué auprès du peuple souverain de côte d’ivoire. Cette réconciliation après s’être regarder dans un miroir se fera un jour, avec ou sans le pouvoir actuelle d’aujourd’hui visiblement fort de ses armes « fusils ». Ce qui est bien pensée et dit, est bien dit. Qui vivra verra ! Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny.

 

*- De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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