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27 juillet 2016 3 27 /07 /juillet /2016 12:03
 nous avons souligné a d’autres occasions pertinentes que : Si le mensonge pathologique est à la base de la fiction fantasmatique du récit du mythomane ? Qu’alors la mythomanie a gagné le sommet de l’état ivoirien. La maladie du mensonge s’est installée au cœur de la république de côte d’ivoire, avec des bonimenteurs aux commandes du navire ivoire. Ça ment, ça ne cesse de mentir, comme des chevronnés arracheurs de dents sur la place publique. Or on ne gouverne pas un peuple avec le mensonge d’état. Au risque de le rendre fou furieux et débile.

nous avons souligné a d’autres occasions pertinentes que : Si le mensonge pathologique est à la base de la fiction fantasmatique du récit du mythomane ? Qu’alors la mythomanie a gagné le sommet de l’état ivoirien. La maladie du mensonge s’est installée au cœur de la république de côte d’ivoire, avec des bonimenteurs aux commandes du navire ivoire. Ça ment, ça ne cesse de mentir, comme des chevronnés arracheurs de dents sur la place publique. Or on ne gouverne pas un peuple avec le mensonge d’état. Au risque de le rendre fou furieux et débile.

De Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne « en exil »

Chronique : La côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY fonce tout droit dans l’abîme sociopolitique.

Eh bien revoilà ça recommence encore, avec les mimiques politicardes de danses de diables, soutenu par le mensonge d’état avant une autre crise sociopolitique, funeste et mortifère. Oui ! Une partie de la population ivoirienne est entrée en transe ces derniers jours, contre la hausse des tarifs d'électricité à : Yamoussoukro, à Daloa, à Korhogo à et à Tiassalé où les locaux de la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE) ont été saccagés. Et pire à Bouaké au moins une personne est morte après avoir reçu une balle de la Gestapo ivoirienne et une dizaine d'autres ont été blessées et plusieurs locaux ont été saccagé. Et l’armée est désormais maitresses des rues de Bouaké. Au paravent l'université de Cocody était transformée en champ de bataille entre policiers et étudiants qui refusent d'être des palestiniens sur leurs espaces uniques d’évolutions, bilan : Une trentaine de blessés, des dizaines de personnes injustement arrêtées et séquestrées. « Mais là, la chose est claire et simple. Au surplus de la mesure salvatrice de ne plus loger les athlètes à l’université. Il faut aussi arrêter l’inconscience et l’insouciance de la provocation arbitraire d’un pouvoir déviant et non-maitrisé, pour libéré les étudiants arrêtés sur leurs lieux unique d’évolution et les donner une écoute. Un pouvoir sérieux n’envoie pas la police a l’université pour traqué les étudiants en l’absence d’une crise majeur qui précède ». Et si on ajoute à tout cela le mécontentement latent sur la question référendaire de la nouvelle constitution ou révision constitutionnelle. On voit qu’il n’y a plus aucun doute. La côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY fonce tout droit dans l’abîme sociopolitique.

Dans tous les cas le mal est là, le danger est là, avec la rigidité et l’inflexibilité du pouvoir d’Alassane Ouattara.

Alors que dire sauf qu’à se répéter que : Les citoyens doivent prendre leurs responsabilités et décidés de participer à la vie politique de leurs pays et à s'engager dans la vie publique pour faire bouger les lignes sociopolitiques de la côte d’ivoire. Parce qu’il ne suffit pas d’éluder habilement les problèmes par crainte la crise sociopolitique ou de faire fi de voir les causes de la crise sociale, en se leurrant dans une politique de l’Autriche. Mais plutôt, il convient d’agir constamment sur les causes premières pour pouvoir obvier la crise sociale. Et d’œuvrer dans la recherche inlassable par fois ingrate de la paix sociale. Les libertés s’arrachent des griffes de l’arbitraire et le prix de la liberté d’un peuple souverain se mesure souvent à l’aune de la vie physique, face à un pouvoir arbitraire et aveugle, devenu un pouvoir usine à gaz anti-droit, anti-liberté, antidémocratique. Qui risque de virer à l’état policier, à l’état paria, à l’état voyou. Dans tous les cas le mal est là, le danger est là, le Volcan dort désormais dans toute l’assiette territoriale de la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, avec la rigidité inflexible du pouvoir d’Alassane Ouattara. Oui ! Redisons-le depuis septembre 2002 la côte d’ivoire est toujours, comme cet homme transporté par la violence du courant de l’eau du fleuve vers la gueule du crocodile. Qui s’essaie de rassurer les observateurs, en faisant des mimiques comme tout allait bien, qu’il est un grand nageur. Alors que le prédateur crocodile, imperturbable attend sans aucun doute possible son festin sadique, pervers et macabre. Sauf si une généreuse dynamite citoyenne précède cet homme transporté par la violence du courant de l’eau du fleuve dans la gueule du crocodile, alors le festin sera ainsi un fêtard. La côte d’ivoire va mal, très mal même. Les ponts, les goudrons et les immeubles appartenant à un poignet d’homme nantis ou à un lobby, ne font pas le progrès social dans une nation ou les petits rendus misérables et indigents sont écrasés aux pieds des grands intérêts mafieux, par un libéralisme prédateur et d’un dirigisme économique sangsue.

La maladie du mensonge s’est installée au cœur de la république de côte d’ivoire.

Oui, Sous la gouvernance d’Alassane Ouattara, on nous parle d’un développement socio-économique qui laisse l’homme au bord de la route du progrès. Or tout progrès social et développement économique qui ne commence pas par l’homme n’est que régression de l’humanité et assujettissement sociale de l’homme. Oui, depuis cinq (5) ans, Rien de concret, le noir, le néant et le vide, pas une seule conception politique et sociale dans le sens de l’apaisement de la tension sociopolitique. Pas une seule mesure de politique économique salvatrice, qui met le citoyen au centre du débat développemental, pas une seule action intelligente, crédible, opportune, novatrice, cohérente dans le sens de la réconciliation nationale et dans la recherche de la paix sociale pérenne. Le chaos s’est ancré à la vie sociopolitique pour devenir sempiternel sous le poids des mensonges d’états. Voilà pourquoi nous avons souligné a d’autres occasions pertinentes que : Si le mensonge pathologique est à la base de la fiction fantasmatique du récit du mythomane ? Qu’alors la mythomanie a gagné le sommet de l’état ivoirien. La maladie du mensonge s’est installée au cœur de la république de côte d’ivoire, avec des bonimenteurs aux commandes du navire ivoire. Ça ment, ça ne cesse de mentir, comme des chevronnés arracheurs de dents sur la place publique. Or on ne gouverne pas un peuple avec le mensonge d’état. Au risque de le rendre fou furieux et débile.

Un pouvoir qui rend le peuple fou-furieux et le met dans un état de débilité avancée paye le prix cash.

Hélas ! Quelques agences CIE et quelques voitures de la CIE ont fait les frais de l’extase d’une partie du peuple, qui n’est pas encore totalement fou-furieux et pas encore dans un état de débilité avancée pour prendre la ligne directe, mais les prémices vibratoires se sont fait sentir pendant quelques jours sur la révision constitutionnelle, les émeutes à l’Université et la question des factures de la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE). »Donc nous voulons nous répéter ici par nécessité absolue: Le monde n’est plus en un temps où les peuples, illettrés, privés de savoir et soumis aux rudes épreuves d’un pouvoir rigide et inflexible, reconnaissaient volontiers leurs insuffisances intellectuelles, leurs incompétences organisationnelles, leurs incapacités de discernement et acceptaient volontiers d’être dirigé par une dictature ou par les puissants de ce monde. En ce 21e siècle c’est tout le contraire, là où la société d’antan se fondait sur l’obéissance moutonnière et le panurgisme de vache qui ne demande qu’à manger, celle d’aujourd’hui privilégie la persuasion discursive, l’obéissance volontaire après discernement, le dialogue inclusif pour convaincre les réticences, la concertation populaire pour harmoniser les points de vues, le consensus politique pour arriver à la vie commune paisible, l’autonomie individuelle pour le respect du libre arbitre de chacun et le consentement fondé sur l’acceptation des valeurs d’intérêt général, des idées et des actions publiques conformes aux valeurs que l’humanité s’est donné. D’où les gouvernants sont obligés de persuader et de convaincre les gouvernés consentants. Parce qu’un pouvoir qui rend le peuple fou-furieux et le met dans un état de débilité avancée paye le prix cash, la vie chère et le mépris des règles en est souvent la cause. Les peuples ont toujours résisté à ces maux sociétaux pour survivre. Donc qu’on se rassure le peuple ivoirien résistera à ces maux pour survivre.

La question unique du Referendum : « Approuvez-vous le projet de constitution proposé par le Président de la République ? ». Diantre ! « Après Dieu c’est Alassane Ouattara.»

Le peuple ivoirien doit résister pacifiquement, surtout sur la question constitutionnelle à procédure totalement confisquée par le pouvoir d’Alassane Ouattara. Il est irréfragable de par le monde des nations civilisée que : Le référendum est un procédé dangereux pour la cohésion sociale et la stabilité sociopolitique, en raison de la possible utilisation que peuvent en faire des hommes politiques loufoques, pour faire légitimer par le peuple leur prise de position arbitraire et des idées égoïstes d’intérêts personnels. Donc si la question référendaire de la nouvelle constitution ivoirienne ou de la révision constitutionnelle ivoirienne, serait ainsi formulée : « Approuvez-vous le projet de constitution proposé par le Président de la République ? ». Diantre ! « En cote d’ivoire après Dieu c’est Alassane Ouattara et Alassane Ouattara c’est notre maitre.» Et ce serait totalement raté pour la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Ce référendum portera alors un risque de vote partisan dénué de toute volonté de se doter d’une norme juridique d’organisation sociale, de régulation sociale et de fonctionnement des institutions étatique, du fait du rattachement à dessein de la question référendaire à un homme, Alassane Ouattara. Oui ! Le droit positif est composé souvent de normes qui sont la signification de certaines phrases abstraites par lesquelles certains individus ou dirigeants malhonnêtes en quête de pouvoir et de confiscation du pouvoir expriment leur volonté. Alors que la loi doit être l’expression de la volonté générale et surtout impersonnelle. Et dans le cas d’espèce, dès lors que la réponse référendaire positive est présenter comme une manifestation de confiance à l’égard de l’auteur de la question constitutionnelle « Alassane Ouattara » ou de la condamnation des autres hommes politiques opposés à la question référendaire « l’opposition ivoirienne », le referendum est récupérer de fait. Il s’agit d’une déformation à fin de récupération politique difficilement évitable, sauf au terme d’un consensus politique général. Dans la mesure où l’initiative du référendum est laissée à un groupe, à un clan ou à un homme politique. Donc ainsi se faisant, la côte d’ivoire divisée se retrouverait ainsi avec une constitution voté par les 2 618 229 voix d’Alassane Ouattara (RHDP) qui représenteront plus de 99 % d’un taux de participation insignifiant, et d’un nombre d’inscrits aussi médiocre, sauf à gonfler les chiffres électoraux pour plaire au monarque « de l’Alassane-Land » initiateur de la procédure constitutionnelle. Et se serait catastrophique pour la côte d’ivoire, surtout se serait le résultat de l’inconséquence, de l’insouciance et de la légèreté des actions politiques de scories passéistes d’un pouvoir déviant et non-maîtrisé, divaguant ostensiblement dans les violations des droits du peuples et des citoyens. Et dans les fibres sociopolitiques très sensibles de la nation ivoirienne. Oui ! Si jamais par extraordinaire, la constitution d’Alassane Ouattara passait comme sur des roulettes, avec le statut juridique de la nouvelle constitution ivoirienne de la troisième république. Alors-là il va valoir désespérer de la côte d’ivoire, qui devra dès lors s’appeler le royaume de l’Alassane-Land. Au-delà des besoins de ventres, ne nous leurrons pas, la côte d’ivoire ne serait jamais paisible, sans le consensus autour de la chose publique, sans le dialogue républicain dans l’ordre du public, sans l’acceptation des différences sociopolitiques solidarisées, sans une société ivoirienne harmonieuse qui admette hétérogénéité des sous cultures nationales.

L’espérance c’est le désespoir surmonté, espérer c’est résister dans ses droits, avec ses droits, pour ses droits.

Oui ! Convaincu que : Ceux qui ont l’entre-parenthèse de la culotte trouée, ne peuvent pas monter sur l’arbre de la transparence sous les yeux de tout le monde à la place public, le risque étant notoirement connu, les balançoires ne se feront pas attendre. Nous disons que le peuple ivoirien doit résister pacifiquement et légalement au poids des mensonges d’états et à l’arbitraire. « Soulignons résister aux arbitraires soutenu par les mensonges d’état ». En tenant compte que, les secousses ponctuelles, extatiques, protestataires, passagères et périodiques vident les luttes citoyennes pour le droit, la liberté et la démocratie de toutes leurs énergies et pire elles vident le peuple de son énergie. Seules les luttes soutenues, synergiques, rationnelles, cohérentes, constantes, régulières de droit et pour le droit dans le temps et dans toute l’assiette territoriale nationale aboutissent à la libération d’un peuple en quête de nouvelle espérance. L’espérance c’est le désespoir surmonté, espérer c’est résister dans ses droits, avec ses droits, pour ses droits et le peuple souverain de côte d’ivoire doit résister. N’oublions pas: « Quand on va jusqu'au bout de la nuit, on rencontre une autre aurore ». Donc le peuple souverain de côte d’ivoire doit résister pacifiquement et légalement au au poids des mensonges d’états et à l’arbitraire. Parce que la résistance d’un peuple qui consiste à refuser un état de fait, une autorité de fait et une situation de non-droit qui est en violation flagrante des lois que l'humanité s'est donner, cette attitude de résistance dans la non-violence, n’a de sens que par rapport à une situation oppressive de non-droit. Qui comporte des contraintes préjudiciables aux droits des citoyens et l’aliénation de leurs libertés qui de manière raisonnée ou non, ne leur conviennent pas. Donc, Résister dans la non-violence contre une autorité de fait, c’est non seulement refuser de se soumettre à l’arbitraire du non-droit d’un pouvoir oppresseur et méprisant pour les droits inaliénables du peuple souverain mais aussi en contester son principe d’organisation sociale, de fonctionnement et de gouvernement ou mêmes les formes d’exercice arbitraire et d’existence dictatoriale de ce pouvoir.

La personne physique de l’homme politique ou du gouvernant ne nous intéresse pas,

Qu’on se le dit tout net : Nous ne sommes ni contre une personne physique, ni pour une personne physique. Ni poste, ni titre, ni rémunération pécuniaire pour donner un notre sens a notre vie, seulement la recherche inlassable parfois ingrate de la paix sociopolitiques sans laquelle aucun progrès social n’est possible. Donc tout pour le peuple souverain de côte d’ivoire, tout pour la nation souveraine, tout pour la vie sociale paisible, tout pour les droits inaliénables du peuple et des citoyens, tout pour les libertés individuelles citoyennes. C’est pourquoi, il convient encore de se répéter ici, nous ne sommes pas les saints des saints ou des papes à Rome. Mais la personne physique de l’homme politique ou du gouvernant ne nous intéresse pas, encore moins son argent ou son bien matériel. Seule sa politique, ses idées, ses actions qui décident de notre vie et de la vie de tous et de la vie de chacun, nous intéressent et nous préoccupent. Oui ! L’ivoirien doit résisté, dans ses droits et dans ses libertés. Avec ses droits et avec ses libertés. Pour ses droits et pour ses libertés. Pour que la paix Houphouët-ienne retrouve sa terre ivoire. Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et sociale pour tous.

Une chronique de Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique.

Pour tout autre cliquez ici: www.dacandylepetitfils.over-blog.com

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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