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11 septembre 2015 5 11 /09 /septembre /2015 14:19
L’allégation judiciaire ou la prise en compte d’un accord politique bidon non conforme à la constitution qui avait pour but d’obvier les exigences de l’article 35 alinéas 3, 4, et 5 de la constitution pour permettre à Alassane Ouattara d’être candidat en 2010 par le conseil constitutionnel dans une de ses décisions ne confère pas automatiquement une valeur de constitutionnalité à cet accord politique. Ce n’est pas le conseil constitutionnel qui fait la constitution, il n’est que la juridiction appliquant  strict des prescriptions constitutionnelles qui ne dérivent aucun notre droit sauf ceux prescrits au terme de la constitution. Les conditions de l’éligibilité à la présidence de la république de côte d’ivoire sont exclusivement constitutionnelle gouverné par l’article 35 de la constitution de 2000, qui ne fait appel à aucune autre norme juridique tant nationales que, internationale. Et si le vote du peuple ivoirien confère un droit, il a voté sa constitution en juillet 2000 avec la victoire du oui à 86,58 %.

L’allégation judiciaire ou la prise en compte d’un accord politique bidon non conforme à la constitution qui avait pour but d’obvier les exigences de l’article 35 alinéas 3, 4, et 5 de la constitution pour permettre à Alassane Ouattara d’être candidat en 2010 par le conseil constitutionnel dans une de ses décisions ne confère pas automatiquement une valeur de constitutionnalité à cet accord politique. Ce n’est pas le conseil constitutionnel qui fait la constitution, il n’est que la juridiction appliquant strict des prescriptions constitutionnelles qui ne dérivent aucun notre droit sauf ceux prescrits au terme de la constitution. Les conditions de l’éligibilité à la présidence de la république de côte d’ivoire sont exclusivement constitutionnelle gouverné par l’article 35 de la constitution de 2000, qui ne fait appel à aucune autre norme juridique tant nationales que, internationale. Et si le vote du peuple ivoirien confère un droit, il a voté sa constitution en juillet 2000 avec la victoire du oui à 86,58 %.

L’élection ne résout pas les grands problèmes sociétaux

« Eh bien oui ! Avec neuf (9) candidats supposés être des accompagnateurs par la dictature sanguinaire de, Alassane Ouattara pour les élections à venir, le décor est planté pour la confiscation du pouvoir d’état. Les acteurs de la confiscation du pouvoir d’état sont entrés en scène, la constitution ivoirienne est violée. Au terme d’un bidonnage de décision de validation sans aucun fondement constitutionnel comme pour les élections exceptionnelles anticonstitutionnelles de 2010. L’exception ne peut pourtant pas être la règle. Alors que, Alassane Ouattara est manifestement inéligible en application strict des dispositions de l’article 35 de la constitution qui gouverne la matière. Alassane Ouattara ne peut pas bénéficier du principe d’un droit acquis qui résulterait de sa première candidature a titre dit exceptionnel de 2010, dont la deuxième candidature serait constitutionnellement le droit accessoire au terme de l’article 35 de la constitution en son alinéa 1 «Le président de la République est élu pour cinq ans au suffrage universel direct. Il n'est rééligible qu'une fois » sauf si la première candidature à titre dit exceptionnel de Alassane Ouattara de 2010 était strictement de légalité constitutionnelle irréfragable. Or cette première candidature de, Alassane Ouattara à été fricoté autour des accords politiques bidon anticonstitutionnels, qui ne s’imposent pas à la constitution ivoirienne norme suprême de la côte d’ivoire à laquelle toutes les autres normes juridiques doivent se conformer y compris les décrets présidentiels sous réserve d’anti-constitutionnalité. Donc l’allégation judiciaire ou la prise en compte d’un accord politique bidon non conforme à la constitution qui avait pour but d’obvier les exigences de l’article 35 alinéas 3, 4, et 5 de la constitution pour permettre a Alassane Ouattara d’être candidat en 2010 par le conseil constitutionnel dans une de ses décisions ne confère pas automatiquement une valeur de constitutionnalité à cet accord politique. Ce n’est pas le conseil constitutionnel qui fait la constitution, il n’est que la juridiction appliquant strict des prescriptions constitutionnelles qui ne dérivent aucun notre droit sauf ceux prescrits au terme de la constitution, sous réserve de haute trahison du peuple. Les conditions de l’éligibilité à la présidence de la république de côte d’ivoire sont exclusivement constitutionnelle gouverné par l’article 35 de la constitution de 2000, qui ne fait appel à aucune autre norme juridique tant nationales que, internationale. Et si le vote du peuple ivoirien confère un droit, il a voté sa constitution en juillet 2000 avec la victoire du oui à 86,58 %, c’est de cette constitution qu’il s’agit. L’exception n’est pas la réglé et la règle n’est pas l’exception, il n’y a pas de succession possible pouvant produire des droits dérivés entre les deux ou de liaison juridique possible entre les deux « règle et exception. Or Alassane Ouattara manifestement inéligible aux yeux de l’article 35 de constitution est candidat déclaré éligible par Mamadou Koné ressortissant politique des forces nouvelles. Malgré les prescriptions constitutionnelles, avec sous sa coupe, une commission électorale CEI et son président et un conseil constitutionnel et son président ex-rebelle à sa solde dans un processus électoral bâclé et cadenassé, qui n’offre aucune garantie de transparence démocratique. Il n’y a aucune assurance que les votes des citoyens dans les urnes décideront des résultats de ces élections à venir, concoctées à la manière de, Alassane Ouattara pour confisquer le pouvoir d’état. C’est de cela qu’il s’agit. Donc aux partants pour ces élections nous disons attention ! Les jeux sont truqués. Les dés sont bipés. La victoire de Alassane Ouattara au bout du processus électoral de, Alassane Ouattara, ou rien, sinon la terre brulée, c’est ça qui est la vérité. Donc nous ne parlerons pas ici de ces élections sans en jeu démocratique et aux résultats à proclamé connus d’avance. Nous, nous attarderons seulement sur les questionnements d’intérêts publics qui s’y rattachent et leurs effets et méfaits sur la société commune.

*- Ces élections ne sont pas la notre, elle ne nous intéresse pas, cette démocratie de façade n’est pas notre genre, elle est notre contraire. N’en déplaise. »

Oui ! A quoi bon aller à des élections pour enfin revenir a la case départ sous la même dictature sanguinaire en fait et en droit ? Il s’agit plutôt de cherche à organiser ou à aller à des élections démocratiques consensuelles dans son organisation et conforme aux normes internationales des élections démocratiques pluralistes, pour retrouver toute les valeurs d’une nation civilisée. Quand la grande Europe soutien qu’elle sera absente de l’observation des élections à venir en côte d’ivoire, cela ne veut pas dire que la côte d’ivoire est le summum de la démocratie. Non ! Cela veut dire que comme en 2010 ou elle à été obligée de se dédire sous la pression des grands intérêts mafieux, sa présence ne changerait rien en l’autoproclamassions de Alassane Ouattara comme élu président au bout de son processus électoral à lui. Donc nous ne devons pas alors croire que les élections sont une fin en soi, ni qu’elles doivent avoir lieu coûte que coûte, bon an mal an, avec n’importe quel processus et dans n’importe quelles conditions organisationnelles. Et ni considéré les élections comme un fétiche puissant capable de résoudre tout les problèmes sociétaux, ou considéré les élections comme un sésame sociopolitique miraculeux, à acquérir à n’importe quel prix ou n’importe quel sacrifice. Nous devons refuser le fétichisme électoral dans lequel Alassane Ouattara et alliés veulent nous entrainer, en nous laissant le soin des mimiques protestations comme un chien crevé trimbaler par le fil du courant d’eau du fleuve vers la gueule du crocodile. Le fétichisme électoral est incontestablement la maladie infantile de l’apprentissage de la démocratie; il nous faut absolument aider Alassane Ouattara et alliés en guérir. Donc il est impérieusement nécessaire, s’il le faut de sortir du cadre du processus unilatéral actuel de Alassane Ouattara au prix que cela impose et la cacophonique organisationnelle qui l’entour orchestré par le pouvoir de Alassane Ouattara, afin d’arrivé à un processus électoral d’une organisation réellement indépendante.

*- Le fichu bon peuple ne comptent pas dans ce processus bâclé et cadenassé.

Certes, il est indéniable qu’en démocratie réelle normative, qu’il faut que les élections soient démocratiques, libres et transparentes, mais il faut également qu’elles soient justes et crédibles et qu’elles soient de quelque rapport pour la stabilité sociopolitique, pour la paix sociale et de quelque utilité pour les citoyens. Il ne s’agit pas de faire des élections pour les élections, comme une mode ou une panacée démocratique, pour avoir n’importe quelle représentation dans le concert des nations. Dans l’actuel contexte sociopolitique ivoirien, la fin des élections ne saurait être de légitimer la confiscation du pouvoir d’état par des grands intérêts mafieux et par les détenteurs du pouvoir d’état par les armes, Alassane Ouattara et alliés au terme d’une compromission électorale mafieuse. Nous « ivoirien » ne devrions donc pas, dans l’impatience de les légitimer par un processus bâclé, aller à des élections aux conditions qu’imposent les tenant du pouvoir de fait par les armes. Et qui aimeraient bien se faire légitimer eux-mêmes et faire légitimer leur pouvoir selon leur schéma technique ou leur schéma stratégique et tacticienne en violant toutes les libertés et tous les droits, aux conséquences incalculables sur notre société commune. Ils veulent les élections à leurs conditions, à leurs manières et qui respectent les desseins de leurs compromissions électorales, c’est de ça qu’il s’agit. Les autres appartenances politiques, et le fichu bon peuple ne comptent pas dans ce processus bâclé et cadenassé.

*- La déformation de la représentation nationale en un clownesque monarchisme dictatorial.

Ce processus qui malgré les apparences et les fanfaronnades d’autosatisfactions, tel qu’il est à ce jour présenté ou réalisé, n’est pas apte à nous garantir des élections les plus transparentes, les plus démocratiques et les plus crédibles souhaitables, qu’il est encore plein d’insuffisance dans son organisme organisationnel et plein de défauts techniques susceptibles d’entraver l’organisation normale des élections, d’en fausser les résultats au finish, de déformer la représentation nationale en un clownesque monarchisme dictatorial et partant d’enterrer l’état de droit avant même qu’il soit réinstallé dans ce pays conduit au chaos de septembre 2002 a ce jour. Donc prenons garde pour ne pas tomber dans le même piège que nous dénonçons nous-mêmes depuis toujours et que commettent ceux qui préparent et pilotent ce processus bâclé et cadenassé. Celui de se laisser influencer et guider par ce que penseraient ceux qui sont au pouvoir par les armes Alassane Ouattara et soudards ou ceux qui y aspirent en espérant d’une hypothétique alternance dite 2020. Et qui aimeraient voir le processus électoral et son mode opérationnel, traduire leurs points de vue, réalisé leurs vœux de confiscation du pouvoir d’état et leur volonté de s’y maintenir dans le pire des chaos sociaux et de ainsi préserver leurs intérêts et les grands intérêts mafieux.

*- Réagir a la pire des catastrophes sociopolitiques peuplés par des graves violations des droits et des libertés.

C’est pourquoi le processus électoral en instance doit faire appel à l’imaginaire de tous les citoyens ivoiriens pour qu’à son terme nous puissions avoir des élections consensuelles, pluralistes, démocratiques, ouvertes à la participation de tous et pouvant conduire à la stabilité sociopolitique et à la paix sociale pérenne. Parce qu’il faut avoir le courage de le dire ; il semble que l’ivoirien est tellement traumatisé, que l’imaginaire de l’ivoirien est tellement violé, qu’il semble devenu incapable de réagir a la pire des catastrophes sociopolitiques peuplés des graves violations des droits et des libertés de toutes sortes, de penser par lui-même, de douter des habilité des tromperies morales et intellectuelles, de remettre en question les déclarations des bonnes intentions faites par nos dirigeants par les armes d’aujourd’hui Alassane Ouattara et soudards, pour couvrir leurs crimes économiques et leur crimes de sangs, leur escroquerie morale et intellectuelle, et leur seule raison d’être, les armes. L’ivoirien doit normalement pouvoir faire pièces, tous ensembles à Alassane Ouattara et soudards. Surtout quand au vu et au su de tout le monde, les droits et les libertés sont piétinés, la loi fondamentale « constitution » socle de notre nation est violé a souhait et à volonté le peuple semble ne pas être concerné. Alors que l’image de la chère patrie la côte d’ivoire est ternie dans le concert des nations. Le patrimoine national est pillé par des opportunistes, carriéristes, arrivistes renégats. Les entreprises publiques livrées entre les mains du clan mafieux des prédateurs à la course à l’enrichissement illicite grâce aux deniers publics. Nos vies sont désormais assujetties aux détenteurs des armes, la sécurité de simples citoyens honnêtes compromise de partout dans l’assiette territoriale du pays qui laisse planer un sérieux danger sur notre société commune. Danger de guerre, même de guerre civile, danger de crise sociopolitique aiguë. Soutenu par des discours officiels qui ne concordent pas et ne correspondent en rien aux actes posés tous les jours par les dirigeants par les armes, Alassane Ouattara et soudards qui les tiennent.

*- Imaginer un avenir meilleur à notre taille et visé notre juste place dans le concert des nations

Donc, peut être l’ivoirien rendus esclaves de la philosophie de la fatalité et de la résignation inculquer par le communautarisme criminel de Alassane Ouattara « en côte d’ivoire après dieu c’est Alassane Ouattara disent-ils », nous, ivoirien remettons sans réfléchir aux calendes grecques notre pouvoir de penser ensemble la société paisible que nous voulons vivre, notre pouvoir de discerner la réalité concrète de la dégénérescence de la côte d’ivoire, notre pouvoir d’imaginer un avenir meilleur à notre taille et de visé notre juste place dans le concert des nations, notre pouvoir d’une convergence d’un tous ensemble citoyens, afin de créer ensemble en toute liberté une nation une et indivisible, digne de ce nom. Voilà l’enjeu aujourd’hui et pour se faire il ne nous reste plus que la ligue des citoyens, action qui consiste à refuser un état de fait, une autorité de fait et une situation de non-droit qui est légitime, légale, et de droit universel du peuple à disposer de lui-même. Oui ! Tout le monde se libérera en côte d’ivoire ou à partir de la côte d’ivoire par la parole du/au peuple souverain ou bien tout le monde restera prisonnier et/ou prisonnier en puissance d’une manière ou d’une autre en côte d’ivoire. Nous ne devons pas oublions, que les leaders politiques déportés ne reviendront en côte d’ivoire qu’a la faveur d’un changement de pouvoir en côte d’ivoire. Donc ils seront libéré en côte d’ivoire, a partir de la côte et par les ivoiriens de tous bords à travers le monde aspirants tous a la paix sociale.

*- Tous ensembles d’une manière ou d’une autre y compris dans les urnes électorales.

En clair c’est tous ensembles qu’on peut libérer les déportés Laurent GBAGBO et Blé Goudé, c’est tous ensembles qu’on peut libérer tous les prisonniers politiques en côte d’ivoire, c’est tous ensembles qu’on peut mettre fin a l’exil politique de près de cent milles (100 000) ivoiriens, c’est tous ensembles qu’on pourra instaurer la stabilité sociopolitique et l’harmonie communautaire en côte d’ivoire, c’est tous ensembles que la côte d’ivoire deviendra elle-même, c’est-à-dire une nation civilisée et paisible. Ou on pourra mener tous les combats politiques franches et tranchés, tout les débats politiques électriques pour que la vérité germe dans la sphère politique ivoirienne, tout les antagonismes électorales débarrassé de toute animosité et aller dormir tranquillement chez soi, sans crainte d’être emprisonné arbitrairement, au pire sans crainte d’être zigouillés pour rallongé la liste des 7000 citoyens déjà zigouillés sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état par les armes et de la conservation du pouvoir d’état par les mêmes armes. Oui ! Tous ensembles d’une manière ou d’une autre y compris dans les urnes électorales, nous réussirons à changer notre pays la côte d’ivoire. « Quand les gouvernants violent les droits du peuple, la ligue est pour le peuple ou pour toute partie du peuple, le plus élémentaire des droits et le plus sacré des devoirs ». Élections d’accord, mais droit, liberté, sécurité, stabilité, et paix d’abord. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY.

Une chronique de Lepetitfils. DA -Candy. Leader de la légitimité citoyenne exilé politique.

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