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2 février 2016 2 02 /02 /février /2016 19:28
La procureure de la cour pénale internationale « CPI » s’est cantonné jusqu’ici dans la fiction illusoire d’une simple crise postélectorale, qui suppose le soutien hypothétique à une légitimité électorale de Alassane Ouattara, qui sous-tend un droit démocratiquement acquit à défendre et à protéger à quel prix nous ne savons. Et c’est une grave aberration judiciaire par le procureur d’une juridiction internationale pénale chargé de la répression des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité.

La procureure de la cour pénale internationale « CPI » s’est cantonné jusqu’ici dans la fiction illusoire d’une simple crise postélectorale, qui suppose le soutien hypothétique à une légitimité électorale de Alassane Ouattara, qui sous-tend un droit démocratiquement acquit à défendre et à protéger à quel prix nous ne savons. Et c’est une grave aberration judiciaire par le procureur d’une juridiction internationale pénale chargé de la répression des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité.

Le procès de la guerre postélectorale est parti pour asseoir l’impunité de, Alassane Ouattara et consorts.

Un soit-dit en passant : De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité citoyenne. (En exil).

(Le procès à la Haye au Pays-Bas n’est réalité qu’une danse endiablée de sorcellerie judiciaire a l’issu connu d’avance. Et au terme duquel si l’on ne prend garde la côte d’ivoire risque de se retrouvée plus désintégrée. Alors même que le premier rôle assigné a toute justice même internationale est d’être intégrateur.)

« Entre guillemets »

La guerre postélectorale ivoirienne est un tout-judiciaire in-détachable. Donc avec l’absence d’Alassane Ouattara et ses chefs de guerres sur le banc des accusés, le procès de la guerre postélectorale ivoirienne est très mal parti. Oui ! Lorsque nous regardons, les Conventions internationale sur la répression, la prévention et l'imprescriptibilité des crimes de guerre, des crimes contre l'humanité, nous butons sur une question très préoccupante que; La vérité, toute la vérité, sur les crimes de la guerre postélectorale ivoirienne serait-elle connue de tous, totalement révélée et mise au grand jour en l’absence d’Alassane Ouattara et ses chefs de guerres sur le banc des accusés ? Qu’il est-t-il possible de jugé correctement, partiellement et en toute neutralité les crimes de cette guerre postélectorale ivoirienne, la même guerre, en gardant des mandats d’arrêt contre d’autres criminels de guerres sous scellé et en laissant ainsi de côté plusieurs criminels de guerres, notoirement connus, appartenant à un camp belligérant de ladite guerre, objet du procès? Oui, peut-on avoir une assurance face à cette situation de faits, même dans la perspective de futures poursuites contre ces criminels exonéré sciemment de poursuites. Futur procès qui risque de révélé de nouvelles preuves matériels et de nouvelles informations mettant en cause le premier procès dilatoirement couvert de l’autorité de la chose jugée ? Non ! La guerre postélectorale ivoirienne est un tout judiciaire ayant opposé deux (2) camps belligérants dont un sorti vainqueur et un vaincu qui à débouché sur des crimes, dont la répression judiciaire conjointe et simultanée dans un procès unique s’impose comme droit.

Donc la logique des procédures judiciaires de répressions des crimes de guerre, des crimes contre l'humanité exigent un procès commun et unique de tous les criminels de guerres des deux (2) camps belligérants pour l’avènement de la vérité et pour qu’émerge la juste raison. Parce que l’attribution des crimes de guerre à des individus, suppose la réunion de plusieurs éléments qui peuvent leurs être communs ou non. Donc la complexité des procès de crimes de guerres et crimes contre l’humanité étant de désigner et trouver sans nuance possible les vrais coupables des tueries, la confrontation des preuves et des arguments de l’ensemble des supposés criminels de guerres peut permettre l’émergence de la vérité. Et de servir de gyroscope à la juridiction de répression sur l’ensemble des faits criminels et sur les éléments déclencheurs de la guerre. Sans lesquels celle-ci « la guerre » n’aurait pas lieu et les crimes en résultant n’auraient pas été commis. Et peut faire ressortir la vérité des zones d’ombres de l’enquête et des prétentions, arguments et preuves des partis. En mettant au grand jour par les positions défensives tout les aspects liés aux crimes commis. De démontrer, qui à commis matériellement le crime, qui à été complice des crimes, qui à ordonné l’exécution des crimes en tant que supérieur hiérarchique, qui n’a pas sciemment empêché les crimes en sachant qu’il allait être commis ou n’a pas assuré la dissuasion. Parce que l’engagement d’une responsabilité pénale collective ou individuelle pour crimes de guerres et crimes contre l’humanité suppose que puisse être établie la preuve précise de nombreux éléments : dont les éléments déclencheurs de la guerre qui désignent forcement un belligérant agresseur et un belligérant entrainer dans la guerre de légitime-défense et les circonstances exactes du comportement reproché aux criminels, les identités certaines des auteurs des crimes et comparants en personnes, aux cotés des supérieurs responsables dit coauteurs comparants eux-mêmes en personnes et surtout leurs attitudes face aux crimes commis.

Donc une cour de justice de répression des crimes de guerre qui omet volontiers de poursuivre sciemment d’autres criminels de guerre notoirement connus dans un procès de répression des crimes de guerres et des crimes contre l’humanité, d’une seule et unique même guerre, peut-elle arrivé à la vérité et à la justice réelle ? Nous ne pouvons avec force conviction le penser. Parce que dans ces conditions-là la pratique contredit la théorie et la vérité et la raison deviennent illusoires. On peut se demander alors quelle instance jugera, au terme d’un deuxième procès les présumés criminels de l’autre camp belligérants ainsi ignorés, pourtant manifestement avérés criminels de guerre de la même guerre objet du premier procès, qui n'auront pas encore été jugé. Et lorsque cette cour de justice de répression des crimes de guerre serait arrivée au terme de son premier procès avec une décision qui ne peut résister aux nouvelles preuves et aux nouvelles informations du deuxième procès scindé volontairement du premier procès ? En clair, la vérité, toute la vérité sur les crimes de la guerre postélectorale ivoirienne serait-elle connue, totalement révélée et mise au grand jour en l’absence d’Alassane Ouattara et de ses chefs de guerres sur le banc des accusés du procès en cours à la Haye ? Aussi est-t-il possible de correctement jugé partiellement, les crimes d’une même guerre en laissant de côté plusieurs criminels de guerres notoirement connus et impunis, dans les secrets des actions des guerres qui ont fait 3000 morts? La logique judiciaire de la recherche de la vérité et les principes d’une justice équitable ne peuvent l’admettre.

Oui ! Tout magistrat professionnel chargé d’enquête sur les graves crimes de guerres et les inacceptables et injustifiables crimes contre l’humanité est tacitement investi pour plus d’efficacité d’une mission judiciaire « inquisitoire ». Il est ainsi le représentant de l’intérêt général de l’humanité et chargé de diriger l’enquête afin de faire triompher la vérité, rien que la vérité, en obéissant qu’au droit rien qu’au droit, qui n’a par essence rien de sens unique. Ce magistrat professionnel est ainsi investi de pouvoirs destinés à lui permettre de diligenter lui-même les investigations à charge et à décharge. Parce que les répressions des crimes de guerres et les crimes contre l’humanité ne se limite pas à l’arbitrage d’un litige entre des parties belligérantes de guerres supposées auteurs de crimes contre l’humanité. Oui, la répression de ces crimes de guerres et de ces crimes contre l’humanité intéresse l’humanité toute entière. Aussi, il ne s’agit pas seulement pour les juges du siège de veiller à la loyauté du procès, et à départager les parties belligérantes de guerres supposées auteurs de crimes contre l’humanité en fonction de leurs prétentions, arguments et preuves, comme devant une section de tribunal correctionnel national. Et partant les juges du siège eux-mêmes sont chargés de produire une vérité judiciaire irréprochable, qui laisse peu de place aux prétentions alléguées des parties. Donc nous disons ici qu’avec l’absence d’Alassane Ouattara et ses chefs de guerres sur le banc des accusés du procès en cours à la Haye ceux-là même qui ont déclenché la guerre et bénéficié au finish du service des armes impies d’une mafia internationale sous couverture onusienne, il est clair que ce procès de la guerre postélectorale ivoirienne est très mal parti. Ainsi en parlant de l’élément déclencheur de la guerre postélectorale, incontestablement résultante du non-respect des normes juridiques constitutionnelles qui régissent le processus électoral ivoirien ; Que dit-t-on a la cour pénale internationale (CPI) par la voix du procureur ? Que le président Laurent Gbagbo à refuser de céder le fauteuil présidentiel a Alassane Ouattara que d’où est né la guerre postélectorale. Mais voila ! En côte d’ivoire le fauteuil présidentiel s’acquiert au terme d’un processus électoral complet, prescrit constitutionnellement. Ce processus est couronné par les prescriptions des articles 94 et 98 de la constitution de 2000.

Qui stipule : « Article 94. Le Conseil statue sur : *- l'éligibilité des candidats aux élections présidentielle et législative ; *- les contestations relatives à l'élection du président de la République et des députés. *- Le Conseil constitutionnel proclame les résultats définitifs des élections présidentielles. Article 98. Les décisions du Conseil constitutionnel ne sont susceptibles d'aucun recours. Elles s'imposent aux pouvoirs publics, à toute autorité administrative, juridictionnelle, militaire et à toute personne physique ou morale ».

Donc au vu de ces prescriptions constitutionnelles qui ont régis les élections de 2010, et en l’absence d’arrivée au terme légal et complet de ce processus électoral, aucun candidat à la présidentielle ne peut s’auto-réclamer président de la république élu, par le simple fait d’une proclamation partisane de la CEI, qui n’est autre qu’une étape soumis et subordonné aux étapes supérieur du processus constitutionnel complet d’accès au fauteuil du président de la république. Voila pourquoi, il était facile avec le respect scrupuleux des normes constitutionnelles de faire l’économie de la guerre postélectorale ivoirienne. Or La procureure de la cour pénale internationale « CPI » s’est cantonné jusqu’ici dans la fiction illusoire d’une simple crise postélectorale, qui suppose le soutien hypothétique à une légitimité électorale de Alassane Ouattara, qui sous-tend un droit démocratiquement acquit à défendre et à protéger à quel prix nous ne savons. La procureure de la cour pénale internationale « CPI » fait sciemment fi d’ignorer, qu’il s’agit d’une GUERRE entre deux (2) belligérant, qui a fait plus de 3 000 morts, qui reste à élucidés impartialement par ses soins impartiaux. En tenant compte que cette GUERRE à été déclenché unilatéralement, en se dédouanant de tous droits par une seule personne Alassane Ouattara. Et c’est une grave aberration judiciaire par le procureur d’une juridiction internationale pénale chargé de la répression des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité.

« C’est pourquoi nous disons malgré-nous, que le procès de la guerre postélectorale est parti pour asseoir l’impunité de, Alassane Ouattara et consorts. Et que ce procès à la Haye au Pays-Bas, n’est en réalité qu’une danse endiablée de sorcellerie judiciaire a l’issu connu d’avance. Et au terme duquel si l’on ne prend garde la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, risque de se retrouvée plus gravement désintégrée. Alors même que le premier rôle assigné a toute justice même internationale est d’être intégrateur.»

« C’est entre-guillemets »

Un soit-dit en passant : De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité citoyenne. (En exil).

Au besoin voir sur : www.dacandylepetitfils.over-blog.com

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